Histoire Ebook - Bainville JacquesRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearBainville Jacques - L'Angleterre et l'Empire britanniqueurn:md5:59530772c00f372bc5594a5e89c6021a2016-05-26T07:24:00+01:002016-05-26T06:31:20+01:00balderBainville JacquesAngleterreAnglo-Saxon <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Bainville_Jacques_-_L_Angleterre_et_l_Empire_britannique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bainville Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'Angleterre et l'Empire britannique</strong><br />
Année : 1938<br />
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Préface. Jacques Bainville ou l'art d’avoir raison W. Morton Fullerton. La Toussaint, 1937. Dans quelques pages lucides, où l'intelligence brille, que Jacques Bainville a mises en tête de la traduction d'un ouvrage de Frank H. Simonds, il dit : « Le véritable livre d'actualité est celui qui prend racine dans le passé et se prolonge dans l'avenir. » Aucun ne répond mieux à cette définition que le recueil des articles ici réunis en volume, et auquel j'ai été prié d'ajouter quelques mots d'introduction, vraiment inutiles. Un livre de Jacques Bainville, pas plus qu'une fable de La Fontaine, n'a besoin d'un discours préliminaire. Vouloir écrire une préface pour un tel livre frôle l'outrecuidance de l'homme légendaire qui s'est permis de porter des hiboux à Athènes. Cependant, par piété envers la mémoire de celui qui fut mon ami pendant plus d'un quart de siècle, j'ai accepté d'être cet homme. Aux premières pages, nous sommes au printemps de 1914, à la veille de la Grande Guerre. Jacques Bainville scrutant l'horizon, y voit poindre la grande collision. <strong>...</strong></p>Bainville Jacques - Un roi Wagnérien Louis II de Bavièreurn:md5:9bc97cd54e0ceddc1b1ab91950ac57ac2012-08-11T02:01:00+01:002017-03-08T11:36:23+00:00balderBainville JacquesAllemagne <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bainville_Jacques_-_Un_roi_Wagnerien_Louis_II_de_Baviere.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bainville Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>Un roi Wagnérien Louis II de Bavière</strong><br />
Année : 1911<br />
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La vie de Louis II de Bavière n'est pas à proposer en exemple, et Plutarque lui-même n'en aurait pas tiré de leçon. Ce n'est qu'une espèce de féerie assez mélancolique. Il était une fois un roi qui resta vierge et qui, par une nuit sans lune, se noya dans un beau lac... Lorsque j'ai publié ce livre, la critique a bien voulu me louer d'avoir raconté simplement tant d'extravagances. Je n'ai pas eu l'intention de raffiner ni de compliquer en recomposant plusieurs parties de ce petit ouvrage. Mais d'abord il a fallu le tenir au courant des renseignements nouveaux que diverses publications ont apportés sur le sujet. Et puis il m'a semblé que la féerie elle-même ne se trouverait pas trop mal d'être complétée par quelques idées qui, en somme, ne lui sont pas aussi étrangères qu'on pourrait le craindre. C'est, je crois, quelque chose d'assez remarquable que Louis II, un wagnérien de la première heure, un préwagnérien, si l'on peut dire, ait fini par passer de Bayreuth à Versailles, et, dans la seconde phase de ses caprices, ait voué un culte aussi enthousiaste que coûteux à l'architecture et à l'art français. En plein siècle de Parsifal, en pleine ère bismarckienne, le pauvre roi recommençait l'Allemagne française telle que le prestige européen de Louis XIV et la majesté du grand siècle l'avaient faite. Sur ce point, s'il était dément, sa démence était d'origine historique et héréditaire. Il m'a semblé intéressant de le noter. Ce qui est curieux encore, c'est que ce souverain d'esprit faible n'ait pas été un si mauvais souverain. A la tête d'un Etat important, et dans des circonstances difficiles, il a fait, en somme, ou laissé faire (ce qui revient au même), tout ce que la Bavière pouvait espérer de mieux. La reconnaissance de l'hégémonie prussienne étant devenue en 1871 la carie forcée, il a sauvé l'honneur, il a ménagé l'avenir. C'est déjà beau, et c'est même très beau, quand on songe aux catastrophes qui n'auraient pas manqué de survenir, s'il avait mis dans sa politique une petite moitié du romantisme qui a désolé sa vie privée. Cet extravagant a très convenablement exercé son métier de roi. On observe même avec amusement qu'il se comportait, vis-à-vis de ses ministres et de la Chambre, en souverain sévèrement constitutionnel au moment où il se croyait un autre Louis XIV. Déraisonnant sur le reste, il gardait du bon sens pour les affaires d'État. C'est un des cas les plus curieux que l'on connaisse de ce qu'il faut bien appeler le pli professionnel. J. B. 28 février 1911. <strong>...</strong></p>Bainville Jacques - Petite Histoire de Franceurn:md5:b4435f480b185b35578187841e8638522012-08-11T02:00:00+01:002017-03-08T11:36:28+00:00balderBainville JacquesEuropeFrance <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bainville_Jacques_-_Petite_Histoire_de_France.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bainville Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>Petite Histoire de France</strong><br />
Année : 1930<br />
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II y a bien, bien longtemps, dans un temps si lointain que les arrière-grands-parents de nos arrière-grands-parents n'ont pas pu le connaître, notre pays s'appelait la Gaule. Il était couvert d'immenses forêts. Et Paris n'était qu'un petit village qui tenait dans une île de la Seine. Ses habitants, qui s'appelaient les Gaulois, étaient de haute taille et ils portaient de longues moustaches qui leur donnaient un air guerrier. Ils aimaient par-dessus tout à entendre de beaux discours et à se battre. Ils étaient si braves, qu'ils disaient : « Nous ne craignons qu'une chose, c'est que le ciel tombe sur nos têtes. » C'est pourquoi ils allaient parfois guerroyer dans les pays lointains. Ils prirent même la grande ville de Rome, et les Romains furent épouvantés comme s'ils avaient vu entrer des sauvages. Beaucoup s'enfuirent, mais les vieux sénateurs étaient restés chez eux, assis sur leurs chaises, pour donner l'exemple du courage. Les Gaulois étaient si naïfs, qu'ils prirent ces vieillards pour des statues. L'un d'eux, afin de s'en assurer, tira la barbe d'un sénateur, qui lui donna un coup de bâton. Alors les Gaulois les tuèrent tous. Les Gaulois vainqueurs obligèrent les Romains à leur payer une grosse somme d'or que l'on devait peser dans une balance et ils apportèrent de faux poids. Comme les Romains se plaignaient, le chef gaulois Brennus jeta son épée dans la balance et s'écria : « Malheur aux vaincus! » Mais les Gaulois devaient être plus tard vaincus par les Romains, qui n'avaient pas oublié le mot de Brennus. Ce qui prouve que, dans ce monde, c'est à chacun son tour. De longues années passèrent encore pendant lesquelles les Gaulois vécurent sans soucis, croyant bien qu'ils seraient toujours les maîtres chez eux. Ils aimaient beaucoup les fêtes, les grands repas, la poésie et les chansons. Leurs prêtres s'appelaient les druides. Ils cueillaient le gui dans les arbres, en grande cérémonie. C'est en souvenir des druides qu'on vend encore du gui dans les rues et que nous en mettons dans nos maisons. Les Gaulois n'auraient jamais cessé d'être les plus forts s'ils avaient été unis. Malheureusement pour eux, ils avaient l'habitude de se quereller et même de se battre entre eux. Et c'est pourquoi ils perdirent leur liberté. Ils avaient, de l'autre côté du Rhin, des voisins très batailleurs et très méchants, qui s'appelaient alors les Germains et que nous appelons les Allemands. Les barbares de Germanie profitèrent des disputes des Gaulois pour envahir la Gaule. C'était le moment que les Romains attendaient. « Nous arrivons, dirent-ils aux Gaulois. Nous allons vous aider à chasser vos ennemis. » Les Romains firent, en effet, comme ils l'avaient promis. Seulement, quand ils furent entrés en Gaule, ils n'en sortirent plus. Et ils entreprirent de conquérir tout le pays. <strong>...</strong></p>Bainville Jacques - Napoléonurn:md5:084250ba61e2959e60a44de9ec8866b62012-08-11T01:49:00+01:002017-03-08T11:37:21+00:00balderBainville JacquesEuropeNapoléon <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bainville_Jacques_-_Napoleon.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bainville Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>Napoléon</strong><br />
Année : 1931<br />
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Sur Napoléon, sur ce qui le touche de près ou de loin, sur les événements auxquels son nom est mêlé, on a écrit tant de livres, tant d'essais, d'études, sans compter les mémoires, que le zélé bibliographe Kircheisen avait réuni près de deux cent mille fiches. Et ce n'est pas fini. Des archives s'ouvrent et s'ouvriront encore, tes mémoires de la reine Hortense, ceux de Caulaincourt ont été publiés récemment» D'autres témoins en ont laissé qui seront imprimés a leur tour Enfin les travaux historiques ne se sont pas ralentis. Une bibliothèque napoléonienne un peu complète devrait comprendre environ dix mille volumes, Pour n'avoir que l'essentiel, il en faut au moins cinq cents, On ne mut s'étonner qu'une vie qui sort à ce point de l'ordre commun reste l'objet d'un intérêt aussi intense, D'ensemble ou dans les détails, longtemps on racontera l'histoire merveilleuse de Napoléon Bonaparte, A égale distance de tout parti-pris, nous avons essayé d'écrire son histoire naturelle. Il avait coutume de dire ; « pourquoi et comment sont des questions si utile qu'on ne saurait trop se les faire. » Nous nous les sommes faites sur lui-même. Et nous avons tenté, en composant une biographie continue, en laissant toujours le personnage sous les yeux du lecteur, d'apporter des réponses aux « pourquoi » et aux « comment » qui viennent à l'esprit de tous ceux qui ont le goût et la curiosité de se rendre compte des choses. Napoléon disait encore de Tacite, en qui il voyait seulement le plus grand coloriste de l'antiquité : « Il ne fait pas connaître les motifs qui ont poussé les hommes à faire les actions. » Nous voudrions comprendre et expliquer la carrière de Napoléon Bonaparte, en établir l'enchaînement, retrouver les « motifs » qui l'on poussé », les raisons qu'il a pu avoir de prendre tel qu'un plutôt que tel autre. Nous avons tenté de discerner les causes générales et particulières d'une fortuné qui tient du prodige et d'événements qui semblent forgés par un conteur oriental. <strong>...</strong></p>Bainville Jacques - Les signes de la Fin d'un mondeurn:md5:19a1abfbdfba200236858f27f729316e2012-08-11T01:48:00+01:002017-03-08T11:37:26+00:00balderBainville JacquesFranceHébraïsme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bainville_Jacques_-_Les_signes_de_la_Fin_d_un_monde.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bainville Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>A la France - Aux Français Les signes de la Fin d'un monde Fin de la religion Fin de l'autorité Fin de la famille</strong><br />
Année : 1893<br />
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« On entend dire assez communément, dit Joseph de Maistre, que tous les siècles se ressemblent, et que tous les hommes ont toujours été les mêmes ; mais il faut bien se garder de croire à ces maximes générales que la paresse ou la légèreté inventent pour se dispenser de réfléchir. Tous les siècles, au contraire, et toutes les nations manifestent un caractère particulier et distinctif qu'il faut considérer soigneusement. Sans doute, il y a toujours eu des vices dans le monde, mais ces vices peuvent différer en quantité, en nature, en qualité dominante et en intensité. Il faut encore avoir égard au mélange des vertus dont la proportion varie infiniment. Lorsqu'on a montré les mêmes genres d'excès en temps et lieux différents, on se croit en droit de conclure magistralement que les hommes ont toujours été les mêmes. Il n'y a pas de sophisme plus grossier ni plus commun. » (Essai sur le principe générateur des constitutions politiques, LXI.) Comme au temps de Joseph de Maistre, ce sophisme grossier reste encore commun auprès des gens qui ne réfléchissent pas. Cependant beaucoup de ceux qui réfléchissent, considérant le caractère particulier que revêt le mal à notre époque, croient pouvoir affirmer que nous sommes à la veille de terribles catastrophes. M. Ed. Drumont nous les fait, pour ainsi dire, toucher du doigt dans son livre, La Fin d'un Monde. M. I. de Penboch, tout en admettant la catastrophe, se plaît à espérer un beau lendemain, et il intitule sa réponse à M. Drumont, Demain. Une foule de livres ont été écrits sur ce sujet. Mais tous ceux que j'ai lus revêtent trop, à mon humble avis, le caractère de chronique ou de faits divers. Ils nous font un tableau parfois inutile des désordres contemporains; mais ils oublient de nous dire que ces désordres viennent de l'écroulement des principes qui constituent la base sans laquelle aucune société ne peut ni vivre ni durer. Ils mettent à nu la vermine qui ronge le cadavre, mais ils ne nous indiquent pas les causes qui l'ont fait mourir. En outre, tous ou à peu près, laissent dans l'ombre certains signes qui sont cependant la marque la plus évidente et la plus immédiate d'un irrémédiable désastre. En d'autres termes, tous ces écrivains se sont contentés de faire une analyse incomplète d'ordinaire. Je demande, à mon tour, la permission de faire un peu de synthèse, et, sans entrer dans les détails, d'indiquer les signes généraux qui semblent marquer pour une prochaine dissolution, l'agglomération humaine au milieu de laquelle nous vivons. On dit que la Pythie du temple de Delphes ne pouvait rendre ses oracles qu'en se plaçant sur le trépied sacré. De même, à toute agglomération humaine, à tout corps social, il faut, pour vivre et pour durer, trois choses, la religion, l'autorité et la famille; la religion pour lui donner l'ordre moral, l'autorité pour y maintenir l'ordre matériel, et la famille pour remplacer avec usure les individualités qui disparaissent. C'est là le trépied sacré, nécessaire et suffisant, sur lequel toute société doit être assise pour pouvoir vivre et durer. A cette triple base qu'on enlève un point d'appui, aussitôt le corps social chancelle, il roule de chute en chute; ce n'est bientôt plus qu'un cadavre dans un état de décomposition plus ou moins avancée. Il nous suffira donc d'examiner où nous en sommes, par rapport à la religion, à l'autorité, à la famille, pour savoir si nous constituons véritablement un monde qui finit : et c'est ce qui va faire l'objet successif de nos investigations. <strong>...</strong></p>Bainville Jacques - Les dictateursurn:md5:763a98e9d696ac759ce0079353b70b322012-08-11T01:41:00+01:002017-03-08T11:37:30+00:00balderBainville JacquesAllemagneAutricheEspagneFascismeItaliePremière guerre mondialeRussieTroisième ReichTurquie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bainville_Jacques_-_Les_dictateurs.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bainville Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les dictateurs</strong><br />
Année : 1935<br />
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La dictature est comme beaucoup de choses. Elle peut être la meilleure ou la pire des formes de gouvernement. Il y a d'excellentes dictatures. Il y en a de détestables. Bonnes ou mauvaises, il arrive d'ailleurs le plus souvent qu'elles soient imposées par les circonstances. Alors les intéressés ne choisissent plus. Ils subissent. Il est particulièrement recommandable aux peuples de ne pas .tomber dans une situation telle qu'ils n'aient £lus qu'à subir et peut-être cette vue rapide et « cavalière » de l'histoire des dictateurs à travers lés âges ne sera-t-elle pas inutile aux Français dans les conjonctures présentés. <strong>...</strong></p>Bainville Jacques - Les conséquences politiques de la paixurn:md5:993b012352caed5e67707d0d5fdc24652012-08-11T01:35:00+01:002017-03-08T11:37:37+00:00balderBainville JacquesEuropePremière guerre mondiale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bainville_Jacques_-_Les_consequences_politiques_de_la_paix.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bainville Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les conséquences politiques de la paix</strong><br />
Année : 1920<br />
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Voici un livre unique dans l’œuvre de M. Jacques Bainville. La pente naturelle de son esprit porte M. Bainville à comprendre et à expliquer plutôt qu'à prévoir. Pourtant, en 1920, il a prévu; il a écrit ce livre et il a pu, sans remords, laisser à d'autres le métier de prophète parce qu'il avait tout annoncé, tout ce qui s'est passé depuis 1920, et probablement tout ce qui se passera dans les années à venir. Il n'est pas de lecture qui laisse l'impression plus vive d'une intelligence exceptionnelle, à la fois lucide, ferme, rapide, vigoureuse, appliquée au réel, s'élevant sans fatigue du détail géographique aux vues les plus vastes et se servant de l'expérience historique avec une sûreté qui éblouit et une aisance qui enchante. Le trait le plus frappant de notre temps est, sans doute, la décrépitude de l'intelligence politique. Le fonctionnement du régime parlementaire exige des chefs plus d'habileté que de puissance, plus d'opportunisme que de ténacité, plus de roueries que de vues générales. Sont portés au pouvoir des hommes sans expérience qui s'imaginent suppléer à leur défaut de préparation, en s'entourant de spécialistes méticuleux et bornés. Ainsi les détails du traité de Versailles sont l’œuvre d'experts et de techniciens. L'ensemble et les grandes lignes sont l'ouvrage d'amateurs. La réflexion et la compétence se rencontrent dans l'accessoire. Les dispositions générales et essentielles dont dépendent la solidité et le succès de toutes les autres ont été arrêtées par des hommes que ne guidaient pas la connaissance du passé mais les principes sommaires d'une philosophie oratoire. C'est le drame de Versailles, c'est aussi le sujet de ce livre. Du désaccord fondamental découlaient des conséquences. Jacques Bainville a l'honneur de les avoir prévues et d'avoir défini la politique qui, dans la mesure du possible, aurait pu les conjurer. Pierre Gaxotte. <strong>...</strong></p>Bainville Jacques - Le Dix-huit Brumaireurn:md5:5fcd493c56126aaeb8f541b27b524d062012-08-11T01:31:00+01:002017-03-08T11:37:41+00:00balderBainville JacquesFranceNapoléonRévolution <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bainville_Jacques_-_Le_Dix-huit_Brumaire.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bainville Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le Dix-huit Brumaire</strong><br />
Année : 1925<br />
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Drame à cent actes divers, l'Histoire est la plus riche mine d'évènements romanesques qui puisse être. Par l’imprévu des situations, la vérité tragique des scènes, le développement étrange de certains faits, ou la psychologie des personnages, elle dépasse souvent ce que peut concevoir le talent le plus fertile des romanciers. A tous ceux que passionnent les ouvrages d'imagination, les Récits d'autrefois apportent des œuvres aussi passionnantes, faites uniquement de vérité cl de vie. Ce ne sont pas des romans historiques où la fiction se mêle à la réalité, mais des reconstitutions vivantes, colorées, émouvantes et pittoresques des événements les plus attachants du passé — où rien n'est avancé qui ne soit d'une scrupuleuse authenticité, où nulle part n'est laissée à l'invention, mais où l'attrait de la chose vécue ajoute à l'intérêt du récit. <strong>...</strong></p>Bainville Jacques - Le Coup d'Agadir et la guerre d'Orienturn:md5:a0808cef4d113965b51340688853970e2012-08-11T01:29:00+01:002017-03-08T11:37:52+00:00balderBainville JacquesAfriqueAgadirAllemagneAngleterreAutricheEuropeFranceHongrieItalieMarocMoyen-OrientOrientPremière guerre mondialeRussieTurquie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bainville_Jacques_-_Le_Coup_d_Agadir_et_la_guerre_d_Orient.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bainville Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le Coup d'Agadir et la guerre d'Orient</strong><br />
Année : 1913<br />
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Luttes et conflits de la triple entente et de la triplice. La politique des grandes monarchies autoritaires du XXe siècle. Décadence du libéralisme et avenir de la réaction dans l'Europe contemporaine. <strong>...</strong></p>Bainville Jacques - La guerre et l'Italieurn:md5:4a125872f3d0a680e52d8e0c9ceea4cd2012-08-11T01:19:00+01:002017-03-08T11:37:59+00:00balderBainville JacquesAllemagneAutricheItaliePremière guerre mondiale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bainville_Jacques_-_La_guerre_et_l_Italie.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Bainville Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>La guerre et l'Italie</strong><br />
Année : 1916<br />
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Pourquoi l'Italie a voulu la guerre. — Ce que l'Italie attend de la guerre. — L'Italie et l'Autriche. — L'Italie et l'Allemagne. — L'avenir des relations franco-italiennes. <strong>...</strong></p>