Histoire Ebook - Mot-clé - IrlandeRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearDeidre Longes mac nUislennurn:md5:ecef3865319fcc063677c1c0d52c87042019-07-24T23:31:00+01:002019-07-26T11:36:44+01:00balderAnonymesCeltesIrlande <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Deidre_Longes_mac_nUislenn.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Anonymes</strong><br />
Ouvrage : <strong>Deidre Longes mac nUislenn</strong><br />
Année : *<br />
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Traduction de L. Ponsinet. Avant-propos d’Hubert d’Arbois de Jubainville. Suivi de LA COURTISE DE LUAINE ET LA MORT D’ATHIRNE. Version française du TOCHMARC LUAINE 7 AIDEDH AITHIRNE ANDSO par Florence Thiébaut and THE WOOING OF LUAIN AND DEATH OF ATHIRNE English version by Withley Stoke. AVANT-PROPOS Le morceau jouit d’une grande célébrité en Irlande et en Ecosse. Une rédaction recueillie dans la tradition orale a été publiée tout dernièrement en Ecosse par M. Alexandre Macbain dans son Celtic Magazine, n° de décembre 1887, p. 69-77 et n° de janvier 1888, p. 129-138. L’ « exil des fils d’Usnech » a déjà eu plusieurs éditions. La première a été donnée en anglais en 1723, quand pour la première fois a paru la traduction anglaise de l’Histoire d’Irlande composée au XVIIe siècle par Keating. L’ « exil des fils d’Us-nech » occupe les trois pages 87-90 de cette traduction qui est in-folio. Il serait intéressant d’examiner dans quel rapport la rédaction de Keating se trouve avec celle de Macpherson qui a remplacé le nom de Derdriu par celui de Darthula, dans son Fingal, Londres, 1762, p. 155-171 (quarante et un ans, après la première édition de Keating). Dans notre siècle, on a voulu remonter aux manuscrits qui nous conservent ce document dans la langue originale, c’est-à-dire en irlandais. Le plus ancien manuscrit date du XIIe siècle. C’est le Livre de Leinster qui appartient au collège de la Trinité de Dublin. La seule édition qui en existe a été donnée par M. Windisch, dans ses Irische Texte, t. 1, p. 67-82. Le savant auteur a collationné le texte du livre de Leinster avec deux autres manuscrits, l’un du XIVe, l’autre du XVe siècle, qui offrent la même rédaction. La traduction de M. Ponsinet a été faite sur l’édition de M. Windisch. Une rédaction sensiblement différente et probablement moins ancienne est conservée par un manuscrit du XVe siècle qui appartient à la bibliothèque des avocats d’Edimbourg. Elle a été publiée par M. Whitley Stokes, Irische Texte, t. XI, p. 122-152, avec une savante introduction et une traduction anglaise. L’« exil des fils d’Usnech » appartient au cycle de Conchobar et de Cûchulainn. Le sujet de ce cycle est une guerre entre Conchobar, roi d’Ulster, et le reste de l’Irlande, conduite contre ce prince par Ailill et Medb, roi et reine de Connaught. C’est Fergus qui guide l’armée d’Ailill et de Medb. Fergus est un des meilleurs guerriers d’Ulster et pourquoi porte-t-il les armes contre sa patrie ? Parce qu’il a été caution que les fils d’Ulster auraient la vie sauve, et parce que, malgré cet engagement solennel, les fils d’Usnech ont été traîtreusement assassinés par ordre du roi Conchobar. Voilà comment notre morceau se rattache au cycle épique auquel il appartient. Les personnages principaux, outre les fils d’Usnech et Der-driu, femme de l’un d’eux, sont le roi d’Ulster Conchobar, Cathbu, le druide, qui est père de ce prince ; Sencha, le jurisconsulte, qui est le conseiller en titre du même roi ; Fedlimid, dont le métier est de distraire Conchobar par ses récits pendant les longues soirées d’hiver. Fedlimid est père de Derdriu dont la destinée tragique fait surtout l’intérêt du morceau. D’Arbois de Jubainville. <strong>...</strong></p>Toland John - Pantheisticonurn:md5:1a347a5d24d2eddef64aa4a7463b86632018-03-21T18:10:00+00:002018-04-15T05:15:10+01:00balderToland JohnEuropeIrlandeMythologieReligion <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Toland_John_-_Pantheisticon.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Toland John</strong><br />
Ouvrage : <strong>Pantheisticon</strong><br />
Année : 1720<br />
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Ou formule pour célébrer une Société socratique Divisée en Trois Parties qui DES PANTHÉISTES ou SOCIÉTAIRES contiennent I. Les MOEURS et les AXIOMES II. Les divinites et la philosophie III. La LIBERTÉ ET LA LOI non trompeuse et qui ne peut être trompée. On commence par une Dissertation sur les Sociétés savantes, anciennes et modernes ainsi que sur l’infini et l’éternité de l’Univers. Elles sont suivies de la double Philosophie que doivent suivre les PANTHÉISTES et d’une petite Dissertation qui donne l’idée d’un très honnête homme et d’un homme parfait. Cosmopoli, M. DCC. XX. <strong>...</strong></p>Hyde Douglas - Contes irlandaisurn:md5:02fd2792ae8807e0703f9813a74af4fa2018-03-10T00:58:00+00:002018-04-15T05:15:50+01:00balderHyde DouglasConteIrlande <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Hyde_Douglas_-_Contes_irlandais.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Hyde Douglas</strong><br />
Ouvrage : <strong>Contes irlandais & Contes irlandais modernes suivi de Les sept nuits du conteur</strong><br />
Année : *<br />
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Le Prêtre et l’Évêque. Il y eut un léger différend entre trois fils. C’étaient les fils d’un fermier. L’un d’eux dit qu’il quitterait la maison et qu’il irait dans une île. Un autre se fit prêtre, et le frère aîné resta dans la maison. Le jeune prêtre ne tarda pas à partir pour Baile Athluain, au collège ; il y resta pendant le cours de cinq années, en sorte que son stage fut fini, et qu’il devint régulièrement prêtre. Il fit alors, au collège, ses préparatifs de départ et il dit qu’il allait se rendre chez lui pour voir son père et sa mère. Il attacha ensemble ses livres dans son sac et il partit pour la ville. Il n’y avait pas de moyens de transport dans ce temps-là, il dut aller à pied. Il marcha tout le long du jour jusqu’à ce que la nuit vînt. Il aperçut une lumière. Il alla dans la direction, et il trouva une grande maison de gentilhomme. Il entra dans la cour et il demanda un abri jusqu’au matin. Le gentilhomme le lui accorda volontiers et le gentilhomme ne savait que faire pour lui être agréable, par suite de l’estime qu’il avait pour lui. Le prêtre était beau garçon et la fille du gentilhomme se prit, comme tu dirais, d’amour pour lui pendant qu’elle était à apprêter son souper. Il eut un souper de choix. Quand on alla dormir, alors la jeune fille entra dans la chambre où était le prêtre. Elle se mit à lui demander de laisser là l’Église et de l’épouser. Le gentilhomme n’avait pas d’autre fille qu’elle ; la maison devait être à elle entièrement, et elle dit cela au prêtre. Le prêtre dit : « Ne m’expose pas quelle est ton intention, » dit-il, « cela ne sert à rien ; je suis marié déjà avec la Vierge mère et je n’aurai jamais une autre femme, » dit-il. Elle le quitta alors, quand elle eut vu qu’elle ne tirerait rien de bon de lui. Il y avait un plat d’or dans la maison, et quand le jeune prêtre fut endormi, elle revint dans sa chambre et elle mit le plat d’or, sans qu’il le sût, dans son sac, et la voilà repartie. <strong>...</strong></p>D'Arbois De Jubainville Henri - Le cycle mythologique irlandais et la mythologie celtiqueurn:md5:eb135c6f55da5f4f019d4aeefbd8524d2016-10-04T01:49:00+01:002016-10-04T00:50:21+01:00balderD'Arbois De Jubainville HenriCeltesIrlandeMythologie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/D_Arbois_De_Jubainville_Henri_-_Le_cycle_mythologique_irlandais_et_la_mythologie_celtique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>D'Arbois De Jubainville Henri</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le cycle mythologique irlandais et la mythologie celtique</strong><br />
Année : *<br />
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Préface. Un des documents le plus souvent cités sur la religion celtique est un passage de César, De bello gallico, où le conquérant de la Gaule raconte quels sont, suivant lui, les principaux dieux des peuples qu’il a vaincus dans cette contrée : « Le dieu qu’ils révèrent surtout est Mercure ; ses statues sont nombreuses. Les Gaulois le considèrent comme l’inventeur de tous les arts, le guide dans les chemins et les voyages ; ils lui attribuent une très grande influence sur les gains d’argent et sur le commerce. Après lui viennent Apollon, Mars, Jupiter et Minerve. De ceux-ci ils ont presque la même opinion que les autres nations : Apollon chasse les maladies ; Minerve instruit les débutants dans les arts et les métiers ; Jupiter a l’empire du ciel ; Mars a celui de la guerre. Quand ils ont résolu de livrer bataille, ils lui consacrent d’avance par un voeu le butin qu’ils comptent faire… » Si nous prenons ce texte au pied de la lettre, il paraît que les Gaulois auraient eu cinq dieux presque identiques à autant de grands dieux romains : Mercure, Apollon, Mars, Jupiter et Minerve ; la différence n’aurait guère consisté que dans les noms. Cette doctrine semble confirmée par des inscriptions romaines, où des noms gaulois sont juxtaposés comme épithètes ou par apposition aux noms de ces dieux romains. On pourrait donner de nombreux exemples. <strong>...</strong></p>Berresford Ellis Peter - L'ancienne astrologie irlandaiseurn:md5:e6d80dcc50c7d862dded0c480de7dae32016-09-17T15:34:00+01:002022-10-14T15:04:41+01:00balderBerresford Ellis PeterAstrologieCalendrierCeltesIrlande <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Berresford_Ellis_Peter_-_L_ancienne_astrologie_irlandaise.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Berresford Ellis Peter</strong><br />
Ouvrage : <strong>L'ancienne astrologie irlandaise</strong><br />
Année : 1996<br />
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On rencontre, dans toutes les histoires de l’astrologie occidentale, une omission curieuse. Il n’y est jamais fait référence aux anciennes pratiques astrologiques irlandaises, ou celtiques. En fait, la seule étude sérieuse sur l’astrologie celtique a été publiée dans une revue savante française en 1902. A la lumière des recherches modernes, les conclusions de cette dissertation sont ouvertes à la discussion. La raison principale de ce désintérêt pour le sujet, au moins pendant les cinquante dernières années, a assurément été l’influence insidieuse de The White Goddess de Robert Graves (1949). Ce livre a rendu un singulier mauvais service à ceux qui cherchent à étudier les réalités de la cosmologie celtique et, particulièrement, la pratique de l’astrologie. Graves n’était pas celtisant. Son invention d’un supposé « calendrier des arbres » et d’un « zodiaque des arbres » a inspiré une profusion de livres prétendant traiter d’astrologie celtique. Graves et ses disciples ont malheureusement frappé l’imagination populaire, mais leur zodiaque des arbres n’a rien à voir avec les réalités du monde celtique antique. Ce n’est pas le lieu de disséquer les inventions de Graves. Ceci nécessiterait un long article. Dans cette polémique, j’ai l’intention de me limiter à un aperçu de la réalité historique de l’astrologie dans la société irlandaise. L’Irlande était, et demeure, une partie du monde celtique. Autour du IIIe siècle av. J.-C., les Celtes atteignirent leur plus grande expansion en Europe. Ils occupaient l’Europe de l’Irlande, à l’ouest, jusqu’à la plaine centrale de la Turquie (Galatie), à l’est (et même jusqu’à la mer d’Azov), du nord de la Belgique jusqu’à Ancône, en l’Italie, et Cadix dans la péninsule ibérique. Ils furent l’une des grandes civilisations fondatrices de l’Europe ; la première civilisation du nord de l’Europe dont l’histoire rend compte. Bien que nous ayons des centaines de textes et d’inscriptions dans les langues celtiques continentales depuis le IVe siècle av. J.-C., les informations les plus anciennes dont nous disposons sur les littératures considérables des Celtes insulaires, Irlandais et Gallois, ne remontent pas beaucoup plus haut que le VIe siècle. Les auteurs grecs et latins témoignent clairement que les Celtes ont été non seulement éminents en astronomie, mais qu’ils ont été estimés, particulièrement par les Grecs, pour leurs spéculations sur les étoiles. Même les Romains, de César à Pline, ont rendu hommage à leur astronomie. Martial (c. 40-103/4), qui se proclamait lui-même d’ascendance celtique, nota le premier que les Celtes antiques croyaient que le monde était rond (et non plat). <strong>...</strong></p>Lombard Jean - La face cachée de l'histoire moderne Tome 1urn:md5:23e1dd98c987d6be7b812a07bc7dcc452015-12-23T20:52:00+00:002022-01-14T01:31:48+00:00balderLombard Jean CoeurderoyAlchimieAlgérieAllemagneAmériquesAngleterreAnglo-SaxonAutricheBelgiqueBerlinBrésilCanadaCathareCatholiqueChineChristianismeConspirationCroisadeEcosseEgypteEspagneEuropeEx-LibrisEx-Libris LenculusFlandreFranc-maçonnerieFranceGenèveGrèceHenri IVHollandeHongrieHébraïsmeIrlandeIslamIsraëlItalieJacobinsJansénistesJérusalemJésuitesKabbaleLondresLouis XIVLouisianeLyonMahometMarocMexiqueMoscouMédecineMésoamériqueNapoléonNormandieOrléansParisPolognePortugalProtestantReligionRoiRomeRose-CroixRothschildRussieRévolutionSavoieSavoisienScandinavieSuisseTempliersTunisieTurquieUkraineÉconomieÉtats-Unis <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Lombard_Jean_-_La_face_cachee_de_l_histoire_moderne_Tome_1.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Lombard Jean Coeurderoy</strong><br />
Ouvrage : <strong>La face cachée de l'histoire moderne Tome 1 La montée parallèle du capitalisme et du collectivisme</strong><br />
Année : 19**<br />
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Jean Lombard, qui signait « Jean Lombard Coeurderoy » est l’auteur d’une oeuvre capitale dont la totalité n’a pu êtré publiée intégralement en français. Voici une réédition numérique du tome 1 de « La Face Cachée de l’Histoire Moderne » qui n’est en fait que le tome 1 et une partie du 2 de la traduction espagnole de « La Cara Oculta de la Historia Moderna » dont l'ensemble comporte 4 tomes. Il est bon de savoir que Jean Lombard n’ayant pas réussi à trouver une seule maison d'éditions française pour publier son œuvre monumentale, se résolut avec la plus grande déception à faire traduire ses volumes en espagnol. Quatre gros tomes parurent ainsi aux éditions franquistes « Fuerza Nueva » à la plus grande joie des espagnols et sud-américains avertis des questions subversives. La Divine providence ne pouvait qu’agir ainsi. Sans cette résolution, il est évident que ces ouvrages aurait disparu et son travail d'une vie réduit à néant. Nous tenons à remercier ceux qui ont sauvegardé et distribué gratuitement ces documents sur l'Internet. Si vous voulez participer à ce travail, les traductions des trois ouvrages de « La Face Cachée de l’Histoire Moderne » seraient la finalité de son engagement à la cause du devoir d'histoire. Mais qui était Jean Lombard ? Diplômé de l’École des Chartes en 1927, Jean Lombard s’est orienté vers une carrière diplomatique en intégrant l’École des Sciences Politiques d’où il sortit lauréat du concours des Ambassades. Peu avant la deuxième guerre mondiale, on lui confia le poste de bibliothécaire-archiviste de la ville d’Alger avant de devenir administrateur de la Bibliothèque de la même ville, ce qui lui permit d’être plongé pendant 10 ans dans les affaires musulmanes en Algérie. Pendant la Guerre, il fut affecté aux services de renseignements. Inquiété à la « Libération » pour avoir dépouillé les bibliothèques et les archives des loges maçonniques en Algérie, il fut incarcéré pendant quelque temps et radié de la Bibliothèque. Après la guerre, il fut nommé secrétaire général du Comité des Banques d’Algérie, directeur de l’enseignement bancaire en Afrique du Nord et professeur d’économie politique, avant de retrouver sa place d’administrateur de la Bibliothèque d’Alger (le Conseil d’État ayant levé la sanction qui l’avait touché auparavant). Mis en congé spécial après l’abandon de l’Algérie en 1962, il vint s’installer en Espagne comme beaucoup de pieds-noirs ou de pro-Algérie Française scandalisés par ce largage inique ! Jean Lombard fut ensuite nommé ‘chargé de missions’ de l’unesco en Amérique Centrale et au Liban, ce qui lui permit d’en apprendre beaucoup sur la subversion mondiale. Cette carrière bien remplie lui a donné l’occasion de parfaitement prendre connaissance des arcanes financières et bancaires et de consulter par sa formation et ses fonctions une exceptionnelle documentation confidentielle ou peu connue, dont il a su tirer le meilleur profit pour mener à bien son œuvre absolument remarquable, servie par un don exceptionnel de synthèse. <strong>...</strong></p>Osterrieder Markus - Pèlerins pour l'Europeurn:md5:d84a9a4735d0a051baf1122576c6fb522015-12-11T04:00:00+00:002015-12-11T04:05:44+00:00balderOsterrieder MarkusAllemagneChristianismeEuropeIrlandeUkraine <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Osterrieder_Markus_-_Pelerins_pour_l_Europe.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Osterrieder Markus</strong><br />
Ouvrage : <strong>Pèlerins pour l'Europe Les relations culturelles entre l'Europe centrale et Kiev (Xe-XIIIe siècles) : le rôle des irlandais</strong><br />
Année : 1997<br />
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L'arrivée des Peregrini. Quand, en l'an 590, le moine irlandais Columbanus (543-615), accompagné de douze élèves, débarqua sur le continent européen, il fut à l'origine d'un flot de pèlerins qui, à partir de l'Irlande et de la Grande-Bretagne, se déversèrent en plusieurs vagues loin à l'intérieur du continent. Les moines irlandais ou peregrini (gaélique deorad) prenaient sur eux cet exil volontaire comme un sacrifice ou une pénitence, un « martyr blanc » pro amore dei afin de remplir leur mission et trouver l'accomplissement sur le chemin du pèlerinage. Plus un voyage les portait loin de l'Irlande, plus il avait de valeur. L'œuvre des peregrini était étroitement liée à la renaissance culturelle dans l'Empire carolingien. <strong>...</strong></p>Thibaut René - La mystérieuse prophétie des papesurn:md5:4bb1013fa7d1eee23bb0b8459cb6c0c12015-08-28T01:48:00+01:002015-08-28T00:54:30+01:00balderThibaut RenéCatholiqueChristianismeIrlandeProphétieVatican <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Thibaut_Rene_-_La_mysterieuse_prophetie_des_papes.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Thibaut René</strong><br />
Ouvrage : <strong>La mystérieuse prophétie des papes</strong><br />
Année : 1951<br />
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Introduction. L'an 1595, à Venise, sortait des presses de Georges Angelérier un gros ouvrage en deux volumes : Lignum Vitae... L'auteur, le bénédictin mantouan Arnold Wion originaire de Douai, y passait en revue les hommes illustres de son ordre. A la page 307 du premier volume se présente la notice de saint Malachie, le plus grand apôtre de l'Irlande après saint Patrick, l'ami de saint Bernard qui écrivit sa vie. C'est là qu'apparaît pour la première fois la fameuse Prophétie des papes qui va faire l'objet de notre étude. Le premier éditeur, Wion, nous l'offre en disant comme pour s'excuser : « C'est tout ce que j'ai trouvé de la production littéraire de saint Malachie » ! Il ajoute que, s'il publie cette prophétie, c'est qu'à sa connaissance elle est inédite, que beaucoup de gens la désirent et qu'au reste elle ne prend pas trop de place ! Elle compte pourtant 111 signalements pontificaux qui remplissent cinq pages in-40. Les signalements échus au moment de la publication (1595) sont flanqués des noms pontificaux : il y en a 77, de Célestin II élu en 1143 à Clément VIII élu en 1592. Sauf les trois derniers, les noms pontificaux sont suivis d'un bref commentaire justifiant le signalement prophétique. Wion note en finissant que ces commentaires ne sont pas l’œuvre de saint Malachie, mais de son interprète, le R. P. Alphonse Chacon O. P. Il s'agit sans doute de l'historien des papes plus connu sous le nom latin de Ciacconius. <strong>...</strong></p>Mudry Thierry - Irlandeurn:md5:b7612dde538b72a7595732e870e2e0792015-06-08T18:34:00+01:002015-06-08T18:34:00+01:00balderMudry ThierryAngleterreAnglo-SaxonCeltesEuropeIrlande <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Mudry_Thierry_-_Irlande.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Mudry Thierry</strong><br />
Ouvrage : <strong>Irlande : la guerre de la liberté</strong><br />
Année : 1991<br />
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Prologue : Pâques 1916 : une poignée de nationalistes irlandais décidés sous la direction du poète Padraig PEARSE et du leader syndicaliste James CONNOLLY s'emparèrent de Dublin et proclamèrent l’indépendance de l'Irlande. Ils résistèrent pendant plusieurs jours aux forces britanniques, très supérieures en nombre et en armement. <strong>...</strong></p>Mrugala Fabrice - Les Dieux, la mythologie et la religion celteurn:md5:707fcd6b069c1e2645fdf58d5c33c5682012-11-16T16:38:00+00:002017-03-07T14:37:32+00:00balderMrugala FabriceAngleterreCeltesFranceIrlandeMythologieReligion <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Les_Dieux_la_mythologie_et_la_religion_celte.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Mrugala Fabrice</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les Dieux, la mythologie et la religion celte (celte, gaulois, irlandais, gallois)</strong><br />
Année : 2002<br />
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Introduction. Chez les celtes, les dieux (donc divin) n'était au départ pas représentés car comment représenter le divin, ce qui n'appartient pas au réel, au visible ? Les représentations anthropomorphiques sont apparues sous l'influences des grecs et romains (il y avait beaucoup d'échange au IIème et Ier siècle avant JC avec romains et grecs. Ces derniers ayant des comptoirs dans le sud de la France, Massilia l'actuelle Marseille est l'un des plus connus). D'ailleurs il y a une petite anecdote. Lorsque les celtes ont pillés Delphes, ils sont rentrés dans les temples et ont bien rit devant les représentations anthropomorphiques des dieux grecs. Chez les celtes, il n'y a pas de hiérarchie fixe comme dans la mythologie romaine. D'ailleurs un dieu peut être plus agé que son grand-père et même peut naitre avant sa mère. Ensuite, il n'y a pas de tâches spécifiques attribuées à chaque divinité celte. Toutes sont hors catégories, hors normes même s'il y a des affinités (il n'y a pas de fonction précise comme chez les gréco-romain). Donc pas de dieu des marchands... Toutefois, lors de la conquête des Gaules, les romains ont tentés de classer les dieux celtes pour les assimiler et cette assimilation nous est parvenue. C'est pour cette raison malgré ce qui a été dit ci-dessus qu'on trouve dans les livres des désignations du genre dieu du tonnerre... Mais cette assimilation n'a pas de sens réel, c'est juste les romains qui ont tenté de placer les dieux celtes dans le carcan de leur dieux selon quelques point communs. L'Origine de la mythologie Celte Originaires d'une région située aux confins de l'Allemagne du Sud et de la Bohême, les Celtes entreprirent des migrations qui les conduisirent en Espagne, dans le nord de l'Italie, en Angleterre, en Gaule et en Irlande, du Ve au IIIe siècle av. J.-C. Chez les Celtes, la Règle druidique qui interdisait de mettre par écrit leurs enseignements a eu pour conséquence de nous priver de la théologie et de la doctrine métaphysique des druides qui furent à l'origine des récits qui sont parvenus jusqu'à nous. Aussi incroyable que cela paraisse c'est grâce au Christianisme que nous pouvons aujourd'hui connaître la mythologie Celte. En effet ce que l'empire Romain ne sut ou ne voulut pas faire, l'église Chrétienne l'a fait ; conserver les documents relatant les récits de la mythologie Celte. Les mythes sont les seuls traces de ce peuple Celte. Cependant le mythe ne reflète pas toute la doctrine. Le récit mythique faisait partie de la formation et éducation de l'aristocratie celtique dans son ensemble, mais plus particulièrement son analyse herméneutique devait être réservée à ceux qui étudiaient afin de devenir druides. La civilisation Celte s'étendait de la mer du Nord jusqu'à la mer Caspienne. Et pourtant ses mythes ne nous ont été transmis que par un seul peuple, Celui d'Irlande. La mythologie celtique, célébrée et transmise par la classe sacerdotale des conteurs-prophètes, bardes et filid, conseillers et panégéristes des aristocraties locales, a nourri la littérature gaélique, les débuts de la littérature bretonne, la renaissance irlandaise. Transmission des mythes En Irlande et au Pays de Galles, les récits ont été couchés sur papier par de moines chrétiens. Pour la gaule, il convient de se contenter de témoignages souvent douteux, d'auteurs grecs ou romains. Malgré les difficultés de transmission, nous pouvons affirmer aujourd'hui que la mythologie celtique, en matière de symbolisme, de signification et de hauteur de vue, n'a rien a envier aux mythologies Grèques et romaines. Il en ressort une certitude concernant les vastes connaissances et la sagesse primordiale des druides, qui ne trouvent de comparaison à leur hauteur que chez les brahmanes de l'Inde. Les seuls textes que l'on dispose pour l'étude de la mythologie Celtique sont l'oeuvre de quelques rares écrivains tel que Pline l'ancien ou Strabon. L'Irlande quant à elle, nous a transmis un certain nombre de textes de grands intérêt permettant l'analyse et la compréhension des conceptions mythologiques des Celtes Le Pays de Galles, nous a transmis lui, 4 contes qui cependant pour apporter le lumière sur la mythologie celte doivent être étudiés à la lumière des textes irlandais plus anciens. Le problème majeur , comme nous l'avons dit plus haut, est la transmission. En effet, les textes irlandais ainsi que les textes gallois furent transcrits à une époque tardive par des moines ou chrétiens lettrés. Le druides refusaient de consigner leur connaissances par écrit et les mythes ne faisaient pas exception à cette règle. Ceux-ci étaient transmis uniquement de façon orale. Il convient en conséquence, même s'il est possible d'en tirer quelques informations , de ne pas oublier que ces textes ne sont pas arrivés jusqu'à nous par le biais de ceux qui en étaient les dépositaires initiaux. Textes mythologiques Irlandais Un des cycles les plus connus de cette mythologie évoque l'histoire des ancêtres des Irlandais. Parmi les premiers arrivants se trouvaient surtout des femmes, menées par Cessair. Ces conquérants accostèrent avant le grand Déluge, au cours duquel ils périrent tous, à l'exception de Fintan, qui, incarné en saumon, aigle ou faucon, vécut toutes les époques suivantes. Un deuxième groupe, conduit par Partholon, mourut de la peste. Nemed se trouvait à la tête d'un troisième groupe d'envahisseurs, qui se divisa en trois tribus. Deux d'entre elles, les Fir Bolg (“Hommes Foudre”) et les Tuatha Dê Danann (“tribu de la déesse Danann”), entrèrent en lutte pour la possession du territoire: après une bataille, à Mag Tured, ces tribus firent la paix et convinrent de vivre en harmonie. L'Irlande est la région celtique qui aura laissé un grand nombre de textes mythologiques. Ils sont regroupés dans divers manuscrits dont les principaux sont : - le Lebor na hUidre, ou livre de la vache brune du XIIe siècle, - le Lebar ne Nuachongbla, livre de la nouvelle fondation, plus connu sous le nom de livre du Leinster du XIIe siècle - Le Livre jaune de Lecan datant du XIVe siècle, qui regroupe plusieurs manuscrits. Ces différents manuscrits peuvent être scindés en plusieurs groupes : - Le cycle mythologique - Le cycle historique - Le cycle d'Ulster : il retrace les exploits de Cúchulain, un homme brun, de petite taille, débordant de gaieté. Quand il est sur le champ de bataille, un changement spectaculaire s'opère en lui: il grandit et fait disparaître l'un de ses yeux de son visage, tandis que ses cheveux, à l'extrémité desquels perle une goutte de sang, se dressent sur sa tête. L'épopée montre Cúchulain aux prises avec ses geasa, sortes d'obligations personnelles qu'un individu ne saurait transgresser sans avoir à en assumer les conséquences désastreuses. Mortellement blessé au cours d'une bataille, Cúchulain, incarnation de l'orgueil et de l'indépendance de l'Irlande, est adossé et ligoté à un menhir, afin qu'il meure debout. - Le cycle Ossianique. Le cycle mythologique comprend le récit des origines mythiques de l'Irlande ainsi que les différentes aventures survenues aux dieux. Les autres cycles appartiennent à l'épopée, même si les dieux et déesses interviennent souvent dans ces récits. - Le Lebor Gabala Erenn ou livre des conquêtes d'Irlande est un ensemble de récits qui relatent l'histoire légendaire de l'Irlande en s'appuyant sur les 5 peuplements mythiques de l'Ile, qui eux renvoient à la théorie d'Hésiode concernant les quatre âges de l'humanité. Les conquérants successifs sont : Partholon - Nemed - Fir Bolg - Tuatha Dé Danann - Goidels, fils de Mil. - La première bataille de Mag Tured (Cath Muige Tuired cunga). Cette bataille oppose les Fir Bolg aux Tuatha Dé Danann, dont les origines nous sont contées au début du récit. Leur arrivée sur l'Ile se fait dans des conditions emplies de magie. - La mort tragique des enfants de Tuireann (Oidhe chloinne Tuireann). Ce récit se situe entre la première et la seconde bataille de Mag Tured, il nous plonge en pleine période de troubles, où le Fomoire qui règne sur l'Irlande y prélèvent de lourds impôts, où le Mannois défie les percepteurs, et Lug, son père et ses frères s'apprêtent à lutter. - La seconde bataille de Mag Tured (Cath Maige Turedh). Ce récit explique comment Lug vaincra le Fomoire, grâce à une incantation magique prononcée avec un oeil, un bras et une jambe. - L'histoire de Tuan fils de Cairell raconée à Finnén de Mag Bile (scél tuain Maic cairill do Fhinnén Maige Bile inso sis) Tuan Mac Cairill raconte son arrivée dans l'Ile et comment se sont déroulées les différentes invasions. Il decrit également ses diverses métamorphoses animales, cerf, sanglier, faucon, saumon. - La fondation du Domaine de Tara ( Suidigud tellaig Temra). Ce récit montre Trefuilgid, enseigner les raisons de la division de l'Irlande, et donc, par là même, du bien - fondé de la royauté de Tara. - La veillée de Fingen (Airne Fingen). Rencontre de Fingen avec une fée un soir de Samain. Cette fée lui prédit beaucoup de choses, et notamment la naissance de Conn aux Cent Batailles, dont le destin est d'être un des meilleurs rois suprêmes d'Irlande. - Le rêve d'Oengus (Aislinge Oengusso). Récit qui conte les amours quelques peu magiques de Oengus et de la belle Caer Ibormaeth, femme superbe pendant une année, puis cygne resplendissant l'année suivante. - La courtise d'Etain (Tochmarc Etain) Ce récit nous conte les amours adultères du roi Eochaid Ollathair et celles de sa famille. <strong>...</strong></p>