Histoire Ebook - Mot-clé - BerlinRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearGoebbels Joseph - Combat pour Berlinurn:md5:cb88987c7c5b41bdcb57512bab7da4622018-12-03T16:29:00+00:002021-11-09T02:35:27+00:00balderGoebbels JosephAllemagneBerlinEx-LibrisEx-Libris LenculusSeconde guerre mondialeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Goebbels_Joseph_-_Combat_pour_Berlin.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Goebbels Joseph</strong><br />
Ouvrage : <strong>Combat pour Berlin ... le Début ...</strong><br />
Année : 1934<br />
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A la Vieille Garde berlinoise du Parti. DANS l’histoire des mouvements révolutionnaires, la lutte pour la capitale constitue toujours un chapitre particulier. La capitale est une valeur en soi. Elle représente le centre de toutes les forces politiques, économiques et culturelles du pays. A partir de ce centre, son rayonnement atteint la province, et pas une ville, pas un village n’y échappent. Berlin est quelque chose d’unique en Allemagne. Sa population ne se compose pas, comme celle d’une ville quelconque, d’une masse uniforme, repliée sur elle-même, et homogène. Le Berlinois : c’est le produit d’un substrat berlinois de toujours, complété par des apports de toutes les provinces, régions et groupes sociaux, professionnels et religieux. Il est vrai que Berlin n’est pas, tel Paris pour la France, un facteur prépondérant et novateur en tout pour l’ensemble de l’Allemagne. Mais on ne peut concevoir ce pays sans Berlin. Le Mouvement national-socialiste n’est pas parti de Berlin. Il a eu son origine à Munich. Il s’est répandu de là, d’abord à la Bavière, puis à l’Allemagne du Sud, et ce n’est que par la suite, après les premières étapes de son développement, qu’il progressa aussi vers l’Allemagne du Nord et donc vers Berlin. L’histoire du N.S.D.A.P.1 au nord du Main ne commence qu’après son effondrement de 1923. Mais, dès ce moment, le national-socialisme se voit également adopté en Allemagne du Nord, avec toute la véhémence de la ténacité et de la discipline prussiennes. Ce livre s’est fixé comme objectif de retracer l’histoire du Mouvement dans la capitale du Reich. Ce faisant, il ne poursuit bien entendu aucun but historique. Les historiens du futur auront à décrire la chronologie objective de son développement sur le plan berlinois. Nous manquons du recul qui donne la lucidité nécessaire pour répartir avec équité les torts et les mérites. Celui qui écrit ces lignes a lui-même participé, d'une manière déterminante et comme principal responsable, au déroulement des événements. C'est pourquoi il est de parti pris dans tous les sens du mot. Il ne fait qu'épancher, en la transcrivant dans cette description, ce qu'il y eût en son âme de pesante responsabilité durant une lutte de cinq années. Pour ceux qui y ont participé, imposant par leur combat la brillante ascension du Mouvement à Berlin, cela doit être un apaisement et un stimulant, pour ceux qui sont restés à l'écart en doutant et sans coopérer, un avertissement et une obligation morale, et pour ceux qui se sont opposés à notre marche victorieuse, une menace et une déclaration d'hostilité. Il ne nous est pas encore permis aujourd'hui2 d'annoncer à son de trompe la conclusion de cette lutte gigantesque par une victoire sur toute la ligne. Puisse ce livre contribuer à maintenir l'espoir et la foi des bataillons en marche du soulèvement national- socialiste, afin que le but, défini dès aujourd'hui en toute netteté et dans toutes ses conséquences, ne soit jamais perdu des yeux et pourtant, malgré tout, finalement atteint ! <strong>...</strong></p>De La Chesnaie Sigismond - Malô Lilâk Tome 1urn:md5:ab33d8e0a10e9e6e337154de359e05db2017-04-15T20:00:00+01:002017-04-15T20:42:32+01:00balderDe La Chesnaie SigismondAfriqueAllemagneBelgiqueBerlinBolchéviqueCanadaConspirationDresdeEuropeEx-Libris LenculusFranc-maçonnerieFranceHollandeHongrieHébraïsmeKabbaleLuxembourgRoumanieRussieRévisionnismeSeconde guerre mondialeSlovaquieTalmudTroisième ReichÉtats-Unis <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/De_La_Chesnaie_Sigismond_-_Malo_Lilak_Tome_1.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>De La Chesnaie Sigismond</strong><br />
Ouvrage : <strong>Malô Lilâk Autopsie détaillée d'une inversion génocidaire Tome 1</strong><br />
Année : 2017<br />
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Introduction. « On peut mentir un temps à tout le monde, On peut mentir tout le temps à une partie du monde, mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde. » Il est assez bien connu qu’une société basée sur le mensonge et la corruption ne peut durer éternellement car celle-ci se mettra tôt ou tard à vaciller sur des fondations de plus en plus branlantes du fait même de la prise de conscience croissante des populations, pour finir par s’auto-détruire complètement, soit par implosion, par explosion ou ces deux formes combinées. Cette prise de conscience croissante commencera logiquement avec les individus les plus clairvoyants qui, selon leur capacité d’agir et d’influencer autrui, pourra dès lors se répandre par contagion afin que les masses justement soient mises de plus en plus au fait de ce qui était maintenu dans l’ombre. Il va sans dire que nombre de ces lanceurs d’alerte furent mis au ban de la société et ce, d’autant plus que leur position hiérarchique et par voie de conséquence d’influence donc, fut élevée. Toutes les méthodes furent alors employées afin de réduire ces indésirables au silence (assassinat, disparition, suicide provoqué, ostracisme, diffamation, condamnation (...) Mais voilà qu’à l’ère des médias électroniques, de plus en plus de citoyens peuvent découvrir maintenant ce qui aurait été impossible il y a quelques décennies, grâce notamment à des documents d’importance capitale (comme celles des archives fédérales de Coblence que nous verrons en détail) et bien-sûr à de véritables historiens et chercheurs dont le travail sans relâche en vue de faire triompher la Vérité depuis tout ce temps devrait être cité en exemple. Des spécialistes s’étant donné la peine d’enquêter sur place, de collecter autant de documents et de témoignages que possible, dont certains durent le payer de leur vie ou d’une autre manière, et à qui nous rendons hommage ici. Des témoignages recueillis donc directement à partir de faits vérifiables et non pas sortis d’esprits névropathes et hystériques enclins à toutes formes d’affabulations et de folie imaginaire, celles-là même qui composent encore l’essentiel des « preuves » officielles, ces soi-disant preuves qui permettent encore aujourd’hui à ces esprits malades de se déchaîner sur un peuple, que ce soit au niveau des lois, des réparations de guerre, d’une discrimination impressionnante et d’une accusation de tous les maux notamment grâce à la magie hollywoodienne, et ce, plus de soixante-dix ans après les faits supposés. C’est déjà donner une petite idée du niveau d’obsession maladive de ces esprits tortueux à l’encontre d’un peuple catalogué ainsi de terrible menace pour l’Humanité et les droits de l’Homme. Déjà, pendant la guerre, des hommes politiques et écrivains avaient planifié leur destruction totale avec toutes sortes de calculs inimaginables (qu’on passera en revue dans le second panorama) dont on se demande comment il est possible de considérer les propos d’êtres aussi dégénérés comme paroles d’Evangile. Pourtant, rien ne fut porté à l’atteinte de telles personnes ni à celles des véritables bourreaux de certains camps de concentration vers la fin du conflit, occupés alors par les vaincus et gérés par les vainqueurs. Lorsque des tentatives de ce genre, avec preuves à l’appui, furent faites, comme par exemple celle de demande d’extradition de l’ancien commandant du camp d’extermination de Zgoda-Schwientochlowitz en Pologne en 1945, le Juif Salomon Morel, aux fins d’inculpation de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité en 1996 puis en décembre 2003 par le tribunal de Katowice qui avait lancé un mandat d’arrêt contre lui, tout cela fut en vain vu que notre commandant s’était réfugié en Israël en 1992, l’année même où il fut entendu une seule fois par la justice suite à une enquête officielle lancée après une investigation au sujet de cet infâme camp polonais. En effet, les autorités israéliennes avaient refusé cette extradition pour motif de prescription car selon elles et d’après Sepp Jendryschik (dont nous aurons l’occasion de reparler beaucoup dans le deuxième panorama), dont le père mourut en 1945 justement dans ce camp, « Morel pourrait être accusé tout au plus de lésions corporelles ». Cette affaire peut d’ores et déjà être close vu que celui qui avait pour nom de guerre chez les partisans juifs, meshugganer, signifiant « maboul », décéda en Israël en 2007 à l’âge de 87 ans et sans aucun doute paisiblement. Plus de soixante-dix ans donc après ce drame mondial, nous pouvons encore constater l’état de léthargie dans lequel semblent se complaire bon nombre de gouvernements et organismes publics en ce qui a trait à la révélation de ce qui demeure enfoui dans des salles d’archives, des associations de réfugiés ou encore de revues à faible tirage créées par de véritables témoins et victimes ou proches de victimes de cet autre drame du XXe siècle. Bien entendu, ces mêmes gouvernements et organismes publics étant à la solde directe ou indirecte de ceux-là mêmes qui écrivent, font écrire ou supervisent les manuels scolaires ainsi que tout ce qui concerne l’histoire officielle au-travers de magazines à grand tirage, reportages et j’en passe, nous en conviendrons que rien de tout cela n’est en somme surprenant. C’est dans un tel contexte que certains historiens et puristes en la matière, ayant constaté la teneur incohérente ainsi que moult contradictions de tout cet étalage de « preuves » abracadabrantes à propos de l’histoire relative à la Seconde Guerre mondiale, se sont lancés dans des travaux de recherche foncière aux fins de collecte justement de données difficilement accessibles mais ô combien précieuses, que les grands pontes du politiquement et du socialement corrects s’efforcent de garder cachées, c’est-à-dire celles n’ayant pas encore fait les frais d’un autodafé ou autre destruction. C’est ainsi que le terme révisionniste comme d’autres vocables tels que racisme ou Apartheid devint lui aussi « à la mode » pour se voir connoté négativement par toute la clique des bien-pensants, résolus à mener coûte que coûte la guerre aux « fauteurs de trouble » et autres marginaux. Nous eûmes droit récemment d’ailleurs à un exemple du « chemin à suivre » avec le trépas du « champion » de la lutte contre l’Apartheid, le « grand » Nelson Mandela, ce révolutionnaire « au service des droits de l’homme et de la paix » qui s’est vu recevoir un véritable culte de la personnalité aux quatre coins du globe. En Afrikaans, Apartheid signifie à l’origine « séparation » et s’est vu par la suite imposé une définition plus « conforme » comme « discrimination » ou encore « ségrégation », illustrant mieux l’état d’esprit contemporain. Il faut savoir justement que cette « séparation » qui avait été imposée, avait pris une tournure réaliste dans les années soixante par le Premier ministre de l’époque, Hendrik Verwoerd ; en effet, celui-ci avait tenu compte des différences énormes de culture, de race et autres entre les diverses communautés composant la population sud-africaine, voyant que le mélange d’autant d’ethnies sur un même territoire ne pouvait aboutir à rien de solide et de fructueux. Sa politique considérait donc ces divergences et permettait une partition du pays où lesdites communautés pouvaient avoir leur propre autonomie. Tout cela fut critiqué de vive voix bien-sûr alors qu’une telle politique aurait permis une cohabitation sans doute exemplaire d’autant de peuples différents. C’est encore une fois au nom des droits de l’homme et de la sacro-sainte liberté que ce Premier ministre sud-africain dut disparaître (le 6 septembre 1966 !) afin de laisser la place à quelque remplaçant davantage enclin aux « valeurs démocratiques ». L’exemple de ce pays austral ne vient pas se greffer ici par hasard vu que nous aurons l’occasion, dans le dernier panorama, de mettre en relief un personnage justement natif de cette contrée et dont les révélations croiseront à merveille le chemin de notre pèlerinage. Pour en revenir donc au sujet qui nous intéresse, nous avons aujourd’hui des antirévisionnistes qui, eux-aussi, sont bien décidés à faire rentrer dans les rangs les quelques brebis ayant osé s’écarter du troupeau. Mettons alors bien les points sur les « i » ici : le terme révisionnisme cherche, comme son nom l’indique, à faire une révision de tout ce qui a pu être rapporté, ici en l’occurrence historiquement, afin d’écarter tout ce qui peut relever du mythe, de la fable et du tabou (généralement créés par les vainqueurs) et d’en dégager une vérité aussi objective que possible. C’est ainsi que l’Histoire est et devrait être logiquement révisionniste, faute de quoi, ce ne serait pas de l’Histoire. Certains avaient d’ailleurs mis en opposition Hérodote qui semblait mêler mythes, légendes et vérités à Thucydide qui s’efforçait de retirer toute part de merveilleux des événements afin d’en extraire quelque chose de cohérent. Bien entendu, les virtuoses du retournement à 180° s’en sont donné à coeur joie afin que, pour les masses, ce qui est vrai passe pour être faux et vice-versa, au même titre que la laideur passera pour belle et le dégénéré mental pour un saint. Nous aurons donc l’occasion de passer en revue dans ce livre les travaux de certains de ces anticonformistes qui, grâce à leur courage, leur ténacité et surtout leur probité intellectuelle, nous permettent d’avancer à grandes enjambées sur le chemin de la Vérité historique qui nous intéresse ici et donc d’élargir le champ de vision de tout un chacun à d’autres domaines connexes ou non. Le lecteur (re)découvrira d’abord tout un pan de la partie conventionnelle des événements tragiques de la Seconde Guerre mondiale, celle qui bien-sûr est toujours enseignée dans nos bonnes vieilles écoles et semée aux quatre vents, avec quelques morceaux choisis de « témoins oculaires et de survivants de l’Holocauste », un pan donc politiquement correct que nous aurons alors le plaisir de faire voler en éclats lorsque les briques et autres morceaux le constituant seront passés au crible de l’analyse « non-conventionnelle ». C’est seulement après que l’on prendra connaissance de l’identité des vraies victimes de ce conflit au-travers d’un passage en revue de documents qui, heureusement aujourd’hui, gagnent petit à petit en popularité (même si le terme est un peu exagéré). Il nous faudra ensuite essayer de tisser un lien entre des éléments apparemment contradictoires mais en réalité relativement logiques, avec notamment les dessous du Nazisme, pour finir avec une note d’espoir, tirée de certaines visions prophétiques quant à la finalité du monde, ce monde en chute libre et chaotique dans lequel a plongé l’Humanité, un monde vraiment « à l’envers ». Il faut noter pour terminer que l’ouvrage que vous vous apprêtez à lire est relativement dense, raison pour laquelle celui- ci est abondamment illustré aux fins d’aération du texte (et de l’esprit !). Précisons ici que les grands bonimenteurs de l’Holocauste utilisent évidemment à profusion images et photographies afin de donner un caractère substantiel et « vérifiable » à leurs supputations, raison pour laquelle ils n’hésitèrent pas à en employer de fausses ou d’autres, sans aucun rapport avec le sujet, sachant « qu’une image vaut mille mots ». Ainsi, par exemple, en montrant la photographie d’un local avec des pommeaux de douche au plafond, accompagnée des commentaires correspondants et surtout en la faisant suivre de la photographie d’une montagne de corps décharnés, sont-ils à peu près assurés de faire avaler la pilule à la majorité des masses de l’existence réelle des chambres à gaz. En ce qui nous concerne ici en revanche, les reproductions de plans, de photographies ou clichés aériens, de couvertures de livres ou portraits, etc. essaient d’être le plus conformes, adaptées et appropriées que possible au contexte particulier de ce livre (avec des légendes et des nuances parfois ironiques en rapport avec les faits et non pas fonction des lubies et autres délires obsessionnels des défenseurs de la cause holocaustique) et donc, de cet épisode peu glorieux de l’histoire de l’Humanité. De même, la reproduction de vieilles cartes postales de certains lieux visera à créer un fort contraste entre d’une part, l’impression de paix qui s’en dégage, et les scènes terribles qui s’y déroulèrent par la suite, de l’autre. L’ouvrage sera composé de 4 panoramas, avec les 3 premiers traitant du passé, et le 4e de l’avenir, avec des petites incursions au présent pour l’ensemble. <strong>...</strong></p>Reynouard Vincent - Les jeux olympiques de Berlin en 1936urn:md5:799b954b1aad7afd1d1192ccf3cccbad2016-04-11T07:28:00+01:002016-04-11T06:31:28+01:00balderReynouard VincentBerlinTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Reynouard_Vincent_-_Les_jeux_olympiques_de_Berlin_en_1936.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Reynouard Vincent</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les jeux olympiques de Berlin en 1936 Réfutation des légendes malveillantes</strong><br />
Année : 2006<br />
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Les fantômes du stade de Berlin lors de la finale de la coupe du monde. <strong>...</strong></p>Lombard Jean - La face cachée de l'histoire moderne Tome 1urn:md5:23e1dd98c987d6be7b812a07bc7dcc452015-12-23T20:52:00+00:002022-01-14T01:31:48+00:00balderLombard Jean CoeurderoyAlchimieAlgérieAllemagneAmériquesAngleterreAnglo-SaxonAutricheBelgiqueBerlinBrésilCanadaCathareCatholiqueChineChristianismeConspirationCroisadeEcosseEgypteEspagneEuropeEx-LibrisEx-Libris LenculusFlandreFranc-maçonnerieFranceGenèveGrèceHenri IVHollandeHongrieHébraïsmeIrlandeIslamIsraëlItalieJacobinsJansénistesJérusalemJésuitesKabbaleLondresLouis XIVLouisianeLyonMahometMarocMexiqueMoscouMédecineMésoamériqueNapoléonNormandieOrléansParisPolognePortugalProtestantReligionRoiRomeRose-CroixRothschildRussieRévolutionSavoieSavoisienScandinavieSuisseTempliersTunisieTurquieUkraineÉconomieÉtats-Unis <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Lombard_Jean_-_La_face_cachee_de_l_histoire_moderne_Tome_1.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lombard Jean Coeurderoy</strong><br />
Ouvrage : <strong>La face cachée de l'histoire moderne Tome 1 La montée parallèle du capitalisme et du collectivisme</strong><br />
Année : 19**<br />
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Jean Lombard, qui signait « Jean Lombard Coeurderoy » est l’auteur d’une oeuvre capitale dont la totalité n’a pu êtré publiée intégralement en français. Voici une réédition numérique du tome 1 de « La Face Cachée de l’Histoire Moderne » qui n’est en fait que le tome 1 et une partie du 2 de la traduction espagnole de « La Cara Oculta de la Historia Moderna » dont l'ensemble comporte 4 tomes. Il est bon de savoir que Jean Lombard n’ayant pas réussi à trouver une seule maison d'éditions française pour publier son œuvre monumentale, se résolut avec la plus grande déception à faire traduire ses volumes en espagnol. Quatre gros tomes parurent ainsi aux éditions franquistes « Fuerza Nueva » à la plus grande joie des espagnols et sud-américains avertis des questions subversives. La Divine providence ne pouvait qu’agir ainsi. Sans cette résolution, il est évident que ces ouvrages aurait disparu et son travail d'une vie réduit à néant. Nous tenons à remercier ceux qui ont sauvegardé et distribué gratuitement ces documents sur l'Internet. Si vous voulez participer à ce travail, les traductions des trois ouvrages de « La Face Cachée de l’Histoire Moderne » seraient la finalité de son engagement à la cause du devoir d'histoire. Mais qui était Jean Lombard ? Diplômé de l’École des Chartes en 1927, Jean Lombard s’est orienté vers une carrière diplomatique en intégrant l’École des Sciences Politiques d’où il sortit lauréat du concours des Ambassades. Peu avant la deuxième guerre mondiale, on lui confia le poste de bibliothécaire-archiviste de la ville d’Alger avant de devenir administrateur de la Bibliothèque de la même ville, ce qui lui permit d’être plongé pendant 10 ans dans les affaires musulmanes en Algérie. Pendant la Guerre, il fut affecté aux services de renseignements. Inquiété à la « Libération » pour avoir dépouillé les bibliothèques et les archives des loges maçonniques en Algérie, il fut incarcéré pendant quelque temps et radié de la Bibliothèque. Après la guerre, il fut nommé secrétaire général du Comité des Banques d’Algérie, directeur de l’enseignement bancaire en Afrique du Nord et professeur d’économie politique, avant de retrouver sa place d’administrateur de la Bibliothèque d’Alger (le Conseil d’État ayant levé la sanction qui l’avait touché auparavant). Mis en congé spécial après l’abandon de l’Algérie en 1962, il vint s’installer en Espagne comme beaucoup de pieds-noirs ou de pro-Algérie Française scandalisés par ce largage inique ! Jean Lombard fut ensuite nommé ‘chargé de missions’ de l’unesco en Amérique Centrale et au Liban, ce qui lui permit d’en apprendre beaucoup sur la subversion mondiale. Cette carrière bien remplie lui a donné l’occasion de parfaitement prendre connaissance des arcanes financières et bancaires et de consulter par sa formation et ses fonctions une exceptionnelle documentation confidentielle ou peu connue, dont il a su tirer le meilleur profit pour mener à bien son œuvre absolument remarquable, servie par un don exceptionnel de synthèse. <strong>...</strong></p>Steiner Rudolf - Les concepts fondamentaux de la theosophie Races humainesurn:md5:721cc6272b5a341efbc60c3ae7b4e5712015-12-16T07:51:00+00:002015-12-16T07:55:45+00:00balderSteiner RudolfAllemagneAnthroposophieAtlantideBerlinRaces <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Steiner_Rudolf_-_Les_concepts_fondamentaux_de_la_theosophie_Races_humaines.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Steiner Rudolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les concepts fondamentaux de la théosophie Races humaines</strong><br />
Année : 1905<br />
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Berlin, 9 novembre 1905. Il a souvent été dit que l'étude la plus opportune et la plus importante pour l'être humain, c'était l'être humain lui-même et que la plus grande énigme pour l'être humain, c'était également l'être humain lui-même. Au vu de certains faits, il convient de rappeler que cette énigme se présente à l'être humain sous les formes les plus diverses. <strong>...</strong></p>Steiner Rudolf - Berlin, le 16 octobre 1905urn:md5:a0a0a7e0a2e7adf417f49b23c78142772015-12-10T22:37:00+00:002015-12-10T22:40:33+00:00balderSteiner RudolfAnthroposophieBerlin <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Steiner_Rudolf_-_Berlin_le_16_octobre_1905.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Steiner Rudolf</strong><br />
Ouvrage : <strong>Berlin, le 16 octobre 1905</strong><br />
Année : 1905<br />
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Si nous voulons regarder de plus près comment se fait le karma, nous devons remonter un peu en arrière dans l'évolution de l'humanité. Quand nous remontons de quelques millénaires en Europe elle-même, nous trouvons la terre couverte par les glaces. Les glaciers des Alpes descendaient loin jusque dans la plaine d'Allemagne du Nord. Les régions dans lesquelles nous vivons actuellement étaient alors froides et rudes. Une espèce humaine qui se servait encore d'outils extrêmement simples et primitifs y vivait. Remontons d'environ un million d'années, et nous trouverons sur le même sol un climat tropical comme il ne s'en trouve aujourd'hui que dans les régions les plus chaudes d'Afrique, avec dans certaines parties d'immenses forêts vierges où vivaient des perroquets, des singes - surtout les gibbons - et des éléphants. Mais, en parcourant ces forêts, nous ne trouverions guère de traces ni de l'homme actuel ni de celui des périodes ultérieures d'il y a quelques millénaires. Dans certaines strates terrestres nées entre ces deux ères, la science peut mettre en évidence un homme au front très fuyant, chez qui le cerveau antérieur ne s'était pas encore développé comme maintenant. Seule, la partie postérieure du cerveau était développée. Là, nous remontons à des temps où les hommes ne connaissaient pas encore le feu et se fabriquaient des armes en polissant des pierres. Le naturaliste aime à comparer ce stade de l'homme avec l'état d'évolution des hommes primitifs ou du bambin maladroit. On a , trouvé dans le Neandertal et en Croatie des vestiges de tels · hommes. Ils ont un crâne simiesque, et les découvertes de Croatie font apparaître qu'ils ont été grillés avant de mourir, signe que des Cannibales y habitaient donc à l'époque. <strong>...</strong></p>Mabire Jean - Mourir à Berlinurn:md5:5d7ab950d29753735d9ab9d45821ffff2015-12-09T03:34:00+00:002015-12-09T03:44:05+00:00balderMabire JeanAllemagneBerlinEuropeFranceFührerRussieSeconde guerre mondialeWaffen SS <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Mabire_Jean_-_Mourir_a_Berlin.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Mabire Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>Mourir à Berlin Les SS français derniers défenseurs du bunker d'Adolf Hitler</strong><br />
Année : 1995<br />
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Avant-propos. Après ce troisième volume, se termine pour l'auteur la fresque historique qu'il a consacrée à l'aventure des SS français. La nécessité de centrer l'action sur une seule unité, en l'espèce le Sturmbataillon, le bataillon d'assaut, parti pour Berlin à l'aube du 24 avril 1945, a conduit à repousser en " Annexes " un certain nombre d'autres épisodes de l'histoire de la division Charlemagne. <strong>...</strong></p>Mabire Jean - La division Charlemagneurn:md5:989203c7e10e03a27e551fc60f9b595d2015-12-09T02:59:00+00:002015-12-09T03:01:48+00:00balderMabire JeanAllemagneBerlinEuropeFranceSeconde guerre mondialeWaffen SS <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Mabire_Jean_-_La_division_Charlemagne.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Mabire Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>La division Charlemagne Les combats des SS français en Poméranie</strong><br />
Année : 1974<br />
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Avant-propos. Un an après la parution du premier tome de cette étude d'histoire contemporaine consacrée aux volontaires français de la Waffen SS, l'auteur estime avoir peu à ajouter à l'avant-propos qu'il rédigea alors. Il y renvoie donc le lecteur. Comme cela était à prévoir, la publication du premier ouvrage a suscité un grand nombre de témoignages qui ont été utilie pour ce second volume. D'avance, l'auteur remercie ceux qui pourraient lui apporter des précisions et des rectifications éventuelles. Comme il remercie ceux qui accepteraient de lui communiquer des renseignements sur les combats de la division Charlemagne du 21 mars au 8 mai 1945, et notamment sur la participation des SS français à la bataille de Berlin. J. M.. <strong>...</strong></p>Lazaridès Christian - La légende du temple et l'essence de la franc-maçonnerieurn:md5:b09fcdc249faf1a816073dbc763b9f7b2015-10-08T14:28:00+01:002015-10-08T22:37:17+01:00balderLazaridès ChristianAllemagneAnthroposophieBerlinFranc-maçonnerie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Steiner_Rudolf_-_La_legende_du_temple_et_l_essence_de_la_franc-maconnerie.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lazaridès Christian</strong><br />
Ouvrage : <strong>La légende du temple et l'essence de la franc-maçonnerie</strong><br />
Année : *<br />
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Expression symbolique des mystères de l'évolution passée et future de l'homme. Extraits des contenus de l'École Ésotérique. Vingt conférences faites à Berlin, entre Ie 23 mai 1904 et le 2 janvier 1906. <strong>...</strong></p>Pierce William Luther - Pensées sur le 4 juilleturn:md5:223d9371d3723861c1846eb65f68447b2014-11-05T22:45:00+00:002014-11-05T23:23:39+00:00balderPierce William LutherAllemagneAngleterreAustralieBerlinConspirationEuropeEx-Libris LenculusFranceHébraïsmeOcéaniePropagandeSeconde guerre mondialeTroisième ReichÉtats-Unis <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Pierce_William_Luther_-_Pensees_sur_le_4_juillet.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Pierce William Luther</strong><br />
Ouvrage : <strong>Pensées sur le 4 juillet</strong><br />
Année : 1998<br />
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American Dissident Voices, émission du 18 juillet 1998. Il y a deux semaines, nous avons célébré le 4 juillet, le plus important jour patriotique de l’Amérique. C’est un jour où nous célébrons notre force, où nous nous vantons de nos réussites, où nous nous souvenons de nos victoires, etc. Cela m’a amené à penser à la Seconde Guerre mondiale, et je vais partager quelquesunes de mes réflexions avec vous. A cet égard, les Britanniques, nos alliés dans cette guerre, ont aussi été dans mes pensées récemment. Ce qui m’a fait penser aux Britanniques concernant notre célébration du 4 juillet, c’est le fait que seulement deux semaines plus tôt le Parlement britannique a voté une loi abaissant l’âge de consentement à 16 ans pour une activité homosexuelle. Cette nouvelle loi, qui a été approuvée par le Parlement le 20 juin, a fait l’objet d’une intense campagne de la part du lobby « faucon poulet ». Les « faucons poulets » (chicken hawks) sont les homosexuels mâles adultes qui prennent pour cible les jeunes garçons. Ils guettent les garçons au coin de la rue, leur font prendre des drogues ou les font boire, leur donnent de l’argent, et les sodomisent. Jusqu’ici ils pouvaient être arrêtés et jugés pour une telle activité. Plus maintenant. Maintenant c’est légal, si les garçons n’ont pas moins de 16 ans. Les « faucons poulets », dont un certain nombre détiennent en fait des sièges au Parlement, réclament déjà à grand cris que l’âge légal soit abaissé à 14 ans. Avec Tony Blair, un bon ami de Bill Clinton, comme Premier ministre maintenant, les « faucons poulets » obtiendront probablement ce qu’ils veulent. Mais quel est le rapport avec la Seconde Guerre mondiale ? Je vais vous le dire. Hitler et ses méchants Allemands, voyez-vous, n’approuvaient pas l’activité homosexuelle. Après que Hitler soit devenu Chancelier d’Allemagne en 1933, un homosexuel qui sodomisait un garçon de 16 ans en Allemagne et se faisait attraper avait de gros problèmes, et je veux dire vraiment des gros problèmes. Beaucoup d’homosexuels finissaient dans des camps de concentration, et ils n’en ressortaient pas tous. Même aujourd’hui ils pleurnichent encore sur la manière dont Hitler leur faisait porter des triangles roses et les persécutait. Mais heureusement pour les « faucons poulets », la Grande-Bretagne et l’Amérique entrèrent en guerre contre l’Allemagne, et maintenant les homosexuels ont partout les mêmes droits que les autres. Plus de droits, en fait, que le reste d’entre nous. Si nous n’avions pas combattu pour les droits des homosexuels durant la Seconde Guerre mondiale, les « faucons poulets » n’auraient pas le droit de sodomiser les jeunes garçons aujourd’hui : certainement pas en Allemagne, et probablement pas en Grande-Bretagne ni aux Etats-Unis. La guerre gagnée contre l’Allemagne établit les modes idéologiques pour le monde entier. Bien sûr, ce n’est pas seulement pour les droits des homosexuels que nous avons combattu durant la Seconde Guerre mondiale. En fait, cet aspect de la guerre fut soigneusement laissé dans l’ombre à l’époque. Ce qu’on nous disait publiquement, c’était tout un choeur enthousiaste sur des choses patriotiques : nous combattions pour l’égalité, contre la destruction des livres, pour la liberté d’expression et la liberté de la presse, pour les droits des femmes et des enfants, etc. Beaucoup de ces excuses pour partir en guerre contre l’Allemagne étaient basées sur des mensonges – ou du moins sur des présentations trompeuses. La destruction de livres, par exemple : chaque Américain a vu des images de livres jetés au feu par des Allemands, et on nous disait que les Allemands ne pouvaient lire que des livres approuvés par le gouvernement. On fit croire aux Américains que les livres brûlés avaient été saisis au domicile des Allemands qui avaient été envoyés dans des camps de concentration pour les avoir possédés, et que c’était illégal de posséder de tels livres en Allemagne. En fait, les autodafés étaient symboliques ; ils étaient destinés à exprimer la désapprobation publique de certains types de livres : pornographie, propagande communiste et juive, et ce genre de choses. Avant que Hitler devienne Chancelier, les communistes étaient très puissants en Allemagne, les Juifs possédaient de nombreuses maisons d’édition, et la pornographie florissait. Le gouvernement d’Hitler voulait faire un exemple pour le public ; il voulait montrer son attitude envers les livres socialement nuisibles et orduriers. Et donc des autodafés de livres furent mis en scène, et un grand nombre de livres pornographiques – ainsi qu’un grand nombre de livres de Marx et de Freud – fut brûlé pour faire comprendre au public que les goûts littéraires du gouvernement avaient fortement changé quand Hitler était devenu Chancelier. Ce n’était pas illégal de posséder des livres comme ceux qui avaient été brûlés, mais tout le monde comprenait qu’ils étaient considérés comme dégénérés ou socialement nuisibles. C’est seulement après la guerre que des lois furent votées pour interdire complètement la littérature politiquement incorrecte. Par exemple, aujourd’hui, dans l’Allemagne démocratique, il est illégal de tenter de publier ou de distribuer les livres que j’ai écrits, et nous devons donc mettre les éditions allemandes de ces livres sur internet, où les Allemands qui sont suffisamment courageux pour le faire peuvent les télécharger, les imprimer, et les distribuer secrètement à leurs amis. Presque tous les autres livres que les Juifs considèrent comme offensants ou dangereux pour leurs intérêts sont aussi interdits. Il est même interdit d’exprimer certains mots ou certaines idées oralement en public. Il y a littéralement des centaines de prisonniers politiques dans les prisons allemandes pour avoir écrit, ou dit, ou exprimé d’une manière quelconque des idées prohibées. Cela n’est pas arrivé sous Hitler. Cela ne pouvait pas arriver tant que nous n’avions pas battu les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale. Et à propos, ne vous attendez pas à ce que Mr. Clinton exprime pour ces actuels prisonniers allemands les mêmes inquiétudes qu’il a exprimées récemment pour les prisonniers politiques chinois. Cela n’arrivera pas. Ou prenons les droits des femmes et des enfants. Une grande partie de la propagande de guerre produite par le Bureau d’Information de Guerre (Office of War Information) – l’OWI – fortement juif de Roosevelt durant la Seconde Guerre mondiale était conçue pour que les Américains se sentent moralement supérieurs aux Allemands et qu’ils se sentent le droit de mener une guerre génocidaire contre eux. Je me souviens d’une affiche de propagande très efficace produite par l’OWI. Elle montrait de jolies filles à demi- nues avec des officiers allemands dans un bordel. La légende de l’affiche était : « Délivrez-nous du mal ». L’idée était de faire croire que les Allemands forçaient des jeunes femmes dans les pays occupés par leur armée à travailler comme esclaves sexuelles dans des bordels militaires. <strong>...</strong></p>