Histoire Ebook - Ravage Marcus EliRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearRavage Marcus Eli - Un vrai grief contre les juifsurn:md5:00756142277bd55a9c45f8e8bedbbf252018-11-06T11:42:00+00:002021-12-05T03:01:28+00:00balderRavage Marcus EliChristianismeConspirationEuropeHébraïsmeIsraëlReligion <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Ravage_Marcus_Eli_-_Un_vrai_grief_contre_les_juifs.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Ravage Marcus Eli</strong><br />
Ouvrage : <strong>Un vrai grief contre les juifs Leur culpabilité profonde soulignée par l'un d'entre eux</strong><br />
Année : 1928<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook3/Ravage_Marcus_Eli_-_Un_vrai_grief_contre_les_juifs.zip">Ravage_Marcus_Eli_-_Un_vrai_grief_contre_les_juifs.zip</a><br />
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Écrit par un auteur juif et publié à l'origine dans The Century Magazine en janvier 1928. Cet article soutient que si les Blancs comprenaient à quel point les juifs contrôlent nos pays et leurs institutions de pouvoir et la façon dont ils exercent ce pouvoir dans le but de détruire nos intérêts, nous nous soulèverions et les supprimerions immédiatement. BIEN SÛR, VOUS NOUS EN VOULEZ. Ce n'est pas la peine de me dire le contraire. Ne perdons donc pas de temps en dénis et alibis. Vous le savez, et je le sais, et on se comprend. Certes, certains de vos meilleurs amis sont juifs, et tout ça. J'ai déjà entendu cela une ou deux fois, je crois. Et je sais aussi que vous ne m'incluez pas personnellement - "moi" étant un juif en particulier - lorsque vous nous dénoncez en gros, parce que je suis, eh bien, si différent, vous savez, presque aussi bien que l'un d’entre vous. Cette petite exemption ne m'incite pas, d'une façon ou d'une autre, à la gratitude, mais peu importe dans l’immédiat. C'est l’agressivité, le carriérisme, l’arrivisme, et le matérialisme que vous n'aimez pas - ceux, en un mot, qui vous rappellent tant vos propres frères si prometteurs. Nous nous comprenons parfaitement. Je ne vous en veux pas... Bénis soit mon âme, je ne blâme personne de ne pas aimer quelqu’un. Ce qui m'intrigue le plus avec vous les antijuifs, c'est votre manque total de cran. Vous êtes si indirects et tortueux avec ça, vous trouvez des excuses si fantastiques et limpides, vous semblez souffrir d'une gêne si horrible que ce spectacle, s'il n'était pas grotesque, serait irritant. Ce n'est pas comme si vous étiez des amateurs : vous le faites depuis plus de quinze siècles. Pourtant, à vous regarder et à entendre vos prétextes enfantins, on pourrait avoir l'impression que vous ne savez pas vous-mêmes de quoi il s'agit. Vous nous en voulez, mais vous ne pouvez pas dire clairement pourquoi. Vous trouvez une nouvelle excuse - une "raison", c'est ainsi que vous l'appelez - tous les deux jours. Vous avez accumulé des tas de justifications pour vous-mêmes depuis des centaines d'années et chaque nouvelle invention est plus risible que la précédente et chaque nouvelle excuse contredit et annihile la dernière. <strong>...</strong></p>Ravage Marcus Eli - Grandeur et décadence de la Maison Rothschildurn:md5:7853263cb28674a6d56d250c8ebaa0a32012-09-13T16:13:00+01:002017-03-08T10:08:43+00:00balderRavage Marcus EliHébraïsmeRothschild <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Ravage_Marcus_Eli_-_Grandeur_et_decadence_de_la_Maison_Rothschild.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Ravage Marcus Eli</strong><br />
Ouvrage : <strong>Grandeur et décadence de la Maison Rothschild</strong><br />
Année : 1931<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Ravage_Marcus_Eli_-_Grandeur_et_decadence_de_la_Maison_Rothschild.zip">Ravage_Marcus_Eli_-_Grandeur_et_decadence_de_la_Maison_Rothschild.zip</a><br />
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Par un beau jour de printemps de l'année 1764, on pouvait voir un jeune homme arpenter les pavés de l'étroite rue aux juifs. à Francfort-sur-Mein. Les boutiquiers et les marchandes du marché s'arrêtèrent de bavarder pour jeter un coup d’œil vers lui, mais sans le reconnaître. Grand et mince, avec des traits sémitiques accentués, une barbiche noire en pointe et les épaules 90Ûtées, il était manifestement un enfant du Ghetto. Une certaine bonhomie dans le regard et dans les plis des lèvres lui donnait une apparence familière et, à voir l'allure assurée avec laquelle il poursuivait son chemin. il semblait être tout à fait à son aise dans la rue grouillante de monde. Il débouchait de r extrémité sud, la plu3 rapprochée du centre de la ville, et s'en allait sans hésitation vers le nord, dans la direction de la Bornheimer Tor, le quartier pauvre de la rue aux juifs. A peu de distance de la porte, il tourna à droite, s'arrêta devant une maison dont l'enseigne portait une casserole grossièrement peinte, et disparut dans la cour. Alors seulement les curieux qui l'avaient observé du pas de leurs portes se souvinrent : Bien sûr ! c'était Meyer. le petit « Bauer ». le fils d'Amschel et de Schonche, ces malheureux époux qui étaient morts - à quelques mois l'un de l'autre - il y avait plus de huit ans. laissant cinq enfants encore jeunes sans abri, et avec à peine de quoi subsister. <strong>...</strong></p>