Histoire Ebook - Faye GuillaumeRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearFaye Guillaume - L'Occident comme déclinurn:md5:3e45d14eca7f32e51036aa5e460a9a672021-04-18T22:37:00+01:002021-04-18T21:49:22+01:00balderFaye GuillaumeAmériquesEurope <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Faye_Guillaume_-_L_Occident_comme_declin.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Faye Guillaume</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'Occident comme déclin</strong><br />
Année : 1984<br />
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Cosmopolis : l'Occident comme non-lieu. La vieille tradition se trompe : l'Occident n'est plus européen, et l'Europe n'est plus l'Occident Dans sa marche vers l'ouest, le soleil de notre civilisation s'est terni. Parti d'Hellade, investissant l'Italie, puis l'Europe occidentale, puis l'Angleterre, et enfin, ayant traversé les mers, s'étant installé en Amérique, le centre de l'« Occident» s'est lentement défiguré. Aujourd'hui, comme le comprit Raymond Abellio, c'est la Californie qui s'est instaurée comme épicentre et comme essence de l'Occident Terre pacifiée des bords du Pacifique, elle est le symbole de ce bonheur où meurt notre civilisation; terre de la fin de l'histoire, et terre hollywoodienne du simulacre, elle marque l'asymptote qui monte jusqu'à la folie, de la société marchande, de la société du spectacle, et du cosmopolitisme. L'Occident alors, dans un mouvement planétaire qui est d'ailleurs déjà commencé, continuera sa marche vers l'Ouest en installant son centre là où il se prépare déjà, dans l'extrême-est, dans les archipels de l'Océan pacifique, du coté du Japon et des Indes orientales ... C'est la reversion absolue du mouvement de traversée des mers parti d'Europe au XVI< siècle ... L'Occident donc, devient « quelque chose» de planétaire. Il se présente comme un ensemble flou fait de réseaux de décisions, de zones territoriales dispersées, de blocs culturels et humains répartis dans tous les pays. <strong>...</strong></p>Faye Guillaume - La colonisation de l'Europeurn:md5:aee81fc1144da2fec75227f1756d26252013-07-20T14:46:00+01:002013-07-20T13:53:18+01:00balderFaye GuillaumeAfriqueConspirationEuropeHébraïsmeIslam <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Faye_Guillaume_-_La_colonisation_de_l_Europe_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Faye Guillaume</strong><br />
Ouvrage : <strong>La colonisation de l'Europe Discours vrai sur l'immigration et l'Islam</strong><br />
Année : 2000<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Faye_Guillaume_-_La_colonisation_de_l_Europe.zip">Faye_Guillaume_-_La_colonisation_de_l_Europe.zip</a><br />
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Beaucoup m'ont dissuadé d'écrire ce livre. Il allait m'attirer des ennuis. Il ne faut pas dire les choses comme elles sont, c'est dangereux, vous comprenez ? J'aurais pu livrer un essai illisible et pseudo-philosophique, ou vaguement sociologique sur les vertus comparées de l'assimilation, de l'intégration et du communautarisme. Mais l'intellectualisme bourgeois ne m'intéresse pas. Aborder les questions essentielles, affronter le système, jouer la carte de la rébellion - et de la vérité —, c'est vrai, c'est risqué. Mais c'est porteur. Comme le proclamait Alexandre Soljenitsyne dans une interview au Washington Post durant son exil américain : « Si la plume n'est pas un poignard, elle ne vaut rien. » Le pari de la dissidence est aujourd'hui le plus fécond. C'est celui de la pensée radicale, que j'ai expliqué dans mon précédent essai, l'Archéofuturisme. Il s'agit d'en revenir — loin de tout extrémisme — à la racine des choses, à attaquer les questions majeures de l'époque. On ne débat pas du sexe des Anges quand les barbares assiègent Constantinople. Or, la question majeure de l'époque, c'est bel et bien la plus visible, la plus éclatante, celle dont tout le monde a peur de parler - évidemment - qu'on aborde qu'à demi-mot et à voix basse, c'est-à-dire la colonisation de peuplement que subit l'Europe de la part de peuples maghrébins, africains et asiatiques et qui se double d'une entreprise de conquête du sol européen par l'islam. Ce n'est pas une curiosité politique, c'est un événement historique tonitruant, sans aucun précédent dans l'histoire européenne, aussi loin que porte la mémoire. Il s'agit d'abord d'en prendre acte, d'éveiller les consciences à ce fait capital. Non pas pour l'admettre et “faire avec”. Mais pour le refuser et entamer le débat sur la manière de le combattre et de renverser la vapeur. Ce processus funeste vient bien entendu s'ajouter et se combiner à l'assujettissement culturel et stratégique de l'Europe aux États-Unis d'Amérique. J'essaierai de montrer dans cet essai, en accord complet avec les thèses d'Alexandre del Valle, qu'il est rigoureusement stupide de croire que l'islamisation nous préservera de l'américanisation ; les deux processus de déculturation marchent la main dans la main. De même que le chaos ethnique qui guette l'Europe sert les causes conjointes de l'islamisme et de l'américanisme. Ceux qui s'imaginent, par de subtiles contorsions intel-lectualistes, que l'islam vaut mieux que l'américanisation succombent à ce désordre mental grave qu'on appelle l'oubli de soi, le renoncement à être, l'amnésie historique. Ceux qui embrassent l'islam sous prétexte qu'il porte des valeurs “traditionnelles” et anti-américaines choisissent un ennemi pour un autre, abdiquent leur identité européenne et se montrent impuissants à trouver en eux-mêmes les ressources de la renaissance. Pourquoi aller chercher dans une religion profondément étrangère des ressources morales et des racines alors que, depuis Homère, les nôtres inondent toute la civilisation européenne ? Il faut maintenant mettre en pratique cette stratégie de la pensée radicale. Il y a urgence. Le feu est à la demeure. Il ne s'agit pas de faire du folklore, ni d'insulter, ni de sombrer dans des délires haineux, ou dans le racisme de bas étage, il s'agit d'affirmer. De s'affirmer avec rigueur et détermination et de défendre le droit imprescriptible des Européens à demeurer eux-mêmes, droit qu'on leur dénie, mais qu'on accorde à tous, les peuples du monde. Il s'agit de combattre ce mal qui nous ronge, l'ethnomasochisme, comme de dénoncer ceux, qui par ressentiment ou vengeance, entendent défigurer l'Europe. Le temps des prudences métapolitiques est passé. Sans biaiseries et trahisons molles, j'en reviens toujours à Nietzsche et à sa “philosophie au marteau”. J'écris et je combats pour la jeunesse, pas seulement d'âge mais aussi d'esprit ; car je connais des petits vieux de 25 ou 30 ans. Il y a urgence. Il faut que les choses soient dites une fois pour toutes. Il est toujours commode - et lâche - de désigner un faux ennemi, pour ne pas s'attirer d'ennuis. Si les intellectuels, dans leurs contorsions sophistiques qui n'ont que la brillance du chrome mais qui sont dépourvues d'intelligence, refusent de parler des vraies choses, se complaisent en logorrhées abstraites, c'est principalement par peur de l'ostracisme social et par soumission à l'idéologie hégémonique. Désigner le véritable ennemi, tel est le chemin de l'efficacité. Le véritable ennemi est visible et concret, il est vivant. Il peut partager des valeurs que tu partages aussi. Tu peux le juger parfois respectable. Tu peux l'admirer, il peut t'enjôler. Mais ton devoir est de le bouter dehors. Dans ce livre, je prédis la guerre civile ethnique et j'en appelle à la reconquête. Qu'il soit bien entendu que les propos que je tiens n'engagent que moi-même. Je ne m'exprime au nom d'aucun parti, d'aucun groupe, d'aucun courant de pensée. Ma démarche est parfaitement et volontairement solitaire, empreinte d'une liberté absolue. Je suis le précepte de Zarathoustra « - Maître, que dois-je faire pour être heureux ? - Je ne sais pas. Sois heureux et fais ce que tu veux. » Mon seul but est de défendre un idéal en m'appuyant sur des faits. Mes détracteurs me traitent souvent d'idéaliste et d'irréaliste. Ils ont raison. La seule réponse à leur opposer tient en peu de mots. Zinoviev et Hélène Carrère d'Encausse étaient idéalistes et irréalistes quand ils prédisaient la fin prochaine de l'Union soviétique dans les années soixante-dix ; De Gaulle était idéaliste et irréaliste quand, en 1940, ils prédisait la défaite du Reich ; et Ben Bella était idéaliste et irréaliste quand, en 1954, il prédisait l'expulsion de tous les Européens d'Algérie dans les dix ans à venir. Autre chose importante : les thèses que je soutiens ne sont pas des dogmes. Porter le débat sur les choses essentielles, électriser les consciences, tel est mon seul objectif. Je suis un provocateur. Renseignez-vous sur l'étymologie latine de ce terme. <strong>...</strong></p>Faye Guillaume - «La convergence des catastrophes»urn:md5:70f1d6c112dadda4bc3e7c2dad9ad9002013-07-20T14:44:00+01:002013-07-20T14:03:08+01:00balderFaye GuillaumeAfriqueConspirationEuropeHébraïsmeIslam <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Faye_Guillaume_-_La_convergence_des_catastrophes_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Faye Guillaume</strong><br />
Ouvrage : <strong>«La convergence des catastrophes»</strong><br />
Année : 1998<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Faye_Guillaume_-_La_convergence_des_catastrophes.zip">Faye_Guillaume_-_La_convergence_des_catastrophes.zip</a><br />
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Guillaume Faye est né en 1949. Il a été, aux côtés d'Alain de Benoist, l'un des principaux animateurs du GRECE (Groupement de Recherche et d'Etude sur la Civilisation Européenne) et de la Nouvelle Droite, qu'il a quittée en 1986, lui reprochant un certain embourgeoisement et une dérive intellectualiste. Préférant suivre sa propre voie de «provocateur» et «d'éveilleur» nietzschéen, il a publié coup sur coup trois livres-choc: l'Archéofuturisme (1998), La colonisation de l'Europe (2000), et Pourquoi nous combattons (2001). Dans le premier de ces livres, il prévoit une crise de civilisation de grande ampleur, à une échéance de 15-20 ans: c'est ce qu'il appelle la «convergence des catastrophes». Pour l'après-crise, il appelle à la construction d'un grand Empire européen, l'«Eurosibérie», fondé à la fois sur les valeurs archaïques, essentielles, et sur l'utilisation la plus audacieuse des sciences et des techniques: d'où le concept d'«Archéofuturisme». Jadis, maintes civilisations se sont écroulées, mais il s'agissait de désastres régionaux qui ne concernaient pas toute l'humanité. Aujourd'hui, pour la première fois dans l'Histoire, une civilisation mondiale, extension planétaire de la civilisation occidentale, est menacée par des lignes convergentes de catastrophes qui résultent de l'application de ses propres projets idéologiques. Une série d'enchaînements dramaturgiques convergent vers un point fatidique, que j'estime au début du 21ème siècle, entre 2010 et 2020, pour précipiter ans le chaos le monde que nous connaissons, avec l'ampleur d'un séisme civilisationnel. Les «lignes de catastrophes» concernent l'écologie, la démographie, l'économie, la religion, l'épidémiologie et la géopolitique. La civilisation actuelle ne peut pas durer. Ses fondements sont contraires au réel. Elle se heurte, non pas à des contradictions idéologiques - qui sont toujours surmontables - mais pour la première fois, à un mur physique. La vieille croyance aux miracles de l'égalitarisme et de la philosophie du progrès, qui sousentendait que l'on pouvait obtenir toujours plus, le beurre et l'argent du beurre, a fait long feu. Cette idéologie angélique a débouché sur un monde de moins en moins viable. <strong>...</strong></p>