Histoire Ebook - Aulard François-AlphonseRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearAulard François-Alphonse - Taine historien de la révolution françaiseurn:md5:4e97ee0af0c0c70e7bb6b4a8f68e061a2012-02-28T15:07:00+00:002017-03-08T18:46:13+00:00balderAulard François-AlphonseFranceHébraïsmeRévolution <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Aulard_Francois-Alphonse_-_Taine_historien_de_la_revolution_francaise.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Aulard François-Alphonse</strong><br />
Ouvrage : <strong>Napoléon Ier et le monopole universitaire Origines et fonctionnement de l'Université Impériale.</strong><br />
Année : 1907<br />
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AVERTISSEMENT. Cette étude sur Taine historien de la Révolution française est le résumé d'un cours public que j'ai fait à la Sorbonne pendant les années scolaires 1905-1906 et 1906-1907. Taine est mort en 1893 ; la publication de la partie de son livre (les Origines de la France contemporaine) qui est plus particulièrement relative à la Révolution avait été achevée en 1884 : nous sommes donc assez éloignés, dans le temps, et de l'homme et de l’œuvre, pour pouvoir les juger sans passion. Cependant Taine est encore vivant, en quelque manière, par son autorité, par l'amitié de ses amis, par les soins zélés que sa famille donne à sa mémoire. Ceux qui l'ont connu et aimé souffrent quand on le critique. Si on les écoutait, on admirerait Taine sans le juger. Je tâcherai de ne blesser aucun sentiment amical. Je parlerai de Taine comme s'il était vivant, comme s'il devait me lire; je parlerai de Taine avec le respect que Ton doit à un puissant cerveau, à une imagination vraiment créatrice, à un écrivain qui était un artiste, en un mot à un des plus admirés parmi les types de Tesprit français au xix^ siècle. Mais je parlerai en toute liberté, sans circonlocution académique. Je n'ai point de préjugé contre Taine. J'ai plutôt en sa faveur un préjugé d'adolescence, du temps où j'étais élève à l'Ecole normale, quand il nous apparaissait comme un des chefs de la libre recherche, de la pensée libre, quand nous le voyions moderne entre les modernes, quand je l'écoutais, avec un respect sympathique, à son cours de l'École des Beaux-Arts. Quant aux opinions politiques qu'il adopta après 1870, sans doute ce ne sont pas les miennes; mais je sens que, si elles me déplaisent, elles ne décident pas mon jugement. La preuve, c'est que j'apprécie et recommande à tout propos les mérites, les services d'écrivains aussi conservateurs que Taine, comme par exemple Mortimer-Ternaux, l'historien monarchiste de la Terreur, et Sauzay, l'historien catholique de la Révolution dans le département du Doubs. Si Taine avait mis les mêmes procédés historiques au service de la République démocratique, j'ai le sentiment que j'aurais jugé ces procédés avec la même rigueur. Je crois donc être sûr, je ne dis pas de paraître impartial, mais d'être impartial. <strong>...</strong></p>Aulard François-Alphonse - Napoléon Ier et le monopole universitaireurn:md5:d9a5c32e3cbf4e03312eedacf61faab12012-02-28T15:04:00+00:002017-03-08T18:46:20+00:00balderAulard François-AlphonseEducationMonopole UniversitaireNapoléon <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Aulard_Francois-Alphonse_-_Napoleon_Ier_et_le_monopole_universitaire.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Aulard François-Alphonse</strong><br />
Ouvrage : <strong>Napoléon Ier et le monopole universitaire Origines et fonctionnement de l'Université Impériale.</strong><br />
Année : 1911<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Aulard_Francois-Alphonse_-_Napoleon_Ier_et_le_monopole_universitaire.zip">Aulard_Francois-Alphonse_-_Napoleon_Ier_et_le_monopole_universitaire.zip</a><br />
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AVANT-PROPOS. Pendant quarante-deux ans, de 1808 à 1850, le régime scolaire de la France a été soumis à une loi qui chargeait « exclusivement » un corps officiel et d'État, appelé Université, « de l'enseignement et de l'éducation publics ». C'est ce qu'on a appelé, c'est ce qu'on appelle le monopole universitaire. Aujourd'hui que les uns demandent, les autres repoussent le rétablissement de cet état de choses, la question du monopole universitaire est, comme on dit, à l'ordre du jour. Mais les partisans et les adversaires du monopole, à en juger parleurs écrits et par leurs discours, ne se font qu'une idée confuse, ou même inexacte, de ce qu'il a été. Je voudrais dissiper les confusions, rectifier les inexactitudes par un aperçu historique impartial, que les lecteurs de toute opinion, hostiles ou favorables à ce qu'on appelle le principe de la liberté d'enseignement, hostiles ou favorables à ce qu'on appelle le droit éminent de l'État à enseigner, et à enseigner seul, je voudrais que tous ces lecteurs eussent à la fois profit et sécurité à lire mon récit, qu'ils y trouvassent des faits authentiques et significatifs pour contrôler leur opinion ou pour s'en former une. Évidemment, le mieux serait de raconter tout le développement de l'institution universitaire pendant toute la période du monopole, c'est-à-dire sous la Restauration et sous Louis-Philippe, aussi bien que sous Napoléon. Mais je ne me sens prêt que pour l'époque napoléonienne, dont j'ai étudié, dans mon cours public à la Sorbonne, les institutions, en particulier les origines et le développement de l'Université impériale. Je me borne donc à l'époque du Consulat et de l'Empire. C'est d'ailleurs, pour ce sujet, ce qu'il y a de plus intéressant, de plus important. Sous Napoléon, l'Université et son monopole ont toute leur vigueur, et c'est alors que l'étude du système (s'il y a eu système) est instructive à titre de leçon d'histoire pour les personnes qui demandent ou repoussent le monopole. Aux temps de Louis XVIII, de Charles X, de Louis-Philippe, le monopole alla s'affaiblissant, par des mesures légales ou par les moeurs. L'histoire de cette décadence du monopole n'est certes pas sans intérêt, mais l'histoire de son établissement et de sa première organisation est indispensable à connaître. C'est une institution napoléonienne que nous montrons dans sa période napoléonienne. Dans l'état de nos connaissances, nous ne pouvons tracer qu'un tableau d'ensemble, auquel il manquera plus d'un trait, peut-être important. En effet, il n'a été publié qu'un certain nombre de monographies d'écoles primaires, de collèges, de lycées, et encore toutes ne sont-elles pas bonnes. Il n'en a été publié aucune, que je sache, qui ait pour objet l'histoire d'une Faculté. Il y aurait à dépouiller toutes les archives départementales et communales, sans compter les archives qui peuvent exister dans les établissements scolaires. C'est impossible à un seul travailleur. J'ai dû me borner aux sources imprimées et aux sources inédites parisiennes, c'est-à-dire aux Archives nationales. Parmi les sources imprimées, il y a un recueil de textes d'importance capitale, et qui a été comme la base de ce travail : c'est le Recueil des lois et règlements concernant l'instruction publique, depuis Védil de Henri IV, en 1598, Jusqu'à ce Jour, publié par ordre de Son Excellence le grand-maitre de l'Université de France, première série, « contenant les lois, décrets et arrêts émanés de l'autorité souveraine » (Paris, chez Brunot-Labbe, imprimeur de l'Université, 1812-1814, 4 vol. in-8). Un tome cinquième, premier de la seconde série, fut publié en 1820, par ordre de la Commission de l'instruction publique. Il contient « les statuts, règlements, arrêtés, décisions, instructions et circulaires émanés de l'administration de l'instruction publique depuis le 4 novembre 1808 jusqu'au 30 novembre 1814 ». On y trouvera tout ce qu'il y a d'important, pour cette époque, dans les registres du Conseil de l'Université, qui ont été récemment versés par le ministère de rinstruction publique aux Archives nationales. Je signalerai en note, à mesure que j'aurai à y renvoyer, les principaux ouvrages qui se rapportent à mon sujet. Aux Archives nationales, les documents sur l'instruction publique, qui se trouvent presque tous dans la série F''', ne sont pas toujours faciles à consulter, parce que le classement de cette série n'est pas encore achevé. Ce qui est plus grave, ce sont les lacunes. Ainsi il n'y a une suite de rapports d'inspecteurs généraux que pour l'année 1809. La correspondance des recteurs avec le grand-maître ne subsiste qu'à l'état fragmentaire, en forme de quelques lettres au sujet d'affaires particulières. Nous ignorons quand et comment ces documents ont disparu. Mais il y a d'autres disparitions sur lesquelles nous sommes renseignés. Nous savons, par des répertoires de destructions tenus à jour aux Archives nationales, qu'en 1859 furent détruits, par mesure administrative, les documents les plus importants pour l'histoire des finances et de la comptabilité de l'Université, par exemple, pour les années 1808 à 1833, 29 registres d'un « livre de caisse »; pour les années 1809 à 1825, 19 registres contenant des journaux de comptabilité; un registre des droits de sceau du diplôme des instituteurs primaires (1809-1813); de nombreux registres relatifs à la rétribution scolaire. Comme c'est surtout le caractère fiscal du monopole universitaire qui fut sensible aux contemporains, on voit quel dommage causent à l'histoire de l'Université impériale ces destructions, qu'a sans doute inspirées, il y a un demi-siècle, une sorte de mépris littéraire pour des paperasses qui ne contenaient que des chiffres. Voilà pour la documentation. Quant au plan, si on s'étonne que, dans un livre sur l'Université impériale, qui ne fut organisée qu'en 1808, l'histoire scolaire du Consulat tienne une si grande place, c'est que la création de celte Université ne fut que le résultat et comme le couronnement des institutions scolaires du Consulat. Je ferai remarquer, en terminant, que, dans cette étude, c'est surtout de l'ancienne France qu'il est question, je veux dire des départements créés pendant la Révolution. Sans doute, le régime de l'Université impériale fut appliqué à la plupart des pays annexés par Napoléon, mais avec des diversités et des tempéraments qui demanderaient une étude à part, ou plutôt autant d'études qu'il y eut de pays annexés. <strong>...</strong></p>Aulard François-Alphonse - Les archives révolutionnaires du sud-ouesturn:md5:daa6c302cf68bf1381403332c7af14162012-02-28T15:01:00+00:002017-03-08T18:46:27+00:00balderAulard François-AlphonseFranceRévolutionSud-Ouest <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Aulard_Francois-Alphonse_-_Les_archives_revolutionnaires_du_sud-ouest.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Aulard François-Alphonse</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les archives révolutionnaires du sud-ouest</strong><br />
Année : 1888<br />
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LANDES, BASSES ET HAUTES-PYRÉNÉES, GERS, HAUTE-GARONNE, TARN, LOT, TARN-ET-GARONNE, LOT-ET-GARONNE, GIRONDE. Chargé par le ministère de l'instruction publique de publier un recueil des actes et de la correspondance du Comité de salut public, J'ai entrepris, en juin et en juillet dernier, un voyage d'exploration dans les Archives départementales et communales du Sud-Ouest (1), pour y rechercher les traces des représentants en mission. En même temps, j'ai essayé de me rendre compte de la richesse et de l'état de ces Archives, surtout au point de vue de l'histoire, si mal connue, des institutions administratives de la Révolution. Voici, sur ce sujet, quelques notes sommaires, dont le seul mérite est d'avoir été prises en face des documents. <strong>...</strong></p>Aulard François-Alphonse - Le culte de la Raison et le culte de l'Etre suprème (1793-1794) Essai historiqueurn:md5:c5d5ef15dd7fdc1313df931371b5f52c2012-02-28T14:58:00+00:002017-03-08T18:46:49+00:00balderAulard François-AlphonseFranceRévolution <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Aulard_Francois-Alphonse_-_Le_culte_de_la_Raison_et_le_culte_de_l_Etre_supreme_1793-1794_Essai_historique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Aulard François-Alphonse</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le culte de la Raison et le culte de l'Etre suprème (1793-1794) Essai historique</strong><br />
Année : 1892<br />
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AVANT-PROPOS. On sait qu'en Fan II la France révolutionnaire essaya, sans y réussir, d'abolir la religion chrétienne au moyen du culte de la Raison, puis de la remplacer par le culte de l'Être suprême. Cette tentative étonna, en l'effrayant, l'Europe d'alors ; mais, comme elle a échoué, on la trouva ensuite plus scandaleuse qu'intéressante, et il a été de bon goût de présenter le culte de la Raison et le culte de l'Être suprême comme une des plus sottes aberrations du délire révolutionnaire. Des écrivains sont venus qui ont réagi contre ces jugements trop sommaires : les uns ont cru voir dans l'hébertisme antichrétien l'heureuse réalisation de la pensée de l'Encyclopédie ; les autres ont présenté le déisme robespierriste comme la religion qui convenait alors et qui conviendrait encore aujourd'hui à notre race. Le plus vrai (sinon le plus exact) des historiens de la Révolution, Michelet, a pensé que ni la sécheresse du culte de la Raison ni la froideur du culte de l'Être suprême ne convenaient aux fils du XVIIIe siècle, et, dans cette tête pleine de Diderot, dans ce cœur amoureux de la France, s'est formée l'idée d'une religion de la patrie et de l'humanité, religion dont l'esprit, s'il avait prévalu dans la politique des gouvernants, comme il vivait secrètement, selon Michelet, dans l'instinct populaire, eût fécondé la Révolution, eût orienté l'âme française dans un sens conforme à son génie et eût peut-être rayonné sur le monde. L'investigation pénétrante d'Edgar Quinet est arrivée à de tout autres résultats. Ce penseur ne s'est point scandalisé de l'impiété de nos pères, et cependant il n'a pas rêvé le triomphe de la libre pensée. Tout en accusant les révolutionnaires de timidité française, tout en se moquant des hésitations de ces Polyeuctes prudents, qui insultaient le dogme et en avaient trop peur pour le détruire ou le changer vraiment, Edgar Quinet leur reproche de n'avoir pas demandé au christianisme même la religion des temps nouveaux. Et quelle est la conclusion implicite de tant de railleries éloquentes sur la servitude intellectuelle d'un Hébert ou d'un Robespierre? C'est qu'il eût fallu se borner à convertir la France de la Révolution au protestantisme. <strong>...</strong></p>Aulard François-Alphonse - La société des Jacobins - Tome VI - Mars à novembre 1794urn:md5:2c178a9b9cef7759ec8776ffaba9fc252012-02-28T14:52:00+00:002017-03-08T18:46:56+00:00balderAulard François-AlphonseFranceHébraïsmeJacobinsRévolution <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Aulard_Francois-Alphonse_-_La_societe_des_Jacobins_-_Tome_VI_-_Mars_a_novembre_1794.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Aulard François-Alphonse</strong><br />
Ouvrage : <strong>La société des Jacobins - Tome VI - Mars à novembre 1794</strong><br />
Année : 1897<br />
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SEANCE DU 29 VENTOSE AN II (19 MARS 1794). PRÉSIDENCE DE CHARLES DUVAL. [Lecture de la correspondance. — La Socité décide que plusieurs lettres seront imprimées dans le Journal de la Montagne. — La partie de l'armée révolutionnaire restée à Paris vient témoigner la satisfaction qu'elle éprouve en apprenant qu'une nouvelle conspiration a été déjouée. — Le Président la remercie. — Boulanger s'écrie : « C'est aux Jacobins qu'un patriote doit se prononcer. On doit connaître plus que jamais les individus amis de la République, au moment où des traîtres ont conspiré contre elle. Je demande que la fraction de l'armée révolutionnaire qui est dans votre sein jure de n'obéir qu'à la Convention nationale et aux Comités de salut public et de sûreté générale. » Nous le jurons ! s'écrient à la fois tous les soldats, et la Société entière, par un mouvement spontané, se lève, prononce le même serment, et les cris de Vive la Convention nationale ! Vive la Montagne! se font aussitôt entendre de toutes parts. — L'un de ces citoyens annonce qu'il vient de recevoir l'ordre de partir de Paris ; il pense que l'on redoute les soldats de l'armée révolutionnaire, mais il déclare qu'il est résolu de faire connaître les traîtres, et annonce qu'il en a beaucoup à dénoncer. — Le citoyen Mercier, un des commissaires nommés par la commune de Paris pour rechercher la liste des signataires des pétitions des huit mille et des vingt mille, demande la parole. — Robespierre s'y oppose par une motion d'ordre. <strong>...</strong></p>Aulard François-Alphonse - La société des Jacobins - Tome V - Janvier 1793 à mars 1794urn:md5:77cb12f17ee15ea0d3b35e74b87ce10f2012-02-28T13:58:00+00:002017-03-08T18:47:01+00:00balderAulard François-AlphonseFranceHébraïsmeJacobinsRévolution <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Aulard_Francois-Alphonse_-_La_societe_des_Jacobins_-_Tome_V_-_Janvier_1793_a_mars_1794.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Aulard François-Alphonse</strong><br />
Ouvrage : <strong>La société des Jacobins - Tome V - Janvier 1793 à mars 1794</strong><br />
Année : 1895<br />
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AVERTISSEMENT. Dans le présent volume, les comptes rendus des séances des Jacobins sont reproduits ou analysés, sauf les exceptions indiqiées en note : 1 du 23 janvier au 26 aout 1793, d'après le Journal des Jacobins; 2 du 28 aout au 6 septembre suivant, d'après le Journal de la Montagne; 3 du 8 septembre 1793 au 18 mars 1794, c'est-à-dire jusqu'à la fin du volume, d'après le Moniteur. <strong>...</strong></p>Aulard François-Alphonse - La société des Jacobins - Tome IV - Juin 1792 à janvier 1793urn:md5:d1b58511d3b604ccf12af4332b15ebce2012-02-28T13:42:00+00:002017-03-08T18:47:08+00:00balderAulard François-AlphonseFranceJacobinsRévolution <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Aulard_Francois-Alphonse_-_La_societe_des_Jacobins_-_Tome_IV_-_Juin_1792_a_janvier_1793.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Aulard François-Alphonse</strong><br />
Ouvrage : <strong>La société des Jacobins - Tome IV - Juin 1792 à janvier 1793</strong><br />
Année : 1892<br />
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AVERTISSEMENT. Le présent volume contient des documents relatifs aux débats du Club des Jacobins depuis le 17 juin 1792 jusqu'au 21 janvier 1793 inclus, c'est-à-dire qu'on y trouvera les éléments de l'histoire du Club pendant la période si agitée et si intéressante où l'on vit la chute de la monarchie, rétablissement de la République et le jugement de Louis XVL Étant obligé de nous borner à un petit nombre de volumes, il ne nous a pas été possible de donner à ce recueil tous les développements qu'il aurait pu comporter. Ainsi, pour les discours imprimés à part, nous nous sommes borné, la plupart du temps, à en signaler l'existence et à en donner le titre exact, avec la cote sous laquelle chacun d'eux figure à la Bibliothèque nationale, et on a déjà vu que nous ne reproduisons plus les pamphlets et autres documents accessoires relatifs aux Jacobins, comme nous l'avions fait au début, pour la période où il n'existait pas encore de compte rendu suivi des séances et où il nous fallait combler cette lacune par d'autres textes de tout genre. Rappelons au lecteur que nous suivons, pour le récit des débats, le compte rendu du journal qui, changeant de titre en même temps que la Société changeait de nom, s'appela tour à tour Journal des Débals et de la Correspondance de la Société des amis de la constitution, séante aux Jacobins, à Paris; puis Journal des Débats et de la Correspondance de la Société des Jacobins, amis de l'égalité et de la liberté, séante aux Jacobins, à Paris. <strong>...</strong></p>Aulard François-Alphonse - La société des Jacobins - Tome III - Juillet 1791 à juin 1792urn:md5:24afdf4422c98b0ce467fc39460096b22012-02-28T13:32:00+00:002017-03-08T18:47:14+00:00balderAulard François-AlphonseFranceJacobinsRévolution <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Aulard_Francois-Alphonse_-_La_societe_des_Jacobins_-_Tome_III_-_Juillet_1791_a_juin_1792.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Aulard François-Alphonse</strong><br />
Ouvrage : <strong>La société des Jacobins - Tome III - Juillet 1791 à juin 1792</strong><br />
Année : 1892<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Aulard_Francois-Alphonse_-_La_societe_des_Jacobins_-_Tome_III_-_Juillet_1791_a_juin_1792.zip">Aulard_Francois-Alphonse_-_La_societe_des_Jacobins_-_Tome_III_-_Juillet_1791_a_juin_1792.zip</a><br />
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SEANCE DU LUNDI 11 JUILLET 1791. PRÉSIDENCE DE M. BOUCHE. L'assemblée étant peu nombreuse, M. le président propose un léger changement dans la rédaction de l'adresse aux peuples de l'univers présentée par M. Roederer. Ce changement est adopté. M. Thierry de Franqueville. — J'ai pris congé de vous, Messieurs, le 22 juin, et depuis cette époque j'ai parcouru les frontières de la Lorraine et de l'Alsace : tout y est patriote. J'ai cependant une dénonciation à vous faire : les chasseurs de Normandie ont juré ù leur colonel de lui obéir aveuglément lorsqu'il sera question de venir à Paris et de marcher contre la constitution. Ces soldats sont à une demi-lieue des frontières, et je crois important de retirer d'un tel poste des troupes aussi mal disposées pour la défense de la constitution. <strong>...</strong></p>Aulard François-Alphonse - La société des Jacobins - Tome II - Janvier à juillet 1791urn:md5:740096cf3299da644e9dacc16079f4942012-02-28T13:28:00+00:002017-03-08T18:47:21+00:00balderAulard François-AlphonseFranceHébraïsmeJacobinsRévolution <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Aulard_Francois-Alphonse_-_La_societe_des_Jacobins_-_Tome_II_-_Janvier_a_juillet_1791.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Aulard François-Alphonse</strong><br />
Ouvrage : <strong>La société des Jacobins - Tome II - Janvier à juillet 1791</strong><br />
Année : 1891<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Aulard_Francois-Alphonse_-_La_societe_des_Jacobins_-_Tome_II_-_Janvier_a_juillet_1791.zip">Aulard_Francois-Alphonse_-_La_societe_des_Jacobins_-_Tome_II_-_Janvier_a_juillet_1791.zip</a><br />
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AVERTISSEMENT. Le présent volume contient des ducuments relatifs à I'histoire du club des Jacobins depuis le 1er janvier 1791 jusqu'au 10 juillet de la même année, c'est-à-dire jusqu'à la veille des événements qui, en amenant la célèbre scission et la fondation du club des Feuillants, marquent une époque importante dans l'histoire des Jacobins. Pour la période antérieure au 1" juin 1791, date de l'apparition du Journal des Jacobins, nous avons suivi la même méthode que dans le précédent volume, c'est-à-dire que nous avons tâché de suppléer à la perte des procès-verbaux du club et à l'absence d'un journal suivi de ses opérations en empruntant aux divers écrits du temps tous les renseignements intéressants que nous avons pu rencontrer, mais en nous bornant, quant aux pamphlets, à un choix. Nous avons trouvé dans deux journaux peu connus quelques comptes rendus assez importants, et qui avaient, croyons-nous, échappé aux historiens. De ces deux journaux, l'un, le Journal de la Révolution, est rédigé dans un sens favorable à la politique des Jacobins; l'autre, le Lendemain^ est violemment hostile à celte politique. Voici quelques renseignements bibliographiques sur ces deux sources, aussi remarquables qu'ignorées, de l'histoire de la Révolution en 1790 et en 1791. Le Journal de la Révolution, qui est entièrement anonyme, et dont nous ignorons les auteurs, commença à paraître le 2o août 1790, et le dernier numéro que nous en ayons pu consulter est daté du 3 octobre 1791. M. Hatin paraît avoir eu entre les mains un exemplaire beaucoup plus complet que ceux que nous avons vus, car il dit, dans sa Bibliographie de la presse, qu'au numéro 479 le Journal de la Révolution ajouta à son titre : et des législatures, et que, de l'imprimerie de Chemin, il passa dans celle de Tremblay, qui « se charge avec empressement de la tâche de son prédécesseur ». <strong>...</strong></p>Aulard François-Alphonse - La société des Jacobins - Tome I - 1789-1790urn:md5:6420d5793c50a4d231902f5be4d6e0eb2012-02-28T13:06:00+00:002017-03-08T18:47:29+00:00balderAulard François-AlphonseFranceHébraïsmeJacobinsRévolution <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Aulard_Francois-Alphonse_-_La_societe_des_Jacobins_-_Tome_I_-_1789-1790.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Aulard François-Alphonse</strong><br />
Ouvrage : <strong>La société des Jacobins - Tome I - 1789-1790</strong><br />
Année : 1889<br />
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INTRODUCTION. IDÉE GÉNÉRALE DE CE RECUEIL. Si le Club des Jacobins n'a encore été l'objet d'aucune appréciation équitable et vraiment historique, si le fanatisme seul s'est prononcé sur le compte de la célèbre Société, qui fut le foyer de la Révolution, c'est en grande partie à cause de l'absence ou plutôt de la dispersion des documents. L'histoire des Jacobins est un sujet qui, faute de textes authentiques et suivis, a été abandonné à la légende, légende de haine ou d'amour, légende d'erreur ou de mensonge. Il nous manque le document essentiel, à savoir le procès-verbal officiel ou registre des délibérations de la Société des Jacobins de Paris (quand nous avons celui de tel club d'une commune de 300 âmes !) : ces comptes rendus, seuls authentiques, ont disparu, nous ne savons comment ni à quelle époque. Le journal imprimé qui raconte les séances de la Société les raconte assez mal, et il n'expose qu'une partie de la carrière des Jacobins. Jusqu'en juin 1791, nous n'avons que des textes isolés, et, à partir de décembre 1793, que des comptes rendus épars dans les feuilles périodiques, chez les unes sans suite, chez les autres sans détail. Si cependant on rapproche dans un ordre chronologique ces textes Tome I. Introduction. de toute nature, une certaine lumière sort de ce rapprochement; on sait du moins tout ce qu'il est possible de savoir en l'état des choses : les légendes se dissipent, et on entrevoit le vrai rôle de ces Jacobins, tour à tour monarchistes, girondins, montagnards, et dont la tribune a été ouverte, successivement, à toutes les opinions qui ont dominé. C'est ce rapprochement de textes que nous tentons dans ce recueil, composé sous les auspices du Conseil municipal de Paris. Nous offrons à l'histoire les moyens rie reprendre possession d'un sujet jusqu'ici légendaire. <strong>...</strong></p>