Histoire Ebook - Mot-clé - IranRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearGarbini Giovanni - Le Moyen-Orient antiqueurn:md5:8c934f424e17acd69da8cdb8dd91816b2016-06-17T23:34:00+01:002016-06-17T22:36:16+01:00balderGarbini GiovanniAnatolieEgypteIranPalestineSyrie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Garbini_Giovanni_-_Le_Moyen-Orient_antique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Garbini Giovanni</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le Moyen-Orient antique</strong><br />
Année : 1969<br />
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Introduction. La longue histoire de l’homme tel que nous le connaissons aujourd'hui, commence il y a entre un million et un demi-million d'années. <strong>...</strong></p>Reynouard Vincent - Nucléaire au Proche-Orient Le cynisme juifurn:md5:87ad20445c619f1a68e08568957a63942016-05-01T00:28:00+01:002016-04-30T23:34:02+01:00balderReynouard VincentHébraïsmeIrakIranIsraël <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Reynouard_Vincent_-_Nucleaire_au_Proche-Orient_Le_cynisme_juif.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Reynouard Vincent</strong><br />
Ouvrage : <strong>Nucléaire au Proche-Orient Le cynisme juif</strong><br />
Année : 2007<br />
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Israël fait pression sur la communauté internationale pour que l'Iran mette un terme a son programme de recherches sur le nucléaire. Dans cette affaire, les Israéliens se disent prêts à intervenir eux-mêmes, militairement, pour empêcher l'Iran de maîtriser la technologie nucléaire. Israël avait déjà agi ainsi en 1981, contre l'Irak. Dans cette brochure, V. Reynouard rappelle comment les Israéliens se sont dotés illégalement de l'arme atomique. Il souligne ensuite le cynisme des juifs qui prétendent interdire aux autres ce qu'ils se sont autorisés. Enfin, il s'interroge sur le destin du Moyen-Orient victime des délires sionistes. <strong>...</strong></p>Avestaurn:md5:466a172547c36bce7795f0a96c3546ff2013-11-10T22:45:00+00:002013-11-10T22:45:00+00:00balderAnonymesIranPerseReligion <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Avesta_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Anonymes</strong><br />
Ouvrage : <strong>Avesta Le livre sacré des anciens perses Tome 1</strong><br />
Année : *<br />
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La formation des royaumes de l'Iran. Vers le milieu du IIe millénaire avant J.-C. un large groupe de nomades éleveurs de gros bétail, parlant des dialectes de caractère indo-européen, apparaissent dans le Proche et le Moyen-Orient. Les textes cunéiformes du Proche-Orient (assyro-babyloniens) nous font connaître leur présence vers les monts Zagros, en Iran occidental et au sud du Caucase, dans la région du moyen Euphrate. Deux fractions de ces groupes, qui jusqu'alors devaient nomadiser dans les steppes situées au nord et à l'est de la mer Caspienne, déferlent les uns dans la vallée de l'Indus après avoir franchi les montagnes de l'actuel Afghanistan (l'Hindou Kouch ?), les autres sur le plateau de ce qui va devenir l'Iran. Le premier de ces deux groupes d'envahisseurs va imposer aux régions voisines de l'Indus et ensuite du Gange sa civilisation avec pour langue le sanskrit et pour textes religieux fondamentaux les Védas ; le second, qui se donne le nom d'Aryas 1, mot signifiant "vénérable" ("noble" en sanskrit), éclate en plusieurs groupes qui ne se manifesteront réellement qu'au cours du millénaire suivant. Ce sont les Mèdes, établis sur les marches de l'Iran occidental aux alentour de la cité destinée à devenir leur capitale, Ecbatane (actuelle Hamadan), et les Perses installés dans le sud-ouest de l'Iran, dans la région de l'actuelle Chiraz dans la moderne province du Fars, nom qui conserve celui des Perses, Parsa en ancien perse. Appartenaient aussi à ce groupe les tribus qui occupèrent la partie nord de l'Afghanistan et le nord-est de l'Iran, constituant ce qui va devenir la Bactriane, avec Bactres, l'actuelle Balkh, pour capitale. <strong>...</strong></p>Graf Jürgen - Entrevue Iran 2013urn:md5:d440980ad6be38f66484468dd02e42672013-03-16T02:23:00+00:002013-03-16T02:26:06+00:00balderGraf JürgenIranRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Graf_Jurgen_-_Entrevue_Iran_2013_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Graf Jürgen</strong><br />
Ouvrage : <strong>Entrevue Iran 2013</strong><br />
Année : 2013<br />
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Mr Graf, vous êtes citoyen suisse et vous êtes forcé aujourd’hui de vivre en Russie. Pourquoi ? En juillet 1998, le Tribunal de district de Baden m’a condamné à 15 mois de prison sans sursis et à une amende d’environ 40.000 francs suisses en raison de mes écrits révisionnistes. Mon éditeur, Gerhard Förster, qui avait 76 ans et était si malade qu’il avait fallu l’amener en chaise roulante à la salle d’audience, a pris un an de prison plus une amende identique ; il est décédé deux mois plus tard. Comme je n’étais pas en mesure de payer l’amende, cette dernière aurait été commuée en peine de prison supplémentaire et j’aurais dû passer environ deux ans et demi derrière les barreaux. Mon avocat, Maître Urs Oswald, fit appel du verdict mais en 2000 la décision fut confirmée par la Cour suprême de la Confédération helvétique. A l’époque, j’étais fiancé à celle qui allait devenir ma femme, Olga Stepanovna, une historienne de Minsk (Biélorussie). Etant donné que nous ne voulions pas d’une longue séparation, je pris la décision de ne pas purger ma peine et d’émigrer. Depuis 2002 nous vivons, Olga et moi, en Russie. Je gagne ma vie comme traducteur de diverses langues européennes (spécialement anglais et russe) en allemand mais je poursuis également mes activités révisionnistes. En 2010, conjointement avec le Suédois Thomas Kues et l’Italien Carlo Mattogno, j’ai écrit un livre, long et détaillé, sur le prétendu « camp d’extermination » de Sobibor en Pologne orientale où, d’après l’histoire holocaustique, entre 170.000 et 250.000 juifs ont été gazés en 1942 et 1943 (Sobibor, Holocaust Propaganda and Reality (Sobibor, propagande holocaustique et réalité), Castle Hill Publishers, Uckfield 2010). Dans cet ouvrage nous démontrons que Sobibor était en réalité un camp de transit. <strong>...</strong></p>Theil Georges - Notre Missionurn:md5:7780ed6ac5a32eacad1d59aedc5c7eba2013-01-28T23:30:00+00:002016-02-13T20:41:11+00:00balderTheil GeorgesIranRévisionnisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Theil_Georges_-_Notre_Mission_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Theil Georges (Dubreuil Gilbert)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Notre Mission Désorganiser la calomnie planétaire pour aider à construire un monde honnête</strong><br />
Année :2006<br />
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J’exprime ici ma reconnaissance à ceux qui ont permis, avec un immense courage, la tenue et l’organisation d’une telle conférence. Cette date des 11 & 12 décembre 2006, dans cette magnifique capitale, pourrait véritablement être celle d’un tournant dans l’histoire du monde, je ne crains pas de le dire ; elle marque le vrai début de la fin de l’oppression inouïe subie par le monde depuis plus de soixante ans maintenant. Cette oppression, cette mise en esclavage, cette honte pour l’humanité, ce crime contre l’humanité – osons enfin le dire – c’est le gigantesque mensonge de la prétendue Shoah, du prétendu génocide des juifs entre 1941 et 1945, la plus grande calomnie de toute l’histoire de l’humanité, imposée tout d’abord à l’Occident, puis par voie d’osmose - disons du fait d’une progressive « mondialisation » - à la totalité du monde, et singulièrement au monde musulman. Mais, au fait, la description habituelle de la « shoah » n’est-elle pas simplement une « opinion largement majoritaire » ? Comme tentent de nous le dire certains, sur un ton faussement objectif ? Eh bien non ! Puisque la simple discussion publique est impossible sur le sujet, sous peine d’amendes et de prison. L’auteur de ces propos en sait quelque chose. Mais fort heureusement, il y a des résistances sérieuses à l’oppression, des refuzniks et cela depuis le début de la construction et l’installation du mythe ; il y en a encore et toujours, malgré la terreur imposée par les ennemis de la vérité historique ; une preuve éclatante est la tenue de cette conférence. Origine et fondements du « mensonge sacré ». Reprenons les choses à leurs racines. Les juifs, on le sait, nomades par essence, sont une variété de l’espèce humaine (je n’emploie pas le terme d’ethnie, encore moins de race), disséminé parmi les nations du monde, en partie aussi installé sur la terre de Palestine depuis 1948. Ce groupe humain se sent soudé par une religion spécifique, non-prosélyte, par des croyances et pratiques rituelles communes, cimenté par des prescriptions, auto renouvelé par une forte endogamie, maintenu enfin par un comportement raciste (c’est-à-dire qui a une forte conscience – ou imprégnation – de sa spécificité, de son identité propre et qui ne saurait être souillée par quelque métissage), un sentiment de supériorité par rapport au non juif, « justifié » par une imprégnation des esprits par le Talmud et de soi-disant « écritures » où leur Yahweh aurait oint le peuple juif du statut de « peuple élu ». Cette prétention, pour tout être normalement constitué, est une aberration, une monstruosité, la manifestation d’un orgueil démentiel. Prenons-les au mot, objectivement. Pour juger de l’éventuelle supériorité d’un peuple sur les autres, il faudrait à tout le moins être à même de mesurer la contribution de ce peuple, en balance avec celle des autres, à l’avancée de l’humanité, dans des domaines aussi variés que la philosophie, les beaux-arts, la littérature, la philologie, l’architecture, les sciences, les domaines biologique et médical, les mathématiques, la physique, la chimie et la technique (associée à l’énergie, aux transports, aux télécommunications), les actions de préservation du patrimoine et de l’environnement, etc. Et là, justement, on ne les voit guère en bonne position. Ces juifs, donc, à l’origine peuplade nomade, errant de la Mésopotamie à l’Egypte, régulièrement chassés de leur installation dans des pays hôtes, ont ensuite lentement émigré au début de notre ère, vers l’Europe et l’Afrique du nord, à un moindre degré dans les nations voisines telles les empires perse ou ottoman, se sont pratiquement toujours trouvés en butte à l’hostilité des peuples hôtes. On pourrait à première vue attribuer cela (en Europe) à la religion chrétienne majoritaire dans ces pays d’Europe, qui s’est posée dès l’origine en repoussoir de la religion juive, même si le tronc est commun ; on a pu dire que la christianité est en opposition radicale avec la judéité, comme le sont souvent des frères dans une même famille. Et les chrétiens des premiers jours ont propagé la notion de peuple déicide appliquée aux juifs, en allusion au récit du Nouveau Testament qui relate la mise à mort par crucifixion du prophète Jésus à l’instigation des Juifs : ce Jésus, se prétendant le Messie attendu et annoncé, avait eu le front non seulement de se proclamer « roi des Juifs » mais encore il avait osé, de façon impardonnable pour les juifs, annoncer qu’il n’y avait plus de juifs, qu’il n’y avait plus de gentils, mais qu’il n’y avait que des enfants de Dieu ! Paroles intolérables pour une communauté se prétendant élue de (son) Dieu, et paroles authentiquement révisionnistes ! <strong>...</strong></p>Sans Concession 22urn:md5:2ad14811d3454d27bee1b3dfbdd623902012-09-20T21:37:00+01:002017-03-08T09:37:10+00:00balderSans ConcessionAllemagneAuschwitzBenoit XVIBerlinIranRevueRévisionnismeSeconde guerre mondialeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Sans_Concession_22.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sans Concession</strong><br />
Ouvrage : <strong>Numéro 22</strong><br />
Année : 2006<br />
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1er aout 1936, il y a70 ans... Les jeux olympiques de Berlin. Robert Faurisson Mémoire juive contre histoire. Hitler dictateur ? V. Reynouard répond. Le révisionnisme du président iranien. Photos prises dans les camps... Dès 1945. leur véritable signification était connue. Le faux témoin rentré par Benoit XVI à Auschwitz. <strong>...</strong></p>Le Bon Gustave - Les premières civilisationsurn:md5:56b23256ce5239f99d0d06421530004d2012-08-16T01:04:00+01:002017-03-08T11:27:53+00:00balderLe Bon GustaveBabyloneEgypteIrakIranSumer <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Le_Bon_Gustave_-_Les_premieres_civilisations.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Le Bon Gustave</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les premières civilisations</strong><br />
Année : 1889<br />
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Le siècle que nous voyons finir et qui a enfant étant de merveilles, le siècle de la vapeur et de l'électricité, le siècle qui a transformé toutes nos croyances et créé un monde d'idées nouvelle et de pensées nouvelles, ce siècle, si extraordinairement fécond a, vu se réaliser aussi, dans les diverses branches de l'histoire, les découvertesles plus imprévues. Lorsque, il y a quelques années à peine, le voyageur visitait les ruines mystérieuses des antiques cités de la vieille Asie et de la terre des Pharaons, les débris formidables de monuments splendides qui frappaient ses regards étonnés lui apparaissaient comme des témoins des premiers âges de l'humanité. Il ne se doutait guère que, lorsque Homère écrivait ses poèmes, lorsque s'élevaient sur les rives du Nil les pyramides gigantesques et les sphinx au sourire éternel, l'homme avait déjà derrière lui un long passé. <strong>...</strong></p>De Saulcy Félicien - Recherches analytiques sur les inscriptions cunéiformes du système médiqueurn:md5:50add230daaf5a25b67f7a7de96b82582012-08-11T18:55:00+01:002017-03-08T11:33:29+00:00balderDe Saulcy FélicienIranMoyen-Orient <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/De_Saulcy_Felicien_-_Recherches_analytiques_sur_les_inscriptions_cuneiformes_du_systeme_medique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>De Saulcy Félicien (De Saulcy Louis Félicien Joseph Caignart)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Recherches analytiques sur les inscriptions cunéiformes du système médique</strong><br />
Année : 1849<br />
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Tous ceux qui se sont occupés du déchiffrement des différents systèmes d’écriture cunéiforme connaissent le travail de M. Westergaard sur les inscriptions médiques. Ce travail, publie en 1844 à Copenhague, dans les Mémoires de la Société royale des antiquaires du Nord, n'a pas reçu des philologues l'accueil bienveillant auquel il avait droit. <strong>...</strong></p>Thion Serge - Brève histoire du révisionnismeurn:md5:0f08d418ef31f8244beacf6fad2ebb402012-07-10T15:28:00+01:002017-03-08T13:59:52+00:00balderThion SergeIranPremière guerre mondialeRévisionnismeSeconde guerre mondialeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Thion_Serge_-_Breve_histoire_du_revisionnisme.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Thion Serge</strong><br />
Ouvrage : <strong>Brève histoire du révisionnisme</strong><br />
Année : 2006<br />
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De la première à la seconde guerre mondiale. Le terme "révisionniste", tel que nous l'entendons aujoud'hui, concernant ce qui s'est réellement passé dans les camps de concentrations nazis, provient de la Première Guerre mondiale et il n'avait alors pas du tout le même sens. Il désignait ceux qui jugeaient que le Traité de Versailles était foncièrement mauvais et injuste, et qu'il allait engendrer toutes sortes de catastrophes. C'est une position que prirent toutes sortes d'esprits critiques, qui ne partageaient pas forcément les mêmes opinions, mais qui sont tombés d'accord, dès sa signature, sur l'idée que ce Traité était mauvais et qu'il fallait, par conséquent, le réviser. D'où le terme de « révisionnistes » qui a dû être inventé par les adversaires, partisans du Traité. On sait qu'inspiré en grande partie par le président américain Wilson, ce traité se fondait sur le prétendu « droit des peuples à disposer d'eux-mêmes », droit qui était reconnu à certains mais fermement dénié à d'autres, surtout les peuples coloniaux, pour aboutir à un vaste redécoupage des empires centraux qui avaient perdu la guerre : Allemagne, Autriche-Hongrie, Empire ottoman. Les empires britannique, français et russe restaient intacts, au mépris de ce fameux droit à disposer d'eux-mêmes qui ne s'appliquait pas aux peuple asservis. D'autres, brusquement libérés par l'écroulement de l'empire, comme le peuple kurde, subitement apparu et aussi vite disparu, furent rapidement mis sous le joug colonial, comme la Syrie, le Liban, la Palestine, l'Iraq à qui ne furent pas concédés les droits promis pour rallier les peuples à la cause de la lutte contre les Empires centraux. C'est en résumé la tragédie de T. E. Lawrence, un agent britannique connu sous le nom de Lawrence d'Arabie, qui vécut fort mal la trahison par Londres des promesses d'indépendance politique qu'il avait été amené à faire aux Arabes. « Révisionniste » voulait donc dire critique de la formule politique qui mettait fin à la Grande Guerre et à son cortège d'horreurs. Cette critique était contagieuse. Elle allait inévitablement remonter jusqu'à la mise en cause des raisons du déclenchement de la guerre. Les vainqueurs – qui s'en étonnera ? – expliquaient que tout était de la faute des vaincus. Les révisionnistes s'indignèrent d'un telle simplifiation qui bordait le mensonge. Une abondante littérature sortit de cet effort d'élucidation et elle reste encore aujourd'hui un sujet de réflexion et de controverse. D'autres, délaissant le questionnement du passé, concentrèrent leur attention que ce qui avait été la propagande de guerre poussée à de nouveaux paroxysmes. La presse, foisonnante à l'époque, s'était lancée, des deux côtés, dans des opérations de mensonge patriotique à grande échelle et, grassement payée en sous-main par les gouvernements, elle avait fabriqué toutes sortes de mythes, qui n'avaient pas tous été concoctés par le Deuxième Bureau. Cet aveuglement collectif a fortement retenti sur les témoignages qui ont été publiés. En effet, pendant et après la guerre, c'est par milliers que furent imprimés des récits de guerre, plus héroïques les uns que les autres. Parmi les esprits critiques, il faut faire une place particulière à Jean-Norton Cru, qui entreprit de passer les plus importants de ces témoignage dans la moulinette de l'analyse critique, en les considérant froidement comme des récits dont l'authenticité demandait à être prouvée. Il en a retenu trois cents, ce qui est plus qu'un échantillon représentatif : "J'ai labouré profondément un tout petit champ." (Témoins, 1929, 727 p.). La polémique fut énorme. Elle eut l'avantage de légitimer l'entreprise qui consistait à passer au crible les témoignages des combattants en refusant le patriotisme ou le nationalisme comme critères de jugement de leur réalité. Cette leçon ne sera pas perdue, même si la seconde Guerre mondiale allait submerger les opinions publiques sous les vagues de nationalisme et de déformation médiatiques. De nouveaux sommets de pure propagande furent atteints à cette occasion. <strong>...</strong></p>