Histoire Ebook - Mot-clé - Nouvel Ordre EuropéenRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearAmaudruz Gaston-Armand - Nous autres racistesurn:md5:d5f40ad53ea99e5b00ab0a260a57ad682013-01-04T12:40:00+00:002021-12-16T00:37:00+00:00balderAmaudruz Gaston-ArmandEugénismeEuropeEx-LibrisEx-Libris LenculusNouvel Ordre EuropéenRacialisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Amaudruz_Gaston-Armand_-_Nous_autres_racistes.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Amaudruz Gaston-Armand</strong><br />
Ouvrage : <strong>Nous autres racistes Le manifeste social-raciste</strong><br />
Année : 1988<br />
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DÉFENSE DE LA RACE - Dans l’histoire contemporaine, il n’y a guère de vocable qui soulève autant d’émotion et de peur que celui de racisme. Aucun n’engendre plus d’infantilismes et de lâchetés. Aucun problème n’est plus fatal ou plus provocant que le problème racial. Et pourtant, le destin de l’humanité ne dépend que d’un examen approfondi de ce problème et de sa seule, unique et indispensable solution. Il est vrai que le mot racisme a été galvaudé, détourné de sa conception véritable par des dilettantes ou des maniaques, et l’on se croirait bien inspiré de l’abandonner. Ainsi, nous pourrions remplacer le mot « racisme » par celui de « racialisme » afin d’échapper peut-être à la mauvaise presse. Mais cela ne nous mettrait pas à l’abri d’une nouvelle déformation et ajouterait au mal de notre temps (où la valeur et le sens des mots sont tombés dans une confusion pénible), tout en donnant raison à nos ennemis. De plus, cette adaptation au milieu démocratique serait suspecte à plus d’un point de vue. Or, l’honnêteté la plus élémentaire exige plutôt que nous rétablissions la signification du mot racisme dans sa pureté. Tout d’abord, nous condamnons la discrimination. Le fait de maltraiter un individu à cause de sa race, de sa couleur, de son parler ou de sa religion est très injuste. Tout le monde peut être d’accord sur ce point. Par contre, peu de personnes se rendent compte de l’effroyable danger engendré par l’antiracisme systématique. La maladresse et la déloyauté qui caractérisent les politiciens ont obscurci et déformé cette situation. Ceux qui refusent d’affronter ce sujet capital combattent en réalité contre ceux qu’ils croient défendre. Nous constatons qu'il existe, à l’échelle mondiale, un complot lucide qui tente de faire un seul monde en recourant à l’intégration raciale. Or, dans tous les pays où l’on a imposé cette intégration, il en est résulté une plus grande discrimination que jamais. Les individus sont ainsi poussés à la révolte extrême avec tout ce que cela comporte de ressentiments, d’amertumes, de haines et de tueries. Nous constatons aussi que le fait racial est à ce point puissant que le mal subsiste même là où le mélange est admis, car chaque degré de métissage fait naître souvent une nouvelle classe sociale. Dans le domaine social, les esprits superficiels et les bien-pensants infantiles sont devenus des jouets entre les mains de dirigeants qui incitent à la violence raciale ... au nom de l’amour universel ! Il est grand temps que les populations prennent conscience de l’insondable imbécillité de ces tentatives faites sous le couvert de l’ « amour universel ». En effet, le sort de l’Homme est en jeu ! Le respect de l’héritage biologique est un principe qu'il est impossible de ne pas prendre en considération lorsqu’il s’agit de l’évolution de l’homme. Ceux qui, au nom de la « fraternité humaine », effacent le patrimoine héréditaire d’un trait de plume, ne l’empêchent pas d’agir. En effet, la Nature punit les violations des lois de la vie, et les antiracistes travaillent à leur disparition même en nous combattant. Que cette réflexion, au moins, les pousse à tolérer nos idées et à respecter la liberté d’opinion dont ils se réclament. Le bien-être de l’humanité dépend du bien-être de chaque race et réciproquement, car l’un ne peut vraiment pas s’épanouir sans l’autre. Le raciste chasse le mot égalité de son vocabulaire. L’idée même d’égalité est une absurdité. Les hommes sont par essence inégaux tant au physique qu'au moral. Il en est de même pour les races. Le raciste sait fort bien que ce que les démocrates appellent préjugé est un réflexe défensif normal, communautaire, et qu'il appartient à chaque race. On ne peut résoudre dans l’harmonie géographique et la paix les problèmes qui s’attachent à l’idée du Sang qu'en travaillant dans le sens d’une conscience raciale éclairée. Dr Jacques Baugé-Prévost, Psy. M.D., N.M.D. Directeur. Institut Supérieur Des Sciences Psychosomatiques, Biologiques et Raciales. AVERTISSEMENT. Par cette présentation et ce commentaire, l’auteur n’engage que lui-même. Alors que le Manifeste social-raciste est une oeuvre collective, élaborée dans le cadre du Nouvel Ordre Européen, le présent ouvrage, par ses dimensions, ne peut pratiquement pas l’être. Néanmoins, de nombreux amis ont apporté de la documentation, des conseils, des idées. Nous devons beaucoup, par exemple, à notre camarade Aryas, collaborateur dès le début à l’ « Europe réelle », périodique de combat pour un nouvel ordre européen. Mais si l’auteur n’engage que lui-même, il s’est efforcé de rester dans la ligne des Déclarations du Nouvel Ordre Européen , lesquelles, depuis 1951, expriment les idées communes d’une équipe sociale-raciste d’Europe et d’outre-mer. En 1969 à Barcelone, à sa Xe assemblée, le Nouvel Ordre Européen, faisant suite à une proposition du Mouvement celtique, a chargé les camarades du Québec d’établir l’ « Institut Supérieur des Sciences psychosomatiques, biologiques et raciales » , afin de promouvoir le social-racisme à l’échelle mondiale. La même année, cet Institut publiait son premier livre : « Précis de Biopolitique », par Jacques de Mahieu , directeur de l’Institut de Science de l’Homme, de Buenos Aires, ancien recteur de l’Université argentine des Sciences sociales. Il s’agit là d’un ouvrage d’extrême avant-garde, résumant quelque vingt années de recherches scientifiques et philosophiques et ouvrant à la biopolitique une foule de perspectives capitales nouvelles. Notre travail, lui, se propose un objectif plus modeste : fournir aux racistes des répliques aux objections des antiracistes. Aussi avons-nous évité parfois des thèses encore controversées, pour nous en tenir aux résultats les plus solidement acquis. Cependant, nous avons cherché à dépasser l’actualité en pensant rendre service aux racistes de la prochaine génération. Lausanne, 1970. AVANT-PROPOS Depuis quelques années, un drapeau a été déployé sur le monde. Ce n’est pas celui d’une nation, ce n’est pas celui d’un parti mais celui d’une nouvelle sorte d’hommes, armés d’une connaissance nouvelle et qui appartiennent à toutes les nations blanches : ces hommes sont les racistes. René Binet. L’ONU, L’UNESCO, les grands partis « démocratiques », diverses institutions protestantes, jusqu’à la Fédération luthérienne, réunie à Evian (et trahissant Luther), une foule d’associations culturelles, de municipalités, d’assemblées législatives, jusqu’au Grand Conseil du canton de Vaud en 1962, une nuée de « personnalités » de tout poil, professeurs, scientifiques, écrivains, artistes, pitres, sportifs, prédicateurs, du haut de leur imbécillité individuelle ou collective, ont solennellement condamné le racisme. Au nom de la démocratie, de l’humanité, de la liberté d’opinion, ces millions de bouches déversent et la haine et la bave, réclament — et obtiennent parfois — la mise hors la loi des « criminels » racistes, l’interdiction de leurs écrits et de leurs paroles, faute de pouvoir les traduire devant un tribunal de Nuremberg et les envoyer au gibet. Autour du nouveau drapeau qui flotte parmi cette haine, quelques hommes : nous autres racistes ... Au dehors, les hurlements du désordre et de la décadence ; en nous-mêmes, le calme. Car nous savons. Nous savons la modernité malade. Sa maladie, elle l’appelle civilisation, progrès, démocratie — sans s’apercevoir que ses seuls progrès se font en direction du tombeau. Elle aspire au bien-être, au « bonheur » ; elle voudrait supprimer la souffrance et, si possible, la mort. Idéaux typiques d’un taré mal à l’aise dans sa peau, profondément malheureux de ce qu’il est, souffrant de ses propres contradictions et terrorisé par la mort qu’il sent déjà rôder autour de lui. L’homme moderne parle d’humanité, de fraternité, d’amour du prochain, de paix, de non-violence, alors qu’il crève de haine. Haine de tout ce qui est sain, noble, fort, généreux, créateur, beau, pur. Haine de la volonté, haine de l’honneur. Nous savons d’où vient le mal et, seuls, nous en connaissons le remède. Mais nous, minorité raciste, dispersés de par le monde, nous ignorons encore si notre génération sera en mesure d’administrer ce remède. Car notre savoir est peu répandu et nous avons à surmonter le barrage de l’erreur et de la calomnie. Aussi, notre petit livre ne s’adresse pas seulement aux générations actuelles, mais à celles qui suivront. Nous savons que l’antiracisme, cette forme militante de la décadence, conduit aux grandes catastrophes. La Chine, en un effort exemplaire, s’est dotée de toutes les armes modernes qui, sitôt produites en quantités suffisantes, permettront aux Jaunes de se répandre sur toute la Terre. Et si quelque miracle, in extremis, écartait ce péril, les contradictions internes des démocraties ploutocratiques ou communistes auraient tôt fait d’amener d’autres désastres, pensons par exemple aux grandes famines sur une planète surpeuplée, à la pollution de l’air, de l’eau et du sol qui, certaines limites franchies, pourrait supprimer d’un coup des populations entières ; pensons aussi à l’inexorable dégénérescence des nations « civilisées », qui pourrissent littéralement sur place jusqu’au jour où un simple souffle les balaiera. Lecteur, garde ce petit livre dans ta bibliothèque ... il s’adresse peut-être aux survivants du XXIe siècle ! INTRODUCTION. Le racisme est vieux comme la vie. En tant que comportement visant à éliminer les porteurs de tares (exemple-type : les guerres entre rats), un racisme instinctif se retrouve à tous les échelons du monde animal. Devenu conscient chez l’homme, on le rencontre déjà dans la préhistoire, puisque l’agriculture et l’élevage n’ont pu progresser que par des mesures délibérées de sélection fondées sur une longue observation de la nature. On ignorait évidemment les finesses de l’hérédité, mais on en devinait les lois principales et, surtout, on les appliquait avec succès. Pour l’Antiquité, rappelons simplement l’exposition des enfants chez les Grecs qui, par là, transposaient à l’homme des méthodes éprouvées en élevage. Fondée sur l’hérédité, la noblesse médiévale s’est montrée raciste à sa manière. Entre temps, la pensée philosophique avait découvert quelques bribes théoriques de racisme. Ces éléments s’additionnent : on en trouve déjà d’appréciables ensembles chez Kant, Goethe ou Schopenhauer. Le temps des précurseurs commence. Fabre d’Olivet, dans son Histoire philosophique de l’Humanité, constate, à l’étude des plus anciens textes religieux et légendaires, que tous relatent le choc d’une race venue du nord (appelée boréenne) avec une autre venue du sud (dite sudéenne), et il en tire des conclusions dont certaines nous surprennent par leur clairvoyance. En 1824, il est assassiné par une secte opposée à ses vues. Entre temps naît la biologie de l’hérédité : Mendel en est le père. Darwin tire les premières conclusions théoriques des vieilles méthodes pratiquées par les éleveurs. L’anthropologie prend son essor avec Virschow et Quatrefages. Parallèlement aux scientifiques (dont on retrouvera facilement les oeuvres dans la littérature spécialisée), les précurseurs, utilisant aussitôt les apports de ceux-ci, ouvrent la voie au racisme moderne. Nietzsche démonte les mécanismes de l’antisélection dans la décadence moderne. Gobineau fait époque en analysant l’histoire sous l’angle racial, mais sa conception des « races pures », aujourd’hui insoutenable, l’a conduit à un pessimisme désespéré. Vacher de Lapouge, indépendamment de Nietzsche mais avec plus de précision, a montré le rôle sélectif des structures sociales. Après les précurseurs, les continuateurs : Houston Stuart Chamberlain corrige Gobineau : il insiste sur les facteurs contribuant à la formation de races nouvelles : isolement d’une communauté, sélection, mélange racial avant l’isolement (étant donné que tout mélange ne « réussit » pas). Au XXe siècle, la génétique ouvre de vastes horizons. L’étude des jumeaux établit l’énorme importance de l’hérédité psychique. La France continue de produire des auteurs de premier ordre, comme G. Montandon, A. Carrel et A. de Chateaubriant. Mais le racisme trouve des moyens de diffusion supérieurs en Allemagne et en Italie avec le national-socialisme et la fascisme. Günther et von Eickstedt assurent avant tout le fondement anthropologique du racisme et Rosenberg jette les bases critiques de la connaissance et de la culture (il fut pendu en 1946 par les vainqueurs de la deuxième guerre mondiale). L’apport italien est beaucoup moins connu, mais cela vaut la peine de lire à ce sujet « Saggi sulle teorie etiche e sociali dell’Italia fascista » par A. James Gregor qui rend justice à Giovanni Gentile et souligne l’originalité du racisme italien. En 1945, la victoire des « démocraties » fut aussi celle de l’antiracisme et de sanglantes épurations se prolongèrent sur le plan des propagandes par un tir de barrage. Néanmoins, en France, René Binet publiait en 1950 Théorie du Racisme ; il fut l’un des cinq membres fondateurs du Nouvel Ordre Européen en 1951 et écrivit encore Socialisme National contre Marxisme. En Allemagne, Friedrich Ritter éditait lui-même les trois volumes de Das offenbarte Leben dont nous parlons plus loin. De même, en 1969, Jürgen Rieger éditait un opuscule Rasse, ein Problem auch für uns. En Italie, Julius Evola, par de nombreuses oeuvres, a maintenu le flambeau après guerre ; mentionnons encore les articles de Gamma dans la « Legione » et ceux de Pino Rauti dans « Ordine Nuovo ». En Amérique, biologistes et anthropologistes repoussaient victorieusement l’offensive de l’UNESCO. À côté de Grégor, déjà cité, des noms comme Garrett, Gates et Swan ont franchi l’Atlantique, et nous demanderons à nos amis du Nouveau-Monde, mieux placés, de compléter notre bref aperçu. Aujourd’hui, passant outre aux tabous du jour, les scientifiques se sont tranquillement remis au travail, et une équipe encore restreinte de racistes a repris le sien. Mais les « démocraties », après l’échec des épurations et de la terreur d’après guerre, chercheront d’autres armes contre des idées d’autant plus dangereuses pour elles qu’elles n’en ont aucune à opposer. Nous sommes curieux de voir ce qu’elles trouveront. <strong>...</strong></p>Amaudruz Gaston-Armand - Les peuples Blancs survivront-ils ?urn:md5:56ff7e53ecd571cae8f5c1b01bfe463d2012-04-13T12:29:00+01:002023-09-26T01:26:35+01:00balderAmaudruz Gaston-ArmandEuropeEx-Libris LenculusNouvel Ordre EuropéenRacialisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Amaudruz_Gaston-Armand_-_Les_peuples_Blancs_survivront-ils.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Amaudruz Gaston-Armand</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les peuples Blancs survivront-ils ? Les travaux du Nouvel Ordre Européen de 1967 à 1985</strong><br />
Année : 1987<br />
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Préface. Ecologie raciale. La Race, c’est-à-dire ces racines conscientes, inconscientes, individuelles et collectives qui font essentiellement ce que nous sommes et qui tracent potentiellement notre route, constitue la réalité centrale de l’adaptation écologique. Croître au milieu des dangers (de l’intérieur comme de l’extérieur), telle est la loi de toute évolution passée et présente, tel sera aussi notre destin futur. On conçoit qu’en des involutions mortelles, la question de la Race (patrimoine génétique, commun et diversifié) qui engendre sa Culture (nature + culture + interaction) doit être la première à s’imposer à l’attention puisqu’elle est la question vitale et décisive. Nous le proclamons clairement depuis près de quarante ans et nos travaux ont depuis essaimé. Incidemment, dans cette lutte pour les plus hautes formes de vie, chacun utilise la stratégie qui lui convient, car les conditions d’environnement sont plus sévères et nombreuses. Ce pourquoi nous combattons, la fidélité à soi-même, la foi ancestrale, la plus longue mémoire, l’inconscient collectif, l’âme des peuples et l’enracinement culturel sont dénaturés, tandis que le reniement, la traîtrise, l’insignifiance et la béatitude servent de modèles. La conscience infantilisée, la faiblesse vieillarde, la respectabilité bourgeoise et l’amour mondial cumulent leurs crimes innocents contre la qualité de la vie fécondante, différente, inégale, sélective, responsable, non homogénéisante, non incapacitante et non culpabilisante. La société marchande de tout, réclame un nouveau Veau d’or et une nouvelle Terre promise, telle la pile ou face d’une même pièce de consommation qui ne trompe aucun esprit libre. Les législations antiracistes (antiraciales, somme toute, d’un chantage omniprésent) ne changent rien quant au fonds des difficultés qui s’y rencontrent. Elles ne font que créer d’autres problèmes, plus complexes. Car elles sont fondées sur la rêverie bien-pensante (« la poursuite de l’égalité » ), le refus catégorique du réel (« la race n’existe pas »), l’illusion schizoïde (le meilleur ou le pire n’est qu’affaire d’opinion) et systématiquement, comme tout ce qui précède, sur la peur et l’hypocrisie. « Soyez sourd, muet et aveugle pour tout ce qui est manifestement racial », traduit de nos jours l’interdit consommé. L’antiégalitarisme, la fierté d’appartenance à un peuple, la méfiance normale à l’égard de l’étranger, etc., peuvent, selon les contingences du moment, prendre des formes plus radicales. Qui dit racisme dit alors effectivement crise raciale provoquée par une situation critique et la réaction ardente d’un instinct auto-protecteur qui refuse la compromission. Il s’agit d’un choix éclatant, la décision fondamentale d’être loyal à sa mouvance héréditaire et culturelle, puis d’en exprimer le courage. On peut rapprocher ici une condition analogue : La fièvre, génératrice d’inflammations provoquées par une agression ou un stress de toute nature. Cette manifesta tion fait partie des mécanismes par lesquels le Moi — noyau spirituel de la personnalité — se défend contre des substances incompatibles avec le sang, organe mouvant fortement caractérisé. L’organisme se règle à une température élevé afin de les mettre hors d’état de nuire, favorisant ainsi la guérison. L’art médical consiste justement à moduler les énergies fiévreuses et non à les éteindre, car on ne peut le faire qu’au détriment du cours vital. On le sait de façon précise, depuis Hippocrate, fondateur d’une médecine humaine, qui voyait dans les énergies mobilisées par la maladie un processus conforme à la loi du rétablissement naturel. Il est beaucoup plus important alors de connaître la nature réelle de la maladie, ses causes, excès et insuffisances qui suggéreront les remèdes appropriés, que de la refouler (elle reviendra de toute façon) au moyen, par exemple, de paradis artificiels, vecteurs de séquelles possibles. Il y a dans la maladie une réserve qui déclenche aussi bien la souffrance (pathos) que l’action (ponos). Cette action remédiante est l’effort accompli par la nature humaine dans le but d’atteindre un équilibre intérieur, condition essentielle de la vie consciente (homéostasie dynamique), et de maintenir librement son individualité dans un monde en continuel changement (sélection et adaptation). Certes, l’aboutissement des réactions n’est pas toujours heureux. Il n’en demeure pas moins que l’écologie de la santé comporte aussi la sympathie (sun-pathein : Souffrir avec). Toutefois, « Mieux vaut prévenir que guérir » rappelle l’adage naturo-hygiéniste. Il renferme la majeure partie du programme racial et l’eugénisme est son orientation philosophique principale. L’eugénique, art-science-carrefour par excellence, fait appel à une multitude de disciplines : Biologie, génétique, psychologie, anthropologie, pédagogie, démographie, thanatologie, écologie, sociologie, nutrition, etc. On comprend facilement que seule une biopolitique peut la mener à bien pour l’ensemble des populations. C’est la voie royale tracée par Gallon, Mjôen, Carel, Delore et Verschuer. Sauf exception envisagée sur le plan de la morale biologique, l’eugénique ne vise pas tant à éliminer (avortement, stérilisation, euthanasie, etc.) qu’à promouvoir (éthologie, naturothérapie, hygiène naturelle, etc.). Le but n’est pas de surmédicaliser les populations mais de préciser, en vue de la propagation de races saines, la place essentielle que l’on doit accorder à la santé naturelle, ne demandant à la médecine pharmaceutique et chirurgicale que des services de pointe. L’inverse mis de l’avant par les dénigreurs professionnels n’est plus de l’eugénique. Faut-il redire qu’il ne saurait exister de races pures mais des races différenciées, possédant une certaine constance de leur milieu intérieur. Même dans les meilleures conditions, un minimum de facteurs araciaux adviennent. Les périls (dénatalité, surpeuplement, population vieillissante, parasitisme social, etc.) que chaque rameau génétique recèle de lui-même sont parmi les plus inquiétants. Et du fait que la Race soit un organisme vivant aux innombrables cellules, variées et spécialisées, elle va donc se transformant et s’ennoblissant sans cesse, ou bien elle déchoit ou disparaît. C’est le moment de souligner qu’il n’y a pas de supériorité absolue, mais de multiples supériorités (des élites à part, si l’on préfère) où interviennent simultanément les potentiels génétiques, les événements de l’histoire et les éco-systèmes naturels et culturels. Par exemple, les individus et les populations capables de détecter un virus nuisible pour eux sont dotés d’une aptitude génétique supérieure. Leur système immunitaire spécifique agit effectivement pour défendre l’organisme d’un envahissement allogène. Nous pouvons aussi citer le fait que la mobilisation consciente, simple et naturelle, de leur biodynamique propre (corps-âme-esprit), a permis à certains cancéreux de se rétablir. Par rapport à d’autres, c’est donc un avantage pour ces immunités préférentielles qui ont pu être mises en forme par une psychosomatique spontanée. C’est en pionnier que nous nous sommes appliqués à démontrer que dans l’ouverture pour une plus grande conscience et la grande santé, il importe absolument de connaître les nombreuses similitudes entre l’être humain, la nature végétale, le psychisme animal et tous les organismes vivants. L’humain hiérarchisé forme simultanément une plante transcendante, un animal évolué, mais aussi un être lumineux, fragile et inachevé entre un passé et un devenir cosmiques. Héritier de milliards de générations, il a toutes les races et toutes les audaces. Aussi, est-il à peine besoin d’ajouter que la Race est naturellement agressive, territoriale et altruiste. Le naturalisme moderne ou biologie du comportement animal et humain a précisé et développé ce que tout Terrien bien né savait déjà. Il y a nettement moins de conflits délétères entre les groupes dont la conscience raciale est définie. Le non respect des variétés intimes, tant personnelles que communautaires, engendre des problèmes humains endémiques. Plus la reconnaissance de l’autre s’affine, plus elle est la source de comportements amicaux durables. Tout ce que nous révèle le monde ascendant depuis ses origines jusqu’à nos jours n’est jamais que la suite de cette maîtrise de soi, marquée du double sceau de l’adaptation terrestre et de l’interrogation solaire. Ainsi mieux éclairé, à chaque exploitation énergétique, à chaque exploration spatiale, doit correspondre plusieurs pas en direction de l’Humain (un et pluriel), signifiant par là le génie respectueux des univers (macrocosmes et microcosmes). Les pires invasions, les pires pollutions, ne se font pas par des agressions violentes, mais par des commercialisations charitables, des escroqueries légalisées, des installations progressives, des chants de sirènes, des clameurs d’Eden... Or, le combat pour la re-naissance des patrimoines raciaux est continuel. Et comme facteur de régénération, nous préconisons sans relâche l’étude de l’écologie raciale, à l’instar de ce que Goethe disait de la vie naturelle : « La plus importante des conditions qu’on doit exiger. » Dr. Jacques Baugé-Prévost. <strong>...</strong></p>De Mahieu Jacques - Précis de biopolitiqueurn:md5:2d25567d2d4f8e8938490a38bc344bbf2012-04-13T12:05:00+01:002023-09-26T01:26:39+01:00balderDe Mahieu JacquesEx-Libris LenculusNouvel Ordre EuropéenQuébecRacialismeTaxinomie raciale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/De_Mahieu_Jacques_-_Precis_de_biopolitique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>De Mahieu Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>Précis de biopolitique</strong><br />
Année : 1969<br />
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Présentation. LA POLITIQUE DE DEMAIN. A l’heure actuelle, le monde considère plus que jamais, avec une crainte respectueuse, la Démocratie moderne comme le Messie auquel il fait confiance qu’il le délivrera du chaos universel. L’École libérale promet toujours un monde magique de bien-être. Cependant, la Démocratie a complètement échoué dans sa lutte pour l’Homme. Elle demeure ignorante des vraies valeurs. Elle ne connaît pas la Paix. Elle a lamentablement fait faillite dans sa tentative de justifier sa profession, que ne peut cacher aucune de ses déclarations faussement optimistes. La Démocratie n’a pas débarrassé le monde des fléaux que sont la folie, les troubles raciaux et les crimes. Au contraire, tous ces maux ne cessent de s’accroître. Ajoutons à cela la pollution de l’air, de l’eau, du sol et, partant, de la nourriture. Il ne faut pas s’en étonner. Car l’adultération des peuples occidentaux par l’idée du profit, le notion d’égalité, le mensonge par omission, la médication, le confort moderne et le pacifisme-à-tout-prix a produit un double résultat : Nos nations, en tant que telles, sont atteintes d’immobilisme et d’inconscience ; Mais aussi individuellement, chacun de nous est soumis à un déracinement et à un métissage moral qui a pour objet de faire de nous un cobaye ‘‘docile et bon marché’’, prisonnier de ses vices, ses habitudes de robot, son imagination délirante. Cette adultération est en train de faire de nous, en tant qu’individus et en tant que nations, de minables scélérats, des hommes bruns, des peuples sans nom, matière première idéale pour un mondialisme de type termite. Toutefois, la preuve en est faite, il pourrait en être autrement. Dès que l’Hygiène (naturelle) trouve sa place dans l’évolution des groupes sociaux et la Race son rôle, la santé et l’ordre s’installent. Or il faut pour cela que la politique tienne compte des lois de la vie et des impératifs de la morale biologique. Il est aisé alors de comprendre que la question de la Conscience raciale n’est pas seulement la clef de l’Histoire, c’est aussi celle de la Culture humaine. Mais qui peut encore aujourd’hui saisir sans déraillement un tel énoncé ? Nous aurons fort à faire pour dissiper les ténèbres dont les savantasses et les imbéciles de la littérature ont entouré une question qui, au fond, présente peu de difficultés à résoudre. La Biopolitique nous oblige à une prise de conscience globale. Ainsi, chaque branche particulière de la connaissance nous est par elle-même absolument indifférente. Par exemple, la biologie ne se révèle d’une haute portée pour notre esprit, pour notre mode de vie, que quand elle contribue à résoudre des problèmes sociaux et économiques. De quel prix seraient pour nous les mille faits acquis de l’eugénisme, s’ils ne conduisaient à une intuition plus profonde de la religion et de l’avenir de l’humanité ? Jamais une science spéciale n’intervient dans la vie des sociétés comme un facteur d’organisation, à moins qu’elle ne s’élève à la dignité d’une politique de l’Homme total. Le présent volume est le deuxième d’une longue série à venir. Il fait suite à notre Cours de Biopolitique, publié en 1965. Il forme cependant un tout, complet en soi. Mais cet enseignement précieux ne serait pas ce qu’il est, si l’auteur n’en avait pas vécu les écrits. Dût-on y relever certaines allégations erronées, l’essentiel sur le plan racial de la Biopolitique exposée dans ces pages ne contient rien qui soit étranger à la vérité. Et comme l’a si bien exprimé Goethe : ‘‘La nature, la valeur, la solidité du principe posé au début, et puis la pureté du dessein : C’est de cela que tout dépend.’’ Dr Jacques Baugé-Prévost, Psy. M.D., N.D. Président de la Société d’Hygiène Naturelle du Québec, Directeur de l’Institut Supérieur des Sciences Psychosomatiques, Biologiques et Raciales. <strong>...</strong></p>Binet René - Contribution à une éthique racisteurn:md5:9a7d33927675fd556bf69387d278880b2012-04-13T11:44:00+01:002021-12-14T04:03:12+00:00balderBinet RenéEuropeEx-LibrisEx-Libris LenculusHébraïsmeNouvel Ordre EuropéenRacialismeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Binet_Rene_-_Contribution_a_une_ethique_raciste.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Binet René</strong><br />
Ouvrage : <strong>Contribution à une éthique raciste</strong><br />
Année : 1946<br />
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PRÉFACE. À Barcelone, en 1969, la Xe assemblée du Nouvel Ordre Européen, sur proposition du Mouvement celtique, a décidé la création de l’Institut supérieur des sciences psychosomatiques, biologiques et raciales. Cet institut, qui a déjà publié plusieurs ouvrages pour la défense de la race, se devait d’éditer une oeuvre posthume de René Binet qui fut, en 1951, l’un des cinq membres fondateurs de ce même Nouvel Ordre Européen. Avant de lire ‘‘ Contribution à une éthique raciste ‘’, j’ai éprouvé, je l’avoue, de l’appréhension. Ce texte, qui remonte à près de trente ans, n’allait-il pas se trouver dépassé par la recherche scientifique, par les événements politiques, par d’autres ouvrages de doctrine, ou, du moins, ‘‘ vieilli ’’ par l’inactualité de ses références ? Eh bien ! À part deux ou trois points tout à fait secondaires et à part quelques négligences d’expression que l’auteur eût sans doute éliminées, tout est encore écrit en lettres de feu. Le premier chapitre, par exemple, est non seulement d’absolue avant-garde dans la pensée raciste, mais il ouvre, précisément aujourd’hui, de nouveaux et immenses horizons à quiconque désire arracher nos peuples à la décadence et les ramener sur le chemin de l’ascension biologique. Par un hasard extraordinaire, l’idée maîtresse de l’ouvrage n’a jamais été plus actuelle. René Binet montre, en effet, que le socialisme non marxiste, s’il ne se place pas au service de la race, ne peut que tâtonner et va de scission en scission. Seul le racisme lui apportera l’unité, car le véritable socialisme n’est que la conséquence logique de la défense d’une race . . . Au moment où, sous la menace de la crise économique, se multiplient les groupements socialistes nationaux à la recherche d’une irréalisable unité, le présent ouvrage apporte la solution, la seule solution du problème. Mais Binet n’a pu être si actuel que parce qu’il est inactuel. Il nous parle comme s’il vivait aujourd’hui, parce qu’en réalité il n’est pas encore mort, parce qu’il est en tout cas du XXIe siècle. On ne lira pas cet ouvrage comme un roman. Mais on le relira inlassablement, car la vigueur et la hardiesse de la pensée forcent à la réflexion. Et à l’action. Si Binet s’adresse à toutes les forces saines, capables d’agir, il s’adresse plus qu’à tous aux jeunes. Aux jeunes qui peuvent donner leur vie entière à la cause, tandis que nous autres, les anciens, ne pouvons offrir que ce qu’il en reste. Aux jeunes qui, ayant le plus d’avenir, ont aussi le plus de tâches. Et Binet leur parle. Il leur dit comment construire le Parti, l’arme de la race. Il leur dit la grandeur, la beauté de l’accomplissement du devoir. Mais le lecteur jugera lui-même. Et il fera circuler ce livre. Notre institut espère pouvoir rééditer bientôt les autres oeuvres de René Binet. G.-A. A Amaudruz. <strong>...</strong></p>Binet René - Théorie du racismeurn:md5:d1b4a78c6a79a02b7460c35a813eaeac2012-04-13T11:41:00+01:002017-03-08T16:59:49+00:00balderBinet RenéEx-Libris LenculusFascismeNouvel Ordre EuropéenRacialismeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Binet_Rene_-_Theorie_du_racisme.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Binet René</strong><br />
Ouvrage : <strong>Théorie du racisme</strong><br />
Année : 1950<br />
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AVERTISSEMENT. Les marxistes, ont, de différentes manières, célébré le centenaire du « Manifeste Communiste » de Marx. Bien qu’avec quelque retard, nous le célébrerons à notre manière : En replaçant l’histoire sur ses pieds. La méthode dialectique n’est pas mauvaise en elle-même ; Il suffisait seulement de prendre avec elle un bon départ. A l’origine du monde on trouve l’homme et non la classe ; L’homme inventeur d’outils et non pas « possesseur d’outils ». La notion « d’appropriation » et « d’aliénation » est une notion marxiste. Le fils du rabbin Mardochai connaissait bien les aptitudes des siens. De les avoir vu s’approprier les inventions et le travail des peuples occidentaux lui a donné l’idée de faire une loi historique de ce qui n’était qu’un acte de brigandage sans lendemain. Nous avons volontairement repris son plan et utilisé certaines de ses formulations pour le réfuter. Nous pensons, qu’ainsi, la démonstration sera plus probante : Le manifeste marxiste représente aujourd’hui uni siècle de falsification de l’histoire. Cette escroquerie touche à son terme. Il en sera fait justice. René Binet - Juin 1950. <strong>...</strong></p>Binet René - Socialisme national contre marxismeurn:md5:9a83bb85fd0ab1a35ae87ef36c4a77b42012-04-13T11:34:00+01:002023-09-26T01:26:31+01:00balderBinet RenéEx-Libris LenculusFascismeHébraïsmeMarxNouvel Ordre EuropéenSocialisme <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Binet_Rene_-_Socialisme_national_contre_marxisme.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Binet René</strong><br />
Ouvrage : <strong>Socialisme national contre marxisme</strong><br />
Année : 1950<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Binet_Rene_-_Socialisme_national_contre_marxisme.zip">Binet_Rene_-_Socialisme_national_contre_marxisme.zip</a><br />
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Préface. Au mois d’août 1975, L’Institut supérieur des Sciences psychosomatiques, biologiques et raciales, fondé à Barcelone en 1969 par Le Nouvel Ordre Européen, publiait une oeuvre inédite et posthume de René Binet : ‘‘Contribution à une éthique raciste’’. En éditant aujourd’hui ‘‘Socialisme national contre marxisme’’, presque nouveau puisque multicopié et diffusé modestement en 1950, nous ne nous acquittons pas seulement d’une dette de reconnaissance envers l’un des fondateurs du Nouvel Ordre Européen, mais nous croyons servir la cause de notre race en mettant à la disposition de ses défenseurs d’importantes armes spirituelles. Cet ouvrage diffère des nombreuses critiques du marxisme par le fait capital qu’il juge en fonction de la défense de la communauté raciale. Nous trouvons ici, comme dans ‘‘Contribution’’, le principe qui permet de poser et de résoudre les problèmes. Mais, tandis que ‘‘Contribution’’ s’attache à la partie éternellement valable de notre conception du monde : Le service d’une race qui non seulement ne veut pas mourir, mais poursuivre l’ascension vers la souveraineté, la grandeur, la beauté et parvenir aux plus hauts sommets de la vie sur notre planète, le présent ouvrage combat le principal adversaire idéologique, le marxisme, qui, postulant l’égalité entre les hommes, contredit la réalité biologique en général et ethnique en particulier. Le message de René Binet restera donc actuel, tant que subsistera le marxisme, c’est-à-dire aujourd’hui plus que jamais. Certes, il visait plus précisément la forme stalinienne de l’idéologie adverse. Comme ce monolithisme, aujourd’hui, s’est perdu et qu’on rencontre une multitude de marxismes, ce livre-ci ne sera-t-il pas périmé ? Tout d’abord, la diversité chez les communistes réside davantage dans les buts géopolitiques auxquels les doctrines servent d’alibi. Ainsi, entre Russes et Chinois, le vrai problème s’appelle Sibérie, alors que la curieuse querelle sur le révisionnisme sert de prétexte. Le gros des édifices théoriques rouges subsiste. Par conséquent, la critique générale du communisme dans ‘‘Socialisme national’’ vaudra toujours pour nous. Ensuite, le stalinisme, sous d’autres noms, restera l’un des pôles du marxisme. En effet, la dictature fortuite d’un ‘‘numéro un’’ quelconque peut logiquement succéder aux oligarchies cafouilleuses qui, par exemple, dirigent l’Union soviétique depuis la chute de Khrouchtchev. Aucun régime communiste n’a su, jusqu’ici, résoudre le problème du renouvellement des élites ; L’erreur doctrinale de l’ ‘‘égalité des hommes’’ rend la solution pratiquement impossible. L’aiguille des boussoles rouges oscillera donc sans cesse entre l’incohérence et — le stalinisme. La critique du stalinisme s’appliquera donc, aujourd’hui encore, si la boussole le veut, à d’importants aspects des marxismes. Seulement, son utilisation exigera du jugement. Le militant averti, capable de réflexion et de critique, y trouvera un arsenal extraordinaire, vu l’expérience de René Binet dans ce domaine. S’il parvient à discerner la proportion de stalinisme d’un régime donné, les armes ne lui manqueront pas. Mais l’essentiel de l’oeuvre se situe encore plus loin. Dans l’opposition constante de notre conception du monde à la doctrine critiquée. En démolissant Marx, René Binet construit le social-racisme. Et avec une précision que seule permet une critique acérée. L’âme de la race réagira au contact de la décadence. Mieux qu’un ensemble d’abstractions exsangues, l’expérience de l’abject, du bestial guidera quiconque possède la conscience de son sang. Et René Binet restera un guide sûr pour les générations à venir. Il a toujours marché droit au but. Son indomptable volonté vibre encore dans les textes qu’il nous laisse. À une époque où la décadence ronge la volonté de nos peuples, cet exemple, le contact de cette volonté, l’évocation de ce grand rêve, réalité de demain, mèneront au réveil de la race. Aussi demandons-nous au lecteur de faire circuler ce livre. Et si possible qu’un second exemplaire, relié, dans une bibliothèque choisie, serve de message aux siècles futurs. G. -A. Amaudruz <strong>...</strong></p>