Histoire Ebook - Dybowski JeanRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearDybowski Jean - Traité de culture potagèreurn:md5:9d22a196707b7807c5bdc7915e88f62c2015-11-05T20:08:00+00:002015-11-06T03:10:48+00:00balderDybowski JeanFrance <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Dybowski_Jean_-_Traite_de_culture_potagere.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dybowski Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>Traité de culture potagère</strong><br />
Année : 1907<br />
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Préface. Depuis qu'a paru la première édition de ce livre, les temps ont marché. Les circonstances économiques se sont modifiées. Elles ont entraîné avec elles des changements profonds dans les moyens de transport et d'action, et partant dans les méthodes culturales elles-mêmes. Autrefois la science du maraîcher était de contrecarrer les saisons, de les ployer pour ainsi dire à sa volonté, en créant des milieux factices dans lesquels toutes les plantes se pouvaient développer et produire. Toute son intelligence comme son inlassable activité s'appliquaient trouver des méthodes, comme à créer des races qui puissent lui permettre d'effacer les saisons et d'unifier la production, au point de donner l'illusion d'un éternel renouveau. <strong>...</strong></p>Dybowski Jean - Notre force futureurn:md5:57802073c4fbc4fbc6173b66b3cab2562013-04-17T22:21:00+01:002013-04-17T21:25:12+01:00balderDybowski JeanAfrique <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Dybowski_Jean_-_Notre_force_future_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dybowski Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>Notre force future</strong><br />
Année : 1919<br />
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Ce livre nous a paru nécessaire. Nécessaire, parce que au moment où les grands problèmes de notre organisation d'après-guerre sont posés, il faut que tout ce qui peut conduire à des solutions justes et meilleures soit dit. Nécessaire encore, parce qu'alors que tant de maîtres éminents de la parole ou de la plume étudient, devant le public tant de questions d'ordre primordial auxquelles ils apportent les solutions que leur inspirent leur savoir, leur compétence et leur patriotisme, aucun d'eux ne fait cependant entrer en ligne de compte, avec sa valeur réelle, les solutions qui découlent de notre force coloniale. L'explication de cette abstention ne peut venir que d'une seule cause et résulte d'une seule raison : ceux qui ont entrepris l'étude des questions auxquelles ils apportent la contingence de leur talent sont étrangers, sinon aux questions coloniales elles-mêmes, du moins à la connaissance profonde, acquise sur place, et de nos territoires lointains et de l'énorme contribution que leur sol, que leur climat, que leur fertilité naturelle peuvent apporter au développement de notre force future. Ce n'est pas sans raison que l'on a dit : « mieux vaut ne pas aborder une question plutôt que d'en déduire des solutions qui n'ont pas une valeur absolue. » Or, en la matière qui fait l'objet de ce livre, l'expérience personnelle, acquise sur place, l'examen approfondi, sous tous leurs aspects, des questions si nombreuses est, plus encore que pour nulle autre, nécessaire et indispensable. Certes, les déductions qui sont apportées ici n'ont pas la prétention, qui serait sans doute excessive, d'imposer des solutions de valeur absolue. Du moins voudra-t-on, peut-être, leur accorder le mérite d'être le résultat de longues études, patiemment poursuivies, et la déduction d'une trituration de la matière que rend professionnellement indispensable la pratique de l'enseignement. <strong>...</strong></p>Dybowski Jean - Le Congo méconnuurn:md5:c3db42f9f69e467a0dfba6c166972aca2013-04-17T22:10:00+01:002013-04-17T21:17:08+01:00balderDybowski JeanAfriqueCongo <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Dybowski_Jean_-_Le_Congo_meconnu_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dybowski Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le Congo méconnu</strong><br />
Année : 1912<br />
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Le Congo méconnu de M. Dybowski est le livre d'un explorateur qui sait voir et qui a vu. C'est, par conséquent, un livre qu'il faut lire si l'on veut avoir une idée exacte du Congo français. Après avoir parcouru le Congo dans tous les sens, M. Dybowski, avant de formuler son jugement sur lui, a eu l'occasion de voir d'autres colonies, de diriger des œuvres coloniales importantes, de connaître pratiquement les affaires commerciales et industrielles qui se traitent dans les colonies, de se rendre compte, par conséquent, des difficultés de la colonisation et des exigences qu'elle comporte. Le Congo a, visiblement, gagné toutes ses sympathies, tandis qu'étant jeune il le parcourait. L'épreuve du temps et l'expérience ne les ont pas fait disparaître. Elles se manifestent avec une franchise d'autant plus séduisante que l'auteur ne dissimule aucune des erreurs ou des fautes commises par nos administrations coloniales. En lisant sa description de Libreville, isolé entre la mer et la forêt, sans aucune route de pénétration vers l'intérieur, je revois, en 1912, ce que je vis dans ce pays en 1863. On y a bâti quelques établissements ou maisons qui n'existaient pas à cette lointaine époque, mais on n'a pas fait une route en plus de celles que j'ai pu suivre il y a quarante-neuf ans. Si l'on admet que, sans voies de communication, il n'y a pas de colonisation possible, on apprécie par ce seul fait la négligence dont a été victime notre œuvre congolaise. Pendant longtemps on a cru qu'il n'y avait à peu près rien à faire au Congo, que la terre y était en majeure partie infertile ou non cultivable, que les habitants y faisaient défaut, que la vie des Européens y était rendue à peu près impossible par la rigueur du climat et que, par suite, il était inutile que la France y fît des sacrifices en hommes ou en argent. En 1900, alors que la conquête était réalisée et que nous aurions dû, sans retard, organiser te pays, notre œuvre semble s'arrêter : l'Administration abandonne la mise en valeur du Congo à des sociétés, dont la plupart n'avaient rien de ce qui était nécessaire pour atteindre un tel résultat. Peut-être n'avons-nous commencé à croire à la valeur du Congo qu'à partir du jour où nous avons vu l'empire germanique le convoiter. Ce jour-là, flous avons pu apprécier ce que vaudrait Libreville comme port de commerce et base d'une flotte de guerre. Peut-être avons-nous compris aussi quelle importance ce port prendrait s'il était relié par une voie ferrée aux fleuves intérieurs; peut-être s'est-on dit, dans nos Administrations coloniales, qu'il y a des sacrifices à faire pour mettre le Congo en valeur. M. Dybowski s'est visiblement donné pour but de faire cette démonstration, et l'on ne saurait contester qu'il y ait pleinement réussi. Il est impossible d'établir plus rigoureusement qu'il ne l'a fait l'existence, au Congo, de populations assez nombreuses pour fournir tous les bras dont les colons auraient besoin, tellement misérables qu'il serait facile de les déterminer à travailler en vue d'un bien-être dont elles sentiraient vite le prix, et assez habituées, dans certaines régions, à la culture du sol pour qu'on puisse aisément les dresser à nos procédés agricoles. <strong>...</strong></p>Dybowski Jean - La route du Tchad Du Loango au Chariurn:md5:9864634acc73d94ef636c14d1a5b87b62013-04-17T22:09:00+01:002013-04-17T21:10:14+01:00balderDybowski JeanAfriqueTchad <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Dybowski_Jean_-_La_route_du_Tchad_Du_Loango_au_Chari_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dybowski Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>La route du Tchad Du Loango au Chari</strong><br />
Année : 1893<br />
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C'était au début de Tannée 1891. Mue par un élan nouveau, la France se portait vers les vastes entreprises coloniales. L'opinion publique tout entière était favorable aux expéditions lointaines. On semblait avoir compris enfin qu'il importait à toute nation puissante de se créer un empire colonial, qui serait l'entrepôt de toutes les matières premières destinées à alimenter nos industries, en même temps que le débouché le plus assuré pour l'écoulement des produits manufacturés. Et toute cette jeunesse instruite, brillante, qui ne demande qu'à dépenser son savoir et son énergie, se lancera dans les entreprises hardies, et contribuera à faire la France forte chez elle, grande et respectée au dehors. <strong>...</strong></p>