Histoire Ebook - De La Chesnaie SigismondRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearDe La Chesnaie Sigismond - Malô Lilâk Tome 2urn:md5:eaac36cefe6f5136c42f833fc94c8ad72017-07-01T14:36:00+01:002017-07-13T14:57:45+01:00balderDe La Chesnaie SigismondProphétieTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/De_La_Chesnaie_Sigismond_-_Malo_Lilak_Tome_2.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>De La Chesnaie Sigismond</strong><br />
Ouvrage : <strong>Malô Lilâk Tome 2 Hitlérisme et prophéties au scanner</strong><br />
Année : 2017<br />
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Chapitre XVIII : Wall Street et l’édification du IIIe Reich. Selon l’histoire officielle, l’ascension au pouvoir d’Hitler débuta en 1919 lorsque celui-ci rejoignit le Deutsche Arbeiterpartei, abréviation DAP, le Parti des travailleurs allemands. Le nom du parti avait alors changé l’année suivante en Nationalsozialistische Deutsche Arbeipartei ou NSDAP, le Parti National-Socialiste des Travailleurs Allemands, plus communément appelé Parti nazi. Ce mouvement qui s’était donc constitué et développé pendant la période de l’après-guerre, était antimarxiste et s’était opposé au gouvernement qui fut dénommé République de Weimar ainsi qu’au Traité de Versailles, en défendant notamment un nationalisme extrême, le Pangermanisme, ainsi qu’un antisémitisme virulent. C’est alors après la promulgation le 24 mars 1933 de la Loi édictée en vue de remédier à la détresse du peuple et du Reich, dénommée Loi allemande des pleins pouvoirs de 1933, encore appelée loi d’habilitation ou Gesetz zur Behebung der Not von Volk und Reich vom 24 März 1933 (dénomination officielle), que l’ascension d’Hitler fut considérée comme pleinement achevée. En effet, cette loi (dont la dernière page est reproduite plus bas) qui avait été adoptée la veille par le Reichstag (l’assemblée parlementaire qui représentait le peuple allemand dans son ensemble sous la république de Weimar), allait donner au futur Chancelier (Reichskanzler) les pleins pouvoirs en lui donnant le droit de gouverner par décret, c’est-à-dire de promulguer des textes à portée législative sans approbation parlementaire. Ayant été promulguée pour une période renouvelable de quatre ans, cette loi resta en vigueur jusqu’à la chute du régime nazi, en mai 1945. Et c’est après la Reichstagsbrandverordnung ou « décret sur l’incendie du Reichstag », que ladite loi constitua la 2ème étape législative de la « mise au pas » ou Gleichschaltung, aboutissant à l’instauration du régime totalitaire nazi. Comme nous allons pouvoir le constater, le climat et la nature de certains événements de la République de Weimar qui couvrit la période reliant la fin de la Première Guerre mondiale et l’arrivée au pouvoir du Parti nazi en 1933, marquant l’avènement du IIIe Reich (le Ier Reich couvrit la période du Saint-Empire romain germanique, de 962 à 1806, et le IIe Reich, celle de l’Empire allemand, de 1871 à 1918), avaient permis de « préparer » le terrain à ce qu’il convient d’appeler la “judéophobie” d’Hitler (le terme est placé entre guillemets car nous aurons l’occasion de nous rendre compte dans ce panorama de sa signification véritable). Voici à ce sujet quelques commentaires du Dr App dans la version française de son livre déjà cité, Ne Pas Se Taire (p.29), dénonçant les attaques des Juifs contre le patriotisme et l’amour du pays dont ils étaient en fait les hôtes, propos qui se basaient notamment sur ceux du magazine Nation Europa (mensuel fondé à l’origine en 1951 en soutien du nationalisme paneuropéen) de février 1964 : “Nation Europa a expliqué que tous les putschs communistes qui ensanglantèrent l’Allemagne de Weimar étaient dirigés par des Juifs tels qu’Eugen Leviné, Max Levien, Tobia Akselrod, Kurt Eisner, Gustav Landauer, Erich Mühsam et Ernst Toller. L’auteur aurait pu ajouter à sa liste Rosa Luxembourg et Karl Liebknecht, les chefs de l’infâme organisme rouge « Ligue Spartakus ».” C’est quand l’opuscule de Nation Europa parut pour la première fois, apprend-on, que le Dr App donna un compte rendu des deux paragraphes suivants (qu’il maintint par la suite) : “Mais le pire fut que, pendant toute la durée de la république de Weimar, une majorité d’intellectuels et d’écrivains se livrèrent à une diffamation constante de la nation allemande. Walter Mehring qualifia les « Casques d’acier » (Stahlhelm) de la Première Guerre mondiale d’ordures (« Dreck »). Kurt Tucholsky prétendit que les volontaires de 1914 avaient été victimes d’une soûlerie collective (« Massenbesoffenheit »). Arnold Zweig dit des Allemands qu’ils étaient une « nation de brebis votantes, d’affairistes, d’assassins, de fuyards, d’amateurs d’opérettes et de fonctionnaires cadavériques » (« Nation von Stimmvieh, Geschäftsmachern, Mördern, Abrückern, Operettenliebhabern und Amtskadavern »). <strong>...</strong></p>De La Chesnaie Sigismond - Malô Lilâk Tome 1urn:md5:ab33d8e0a10e9e6e337154de359e05db2017-04-15T20:00:00+01:002017-04-15T20:42:32+01:00balderDe La Chesnaie SigismondAfriqueAllemagneBelgiqueBerlinBolchéviqueCanadaConspirationDresdeEuropeEx-Libris LenculusFranc-maçonnerieFranceHollandeHongrieHébraïsmeKabbaleLuxembourgRoumanieRussieRévisionnismeSeconde guerre mondialeSlovaquieTalmudTroisième ReichÉtats-Unis <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/De_La_Chesnaie_Sigismond_-_Malo_Lilak_Tome_1.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>De La Chesnaie Sigismond</strong><br />
Ouvrage : <strong>Malô Lilâk Autopsie détaillée d'une inversion génocidaire Tome 1</strong><br />
Année : 2017<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook3/De_La_Chesnaie_Sigismond_-_Malo_Lilak_Tome_1.zip">De_La_Chesnaie_Sigismond_-_Malo_Lilak_Tome_1.zip</a><br />
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Introduction. « On peut mentir un temps à tout le monde, On peut mentir tout le temps à une partie du monde, mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde. » Il est assez bien connu qu’une société basée sur le mensonge et la corruption ne peut durer éternellement car celle-ci se mettra tôt ou tard à vaciller sur des fondations de plus en plus branlantes du fait même de la prise de conscience croissante des populations, pour finir par s’auto-détruire complètement, soit par implosion, par explosion ou ces deux formes combinées. Cette prise de conscience croissante commencera logiquement avec les individus les plus clairvoyants qui, selon leur capacité d’agir et d’influencer autrui, pourra dès lors se répandre par contagion afin que les masses justement soient mises de plus en plus au fait de ce qui était maintenu dans l’ombre. Il va sans dire que nombre de ces lanceurs d’alerte furent mis au ban de la société et ce, d’autant plus que leur position hiérarchique et par voie de conséquence d’influence donc, fut élevée. Toutes les méthodes furent alors employées afin de réduire ces indésirables au silence (assassinat, disparition, suicide provoqué, ostracisme, diffamation, condamnation (...) Mais voilà qu’à l’ère des médias électroniques, de plus en plus de citoyens peuvent découvrir maintenant ce qui aurait été impossible il y a quelques décennies, grâce notamment à des documents d’importance capitale (comme celles des archives fédérales de Coblence que nous verrons en détail) et bien-sûr à de véritables historiens et chercheurs dont le travail sans relâche en vue de faire triompher la Vérité depuis tout ce temps devrait être cité en exemple. Des spécialistes s’étant donné la peine d’enquêter sur place, de collecter autant de documents et de témoignages que possible, dont certains durent le payer de leur vie ou d’une autre manière, et à qui nous rendons hommage ici. Des témoignages recueillis donc directement à partir de faits vérifiables et non pas sortis d’esprits névropathes et hystériques enclins à toutes formes d’affabulations et de folie imaginaire, celles-là même qui composent encore l’essentiel des « preuves » officielles, ces soi-disant preuves qui permettent encore aujourd’hui à ces esprits malades de se déchaîner sur un peuple, que ce soit au niveau des lois, des réparations de guerre, d’une discrimination impressionnante et d’une accusation de tous les maux notamment grâce à la magie hollywoodienne, et ce, plus de soixante-dix ans après les faits supposés. C’est déjà donner une petite idée du niveau d’obsession maladive de ces esprits tortueux à l’encontre d’un peuple catalogué ainsi de terrible menace pour l’Humanité et les droits de l’Homme. Déjà, pendant la guerre, des hommes politiques et écrivains avaient planifié leur destruction totale avec toutes sortes de calculs inimaginables (qu’on passera en revue dans le second panorama) dont on se demande comment il est possible de considérer les propos d’êtres aussi dégénérés comme paroles d’Evangile. Pourtant, rien ne fut porté à l’atteinte de telles personnes ni à celles des véritables bourreaux de certains camps de concentration vers la fin du conflit, occupés alors par les vaincus et gérés par les vainqueurs. Lorsque des tentatives de ce genre, avec preuves à l’appui, furent faites, comme par exemple celle de demande d’extradition de l’ancien commandant du camp d’extermination de Zgoda-Schwientochlowitz en Pologne en 1945, le Juif Salomon Morel, aux fins d’inculpation de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité en 1996 puis en décembre 2003 par le tribunal de Katowice qui avait lancé un mandat d’arrêt contre lui, tout cela fut en vain vu que notre commandant s’était réfugié en Israël en 1992, l’année même où il fut entendu une seule fois par la justice suite à une enquête officielle lancée après une investigation au sujet de cet infâme camp polonais. En effet, les autorités israéliennes avaient refusé cette extradition pour motif de prescription car selon elles et d’après Sepp Jendryschik (dont nous aurons l’occasion de reparler beaucoup dans le deuxième panorama), dont le père mourut en 1945 justement dans ce camp, « Morel pourrait être accusé tout au plus de lésions corporelles ». Cette affaire peut d’ores et déjà être close vu que celui qui avait pour nom de guerre chez les partisans juifs, meshugganer, signifiant « maboul », décéda en Israël en 2007 à l’âge de 87 ans et sans aucun doute paisiblement. Plus de soixante-dix ans donc après ce drame mondial, nous pouvons encore constater l’état de léthargie dans lequel semblent se complaire bon nombre de gouvernements et organismes publics en ce qui a trait à la révélation de ce qui demeure enfoui dans des salles d’archives, des associations de réfugiés ou encore de revues à faible tirage créées par de véritables témoins et victimes ou proches de victimes de cet autre drame du XXe siècle. Bien entendu, ces mêmes gouvernements et organismes publics étant à la solde directe ou indirecte de ceux-là mêmes qui écrivent, font écrire ou supervisent les manuels scolaires ainsi que tout ce qui concerne l’histoire officielle au-travers de magazines à grand tirage, reportages et j’en passe, nous en conviendrons que rien de tout cela n’est en somme surprenant. C’est dans un tel contexte que certains historiens et puristes en la matière, ayant constaté la teneur incohérente ainsi que moult contradictions de tout cet étalage de « preuves » abracadabrantes à propos de l’histoire relative à la Seconde Guerre mondiale, se sont lancés dans des travaux de recherche foncière aux fins de collecte justement de données difficilement accessibles mais ô combien précieuses, que les grands pontes du politiquement et du socialement corrects s’efforcent de garder cachées, c’est-à-dire celles n’ayant pas encore fait les frais d’un autodafé ou autre destruction. C’est ainsi que le terme révisionniste comme d’autres vocables tels que racisme ou Apartheid devint lui aussi « à la mode » pour se voir connoté négativement par toute la clique des bien-pensants, résolus à mener coûte que coûte la guerre aux « fauteurs de trouble » et autres marginaux. Nous eûmes droit récemment d’ailleurs à un exemple du « chemin à suivre » avec le trépas du « champion » de la lutte contre l’Apartheid, le « grand » Nelson Mandela, ce révolutionnaire « au service des droits de l’homme et de la paix » qui s’est vu recevoir un véritable culte de la personnalité aux quatre coins du globe. En Afrikaans, Apartheid signifie à l’origine « séparation » et s’est vu par la suite imposé une définition plus « conforme » comme « discrimination » ou encore « ségrégation », illustrant mieux l’état d’esprit contemporain. Il faut savoir justement que cette « séparation » qui avait été imposée, avait pris une tournure réaliste dans les années soixante par le Premier ministre de l’époque, Hendrik Verwoerd ; en effet, celui-ci avait tenu compte des différences énormes de culture, de race et autres entre les diverses communautés composant la population sud-africaine, voyant que le mélange d’autant d’ethnies sur un même territoire ne pouvait aboutir à rien de solide et de fructueux. Sa politique considérait donc ces divergences et permettait une partition du pays où lesdites communautés pouvaient avoir leur propre autonomie. Tout cela fut critiqué de vive voix bien-sûr alors qu’une telle politique aurait permis une cohabitation sans doute exemplaire d’autant de peuples différents. C’est encore une fois au nom des droits de l’homme et de la sacro-sainte liberté que ce Premier ministre sud-africain dut disparaître (le 6 septembre 1966 !) afin de laisser la place à quelque remplaçant davantage enclin aux « valeurs démocratiques ». L’exemple de ce pays austral ne vient pas se greffer ici par hasard vu que nous aurons l’occasion, dans le dernier panorama, de mettre en relief un personnage justement natif de cette contrée et dont les révélations croiseront à merveille le chemin de notre pèlerinage. Pour en revenir donc au sujet qui nous intéresse, nous avons aujourd’hui des antirévisionnistes qui, eux-aussi, sont bien décidés à faire rentrer dans les rangs les quelques brebis ayant osé s’écarter du troupeau. Mettons alors bien les points sur les « i » ici : le terme révisionnisme cherche, comme son nom l’indique, à faire une révision de tout ce qui a pu être rapporté, ici en l’occurrence historiquement, afin d’écarter tout ce qui peut relever du mythe, de la fable et du tabou (généralement créés par les vainqueurs) et d’en dégager une vérité aussi objective que possible. C’est ainsi que l’Histoire est et devrait être logiquement révisionniste, faute de quoi, ce ne serait pas de l’Histoire. Certains avaient d’ailleurs mis en opposition Hérodote qui semblait mêler mythes, légendes et vérités à Thucydide qui s’efforçait de retirer toute part de merveilleux des événements afin d’en extraire quelque chose de cohérent. Bien entendu, les virtuoses du retournement à 180° s’en sont donné à coeur joie afin que, pour les masses, ce qui est vrai passe pour être faux et vice-versa, au même titre que la laideur passera pour belle et le dégénéré mental pour un saint. Nous aurons donc l’occasion de passer en revue dans ce livre les travaux de certains de ces anticonformistes qui, grâce à leur courage, leur ténacité et surtout leur probité intellectuelle, nous permettent d’avancer à grandes enjambées sur le chemin de la Vérité historique qui nous intéresse ici et donc d’élargir le champ de vision de tout un chacun à d’autres domaines connexes ou non. Le lecteur (re)découvrira d’abord tout un pan de la partie conventionnelle des événements tragiques de la Seconde Guerre mondiale, celle qui bien-sûr est toujours enseignée dans nos bonnes vieilles écoles et semée aux quatre vents, avec quelques morceaux choisis de « témoins oculaires et de survivants de l’Holocauste », un pan donc politiquement correct que nous aurons alors le plaisir de faire voler en éclats lorsque les briques et autres morceaux le constituant seront passés au crible de l’analyse « non-conventionnelle ». C’est seulement après que l’on prendra connaissance de l’identité des vraies victimes de ce conflit au-travers d’un passage en revue de documents qui, heureusement aujourd’hui, gagnent petit à petit en popularité (même si le terme est un peu exagéré). Il nous faudra ensuite essayer de tisser un lien entre des éléments apparemment contradictoires mais en réalité relativement logiques, avec notamment les dessous du Nazisme, pour finir avec une note d’espoir, tirée de certaines visions prophétiques quant à la finalité du monde, ce monde en chute libre et chaotique dans lequel a plongé l’Humanité, un monde vraiment « à l’envers ». Il faut noter pour terminer que l’ouvrage que vous vous apprêtez à lire est relativement dense, raison pour laquelle celui- ci est abondamment illustré aux fins d’aération du texte (et de l’esprit !). Précisons ici que les grands bonimenteurs de l’Holocauste utilisent évidemment à profusion images et photographies afin de donner un caractère substantiel et « vérifiable » à leurs supputations, raison pour laquelle ils n’hésitèrent pas à en employer de fausses ou d’autres, sans aucun rapport avec le sujet, sachant « qu’une image vaut mille mots ». Ainsi, par exemple, en montrant la photographie d’un local avec des pommeaux de douche au plafond, accompagnée des commentaires correspondants et surtout en la faisant suivre de la photographie d’une montagne de corps décharnés, sont-ils à peu près assurés de faire avaler la pilule à la majorité des masses de l’existence réelle des chambres à gaz. En ce qui nous concerne ici en revanche, les reproductions de plans, de photographies ou clichés aériens, de couvertures de livres ou portraits, etc. essaient d’être le plus conformes, adaptées et appropriées que possible au contexte particulier de ce livre (avec des légendes et des nuances parfois ironiques en rapport avec les faits et non pas fonction des lubies et autres délires obsessionnels des défenseurs de la cause holocaustique) et donc, de cet épisode peu glorieux de l’histoire de l’Humanité. De même, la reproduction de vieilles cartes postales de certains lieux visera à créer un fort contraste entre d’une part, l’impression de paix qui s’en dégage, et les scènes terribles qui s’y déroulèrent par la suite, de l’autre. L’ouvrage sera composé de 4 panoramas, avec les 3 premiers traitant du passé, et le 4e de l’avenir, avec des petites incursions au présent pour l’ensemble. <strong>...</strong></p>