Histoire Ebook - Demartial GeorgesRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearDemartial Georges - Le mythe des guerres de légitime défenseurn:md5:99c4fe0ff8c8d4bca18897672c3637a02013-01-08T17:21:00+00:002017-03-07T13:06:03+00:00balderDemartial GeorgesEuropePremière guerre mondialeRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Demartial_Georges_-_Le_mythe_des_guerres_de_legitime_defense.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Demartial Georges</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le mythe des guerres de légitime défense</strong><br />
Année : 1931<br />
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Le mythe de la légitime défense a joué un rôle capital dans la guerre européenne. Personne ne contestera qu'en 1914 la guerre était considérée comme un attribut nécessaire et légitime de la souveraineté des États, seuls juges de leurs intérêts et des moyens à employer pour leur protection. Partout elle était, suivant le mot du général Clausevitz, admise « comme une des formes de la politique » ; partout les hommes qui la choisissaient comme profession étaient honorés entre tous ; partout les peuples étaient prêts à en supporter le poids, consacraient à sa préparation le plus clair de leurs ressources, la plupart même acceptant le service militaire comme une obligation sacrée. Pour beaucoup de gens, la guerre avait même un caractère religieux, soit que, comme Joseph de Maistre, ils ne pussent se l'expliquer autrement que par l'effet d'une volonté supérieure aux hommes, soit qu'ils lui trouvassent une vertu purificatrice. Quoi qu'il en soit, dans les vingt années précédant 1914, il n'y avait pas eu moins de dix guerres sur tous les points du globe, les trois dernières en Europe même ; on s'y était battu en 1911, en 1912, en 1913. L'idée ne vint à personne de traiter de criminel, d'excommunier du monde dit civilisé tel ou tel des belligérants, sous le prétexte « qu'il avait commencé » ; au contraire, les sympathies se portèrent sur les républiques boërs, le Japon, les États balkaniques, dont c'était le cas. Des sages, des pacifistes comme Fénelon et Montesquieu avaient même admis qu'un État fît préventivement la guerre à un autre en passe de devenir trop puissant. « Une plus longue paix, disait Montesquieu, mettrait cet autre en état de le détruire, et l'attaque est alors le seul moyen d'empêcher cette destruction » (L'Esprit des Lois, chapitre X). C'est sur cette idée que reposait le principe de l'équilibre européen, au nom duquel avaient eu lieu, depuis quatre siècles, sous les prétextes les plus divers, toutes les guerres de coalition, jusques et y compris la guerre de Crimée. On avait bien réuni à la Haye, en 1899 et en 1907, les fameuses conférences dites « de la paix ». Elles accouchèrent d'une réglementation de la guerre. On décida notamment qu'on ne devrait pas la commencer sans une déclaration en forme, qui la rendait licite si cette formalité était accomplie. Ainsi la guerre avait ses lois, comme le mariage et la propriété. Elle était le moyen extrême par lequel deux États tranchaient un conflit quand les négociations n'y suffisaient pas, absolument comme des individus recourent à un procès quand ils ne peuvent s'entendre à l'amiable. Comme la guerre est une affaire de force, et non de judicature, il importe moins à des États en guerre d'avoir raison qu'à des particuliers dans un procès. « Right or wrong, my country ». Qu'il ait tort ou raison, je suis pour mon pays. C'est en effet le vainqueur qui a raison ; la force fait le droit. Mais on n'aime généralement pas avouer qu'on a tort, et qu'on ne doit son droit qu'à la force! Un État en guerre essaie donc tout de même de mettre le droit de son côté, soit en arguant qu'il n'a pas commencé les hostilités, soit en disant qu'il a été provoqué s'il les a commencées. C'est l'argument de la légitime défense. Comment un Etat aurait-il tort s'il ne fait que se défendre ? N'est-ce pas la preuve qu'il est innocent de la guerre ? Toutefois, en raison de la difficulté de savoir si une guerre est vraiment défensive ou non, on n'attachait pas jusqu'ici à cet argument une grande importance. Comment établir qui a tiré le premier coup de feu, ou qui a le premier franchi la frontière, ou qui a, par ses armements, mis l'autre en état de légitime défense ? Suivant les conditions géographiques, politiques, militaires, des préparatifs de guerre peuvent signifier la guerre dans tel cas et pas dans tel autre. La difficulté est encore plus grande de savoir quel État a politiquement provoqué la guerre, c'est-à-dire lequel aurait dû s'incliner devant les prétentions de l'autre, chacun pouvant avoir, au point de vue de ses intérêts, une excellente raison de ne pas céder. En fait, si on excepte les expéditions coloniales, on peut se demander s'il n'y a jamais eu, dans les temps modernes, une guerre entre États indépendants dont on ait pu dire qu'elle était purement défensive, comme celle que Rabelais, dans son Gargantua, fait soutenir par Grandgousier contre Pichrocole. Mais il a fallu précisément qu'il l'imagine. Je dis dans les temps modernes par prudence. Dans un article du vaillant hebdomadaire américain Unity (28 mai 1928), j'ai lu qu'en 1815 un citoyen de ce pays, Noah Worcester, qui pensait que seule la guerre défensive peut se concilier avec les principes du christianisme, fit une étude des causes des guerres principales depuis Constantin, afin de voir combien remplissaient cette condition ; il trouva que sur deux-cent-quatre vingt six guerres, aucune n'était vraiment défensive. <strong>...</strong></p>Demartial Georges - La légende des démocraties pacifiquesurn:md5:4678f3793c004a8d65798a2cf8486f762013-01-08T17:17:00+00:002017-03-07T13:06:09+00:00balderDemartial GeorgesHébraïsmePremière guerre mondialeSeconde guerre mondiale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Demartial_Georges_-_La_legende_des_democraties_pacifiques.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Demartial Georges</strong><br />
Ouvrage : <strong>La légende des démocraties pacifiques</strong><br />
Année : 1939<br />
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PROLOGUE En 1922, Bertrand Russell, le grand philosophe et mathématicien anglais, publia une petite brochure intitulée : Free thought and official propaganda (La liberté d'opinion et la propagande officielle). En voici quelques passages. « Les moyens d'acquérir la vérité sont bien connus. Ils consistent à entendre le pour et le contre, à vérifier les faits, à contrôler notre propre opinion en discutant les opinions adverses, à prendre habitude d'écarter toute hypothèse non justifiée. « Si ces procédés étaient appliqués dans le domaine de la politique, la guerre par exemple deviendrait impossible, parce qu'on comprendrait dans chaque camp qu'il y a des torts dans les deux camps... « Mais il n'en est rien. Prenez l'enseignement de l'histoire dans les livres scolaires. Quand un homme écrit sa biographie, il est tenu à une certaine modestie ; mais s'il s'agit de celle de la nation, la gloriole et la vantardise sont de règle, et sans limites... « Dans tous les pays, le but de l'éducation publique est de faire croire aux enfants des absurdités qui, le moment venu, les amèneront à accepter de mourir pour la défense de sinistres intérêts, en croyant que c'est pour la vérité et le droit... « Une véritable liberté d'opinion supposerait l'égalité de diffusion des diverses opinions. Celle qui dispose de plus d'argent, surtout si elle a en outre le gouvernement pour elle, a naturellement une diffusion bien plus grande... « La propagande, telle qu'elle est pratiquée par les politiciens et gouvernements modernes, a emprunté les procédés de la publicité commerciale. Elle est un moyen de gouvernement adopté dans tous les États avancés, et sert tout spécialement à créer l'opinion dans les démocraties... « Il faudrait apprendre aux enfants non à croire mais à douter... les habituer à penser par euxmêmes. « La crédulité est un mal plus grand aujourd'hui qu'autrefois. D'une part, grâce au développement de l'instruction, il est plus facile de répandre l'erreur. De l'autre, dans une démocratie, les gouvernants ont plus besoin que ceux de jadis de répandre l'erreur. D'où l'accroissement du nombre des journaux. » Or le 1er juin 1938, M. Chautemps, vice-président du Conseil des ministres, à une réunion offerte à des journalistes étrangers, leur dit : « La propagande est une chose dont on ne peut pas parler dans un État démocratique. C'est un acte dictatorial. Propagande et régime démocratique sont deux idées qui s'excluent. » M. Chautemps a dit aussi : « La profession de journaliste est la plus belle de toutes. Elle peut être affreuse si elle est au service d'intérêts et de passions. » Il estime donc que dans notre démocratie la presse ne se met pas au service d'intérêts ou de passions. Sans quoi il n'aurait pas tenu ce langage aux journalistes étrangers. Voilà deux opinions diamétralement opposées. Le danger des démocraties, dit le sociologue anglais, c'est la facilité avec laquelle l'opinion se laisse prendre à la propagande du gouvernement et des journaux ; il faudrait donc y développer le plus possible l'esprit critique. Le privilège des démocraties, dit l'homme d'Etat français, c'est que la propagande du gouvernement et des journaux y est inconnue, et y serait impossible ; on ne les trompe pas et on ne pourrait les tromper. Pour savoir qui a raison, référons-nous à un sujet qui domine de haut tous les autres, celui de la paix et de la guerre, et voyons si, dans les démocraties, la propagande en est exclue. <strong>...</strong></p>Demartial Georges - 1939 La Guerre de l'Impostureurn:md5:108d3a0a00c5737aec496a1529e7ad592013-01-08T17:14:00+00:002017-03-07T13:06:15+00:00balderDemartial GeorgesAllemagneEuropeFranceHébraïsmeRévisionnismeSeconde guerre mondialeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Demartial_Georges_-_1939_La_Guerre_de_l_Imposture.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Demartial Georges</strong><br />
Ouvrage : <strong>1939 La Guerre de l'Imposture</strong><br />
Année : 1941<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Demartial_Georges_-_1939_La_Guerre_de_l_Imposture.zip">Demartial_Georges_-_1939_La_Guerre_de_l_Imposture.zip</a><br />
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Prologue. Le 14 Février 1906, le journal anglais The Labour Leader, qui menait une admirable campagne contre les mensonges de la guerre d'alors, publia ces lignes du grand écrivain Galsworthy : « Si un ennemi élève la voix dans son pays contre les passions de la populace et les excitations à la haine, quel homme éclairé ! Le lendemain un tel fait la même chose chez nous : pendez-le. — Nous disons jusqu'au dernier homme et au dernier sou, voilà du patriotisme ! Le lendemain nous lisons que l'ennemi s'efforce d'utiliser les chiens et les chats : quelle truculente insanité ! — Un compatriote déguisé a obtenu des renseignements sur l'adversaire, voilà du vrai courage ! Le lendemain nous apprenons qu'un espion ennemi a été fusillé : le sale mouchard. » Voici quelques exemples de ce qu'a donné le système dans la guerre de 1939. En 1914 la France a fait la guerre à l'Allemagne pour détruire le traité de Francfort et reprendre l'Alsace-Lorraine « Ce sera notre devoir, le grand devoir de votre vie », enseignait aux écoliers M. Lavisse, grand pontife de l'Université. Aujourd'hui c'est l'Allemagne qui fait la guerre à la Pologne pour détruire le traité de Versailles et reprendre une ville allemande. Alors on en fait le crime des crimes. Un psychiatre, le Dr. Logre, médecin chef de l'infirmerie spéciale de la Préfecture de Police, découvre en elle « une forme agressive de l'arriération morale, une sorte de vocation systématique au mensonge, au vol, au pillage, à l'homicide, au massacre » (Paris-Soir du 10 Octobre 1939). Un autre psychiatre des plus réputés, le Dr. Toulouse, directeur lui aussi d'un asile d'aliénés, expose que si Hitler peut, « le fouet à la main, lancer le peuple allemand tantôt sur l'Autriche et la Tchécoslovaquie, tantôt sur la Pologne et le front occidental, c'est qu'il l'a rendu plus esclave que les esclaves de la Rome antique et du nouveau monde, que les femmes des harems orientaux » (L'OEuvre du 27 Novembre 1939). Dans leurs discours de guerre, Chamberlain et Daladier, chefs des démocraties anglaise et française, font un continuel étalage de leur force : Nous vaincrons parce que nous possédons les plus puissants empires du monde, parce que nous sommes maîtres des mers, parce que nous avons le plus d'hommes, le plus d'or, le plus d'armes, le plus de vivres, et le moyen d'en priver l'adversaire : le blocus. Cette supériorité ne leur est pas tombée du ciel. C'est par le fer et par le feu qu'ils l'ont acquise. Cependant, dans ces mêmes discours, ils ne cessent de dire qu'ils font la guerre à l'Allemagne parce qu'elle a eu recours à la force. C'est donc qu'ils considèrent l'emploi de la force comme légitime quand c'est eux qui s'en servent, et criminel quand c'est d'autres. Les deux Alliés reprochent à l'Allemagne de s'attaquer à de plus petits qu'elle. Ils en ont fait autant toute leur existence. Pour en faire honte à l'Allemagne, il faut qu'ils aient perdu eux-mêmes toute retenue. D'ailleurs si attaquer un Etat quand il est plus faible est une lâcheté, se mettre à plusieurs grands Etats contre un seul, même fort, en est une autre. Et cela aussi l'Angleterre l'a fait toute son existence. A moins qu'il ne s'agisse de guerres coloniales, où elle est assurée d'être la plus forte, elle fait bien rarement la guerre toute seule. De quelles coalitions n'a-t-elle pas été l'âme sur le continent ? Sans doute il est arrivé à la France et à l'Angleterre, comme à d'autres puissances, de prendre la défense d'un autre Etat. Mais c'est qu'elles y avaient intérêt. Un Etat n'est pas un Don Quichotte. Et la France et l'Angleterre se ridiculisent en prétendant en jouer le rôle. Le Livre Jaune publié par le gouvernement français sur les origines de la guerre de 1939 débute par une Préface. Cette préface, intitulée « Paroles d'honneur », consiste en une collection de textes d'où il résulte que le gouvernement allemand, en l'espèce le chancelier Hitler, aurait commis, du 11 Juillet 1936 au 26 Septembre 1938, une série de violations de sa parole. Il y manque une défense de l'accusé. Abstraction faite de ce détail, la première impression qu'on éprouve à cette lecture est « qu'on en a bien vu d'autres ». Notre propagande en tire cependant un de ses arguments les plus insidieux contre les « offensives de paix » de l'Allemagne : comment traiter avec un Etat qui n'a pas de parole ! Si on ne traitait qu'avec des Etats qui n'ont jamais manqué de parole, il n'y en aurait guère avec qui on pourrait traiter. « Les traités ne valent pas le papier sur lequel ils sont écrits..... Autant s'appuyer sur un roseau... Aucun n'a jamais valu deux sous... Ils finissent tous dans la corbeille. » Ainsi se sont exprimés d'éminents écrivains anglais : Morel, Norman Angell, Murray, Bernard Shaw. Toute l'histoire le prouve : un traité n'est sacré que pour l'Etat qui a intérêt à s'en prévaloir ; il n'est qu'un « chiffon de papier » dans le cas contraire. On ne prétend pas que c'est un bien ; on dit que c'est un fait. Deux exemples, entre bien d'autres, empruntés à l'Angleterre et à la France. Aux termes du traité d'Amiens, l'Angleterre devait évacuer l'île de Malte, d'où elle dominait la Méditerrannée. Elle s'y refusa. Le 13 Mars 1803, Bonaparte, alors Premier Consul, réunit le corps diplomatique. Se campant devant l'ambassadeur d'Angleterre, il s'écria : « Alors il n'y a plus qu'à voiler de noir tous les traités. » Cette violation par l'Angleterre du traité d'Amiens causa sa rupture, et, par voie de conséquence, les guerres qui allaient ensanglanter l'Europe pendant douze ans. Observons, pour être justes, que de son côté Bonaparte traitait de « bagatelle » le traité de Lunéville qui garantissait la République batave. Le 3 Juillet 1911, à propos de la violation de l'acte d'Algésiras, Jaurès écrivait dans l'Humanité : « La vérité est qu'en cette affaire marocaine il n'y a plus un traité qui tienne. Il n'y a plus un atome de bonne foi internationale, et le seul honneur qui nous reste en cette matière est celui d'avoir donné l'exemple et le signal de l'universel manquement à la probité politique. » Et le 25 Juillet 1914, dans son discours de Vaise, quatre jours avant d'être assassiné, il montrait que si la guerre européenne éclatait, le manquement à nos engagements au Maroc en serait une des causes indirectes. On peut y ajouter la violation, par les Alliés, des conditions de l'armistice qui mit fin à la guerre mondiale. Même observation en ce qui concerne la violation d'Etats neutres commise par l'Allemagne. Dans ses Principes du droit international (1910), l'Anglais Lawrence, professeur de droit des gens, enseigne : « Une extrême nécessité justifie la violation temporaire d'un territoire neutre. » Personne ne peut honnêtement contester que rompre l'impitoyable blocus anglais ait été pour l'Allemagne une extrême nécessité. Elle est certes plus excusable d'avoir occupé le Danemark en 1939 que l'Angleterre d'avoir, en 1807, détruit ou capturé inopinément sa flotte dans le port de Copenhague, causant dans la ville des milliers de victimes, pour la seule raison que Napoléon aurait pu l'utiliser. Les larmes versées sur des violations de neutralité ou de traités sont des larmes de crocodile. Dans une lettre ouverte au président des Etats-Unis sur la violation de la neutralité belge, Bernard Shaw reconnaissait dès le début de la guerre de 1914 que l'argument de nécessité ne pouvait pas être négligé : « Vous pouvez être assuré, même s'ils vous disent le contraire, que dans les mêmes circonstances aucun de nos hommes d'Etat n'aurait manqué de prendre la même liberté et de fourrager à pleines dents, dans leur corbeille, les « chiffons de papier » de notre Foreing Office. » Dédié au roi d'Angleterre qui, le 11 Avril 1940, adressait ses condoléances au roi de Norvège à l'occasion du « dernier crime de l'Allemagne ». Malheureusement, ce n'est jamais les Bernard Shaw qui commandent, mais les Churchill. Ces préliminaires constatations faites, examinons pourquoi et comment l'Angleterre et la France sont entrées en guerre. <strong>...</strong></p>