Histoire Ebook - Mot-clé - PerseRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearMenant Joachim - Zoroastreurn:md5:80acb0cdf0226216bfc73d1bde285ecc2018-05-19T13:53:00+01:002018-05-19T13:34:43+01:00balderMenant JoachimPerseReligion <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Menant_Joachim_-_Zoroastre.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Menant Joachim</strong><br />
Ouvrage : <strong>Zoroastre Essai sur la philosophie religieuse de la Perse</strong><br />
Année : 1857<br />
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Introduction. Le document le plus ancien qui nous soit parvenu sur la vie de Zoroastre, c’est le Zerdust-Nameh ; ce document, si précieux qu’il soit, ne nous fait cependant rien connaître de positif sur l’époque à laquelle apparut le prophète de l’Iran et les principaux événements de sa vie, sa naissance et sa fin tragique, ne portent aucune date assignable dans l’histoire. Les anciens Persans veulent tous que Zoroastre soit antérieur à Moïse. Certains auteurs pensent qu’il était du nombre de ceux qui ont bâti la tour de Babel. Quelques-uns croient qu’il n’est autre qu’Abraham lui-même. Il y en a qui le font vivre treize cents ans après le déluge. Le livre du philosophe Giamasb s’exprime ainsi : « Treize cents ans après le déluge, dans la grande conjonction des planètes, au mois Schébat, du temps de Féridoun, roi de Perse de la première dynastie, nommée des Pischdadiens, Dieu envoya notre prophète Zerdascht. » D’après les écrivains mahométans, conformément à l’opinion des livres sacrés de la Perse, Zoroastre est regardé comme un prophète d’Ormusd, venu sous le règne de Gustasp pour réformer le magisme, en apportant au monde un livre dont le nom est Zend, Avesta, ou Zend-Avesta. La plupart des auteurs grecs et latins veulent que Pythagore ait été le disciple de Zoroastre. Ils disent que Pythagore alla en Égypte avec des lettres de Polycrate, tyran de Samos, adressées au roi Amasis, et que, confondu parmi les Égyptiens que l’armée de Cambyse fit prisonniers, il fut envoyé avec eux à Babylone, qu’il trouva dans cette ville un homme célèbre, nommé Zoroastre, auquel il s’attacha. Quelques historiens soutiennent que Zoroastre est originaire de la Chine ; d’autres le disent Mède ; d’autres encore le font juif de naissance et de religion ; dans cette hypothèse, les auteurs juifs en font un de leurs disciples ; seulement, ils varient à l’égard du maître dont il a suivi les leçons : les uns nomment Esdras, d’autres Jérémie, d’autres Élie. Le docteur Prideaux fait remarquer qu’Élie avait vécu trop longtemps avant Zoroastre, Esdras trop longtemps après, et partageant en cela l’opinion de Grégoire de Métilène, il le croit un des esclaves du prophète Daniel. <strong>...</strong></p>Guérin J. M. F. - Astronomie indienneurn:md5:d5a9597c70fbb01062e93b1cf87b46f62014-07-28T12:50:00+01:002014-07-28T12:02:08+01:00balderGuérin J. M. F.AstronomieEgypteIndeOrientPerse <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Guerin_J_M_F_-_Astronomie_indienne.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Guérin J. M. F.</strong><br />
Ouvrage : <strong>Astronomie indienne</strong><br />
Année : 1847<br />
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d'après la doctrine et les livres anciens et modernes des Brammes sur l'astronomie, l'astrologie et la chronologie. Suivie de l'examen de l'astronomie des anciens peuples de l'Orient et de l'explication des principaux monuments astronomico-astrologiques de l'Egypte et de la Perse. <strong>...</strong></p>Duteil Camille - Traité du zodiaque de Dendérahurn:md5:0c0b276ba6d30bf8cd8076ec520675ea2013-11-14T14:43:00+00:002013-11-14T14:48:35+00:00balderDuteil CamilleAstrologieEgypteIndePerse <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Duteil_Camille_-_Traite_du_zodiaque_de_Denderah_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Duteil Camille</strong><br />
Ouvrage : <strong>Traité du zodiaque de Dendérah</strong><br />
Année : 1838<br />
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Et des planisphères horoscopiques de l'Inde, de la Perse, et de l'Egypte Expliqués par l'astrologie et les hiéroglyphes idéographiques sans le secours de la langue sacrée. <strong>...</strong></p>Avestaurn:md5:466a172547c36bce7795f0a96c3546ff2013-11-10T22:45:00+00:002013-11-10T22:45:00+00:00balderAnonymesIranPerseReligion <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Avesta_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Anonymes</strong><br />
Ouvrage : <strong>Avesta Le livre sacré des anciens perses Tome 1</strong><br />
Année : *<br />
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La formation des royaumes de l'Iran. Vers le milieu du IIe millénaire avant J.-C. un large groupe de nomades éleveurs de gros bétail, parlant des dialectes de caractère indo-européen, apparaissent dans le Proche et le Moyen-Orient. Les textes cunéiformes du Proche-Orient (assyro-babyloniens) nous font connaître leur présence vers les monts Zagros, en Iran occidental et au sud du Caucase, dans la région du moyen Euphrate. Deux fractions de ces groupes, qui jusqu'alors devaient nomadiser dans les steppes situées au nord et à l'est de la mer Caspienne, déferlent les uns dans la vallée de l'Indus après avoir franchi les montagnes de l'actuel Afghanistan (l'Hindou Kouch ?), les autres sur le plateau de ce qui va devenir l'Iran. Le premier de ces deux groupes d'envahisseurs va imposer aux régions voisines de l'Indus et ensuite du Gange sa civilisation avec pour langue le sanskrit et pour textes religieux fondamentaux les Védas ; le second, qui se donne le nom d'Aryas 1, mot signifiant "vénérable" ("noble" en sanskrit), éclate en plusieurs groupes qui ne se manifesteront réellement qu'au cours du millénaire suivant. Ce sont les Mèdes, établis sur les marches de l'Iran occidental aux alentour de la cité destinée à devenir leur capitale, Ecbatane (actuelle Hamadan), et les Perses installés dans le sud-ouest de l'Iran, dans la région de l'actuelle Chiraz dans la moderne province du Fars, nom qui conserve celui des Perses, Parsa en ancien perse. Appartenaient aussi à ce groupe les tribus qui occupèrent la partie nord de l'Afghanistan et le nord-est de l'Iran, constituant ce qui va devenir la Bactriane, avec Bactres, l'actuelle Balkh, pour capitale. <strong>...</strong></p>Fabre d'Olivet Antoine - De l'Etat social de l'homme Tome Iurn:md5:5d32834b70b403b42bf444dd6f8e278a2012-09-25T13:34:00+01:002017-03-08T08:50:29+00:00balderFabre d'Olivet AntoineAssyrieCeltesChineCivilisationsEgypteEuropeFamilleGrèceMagieMusiquePerseRacialismeRoiTradition <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Fabre_d_Olivet_Antoine_-_De_l_Etat_social_de_l_homme_Tome_I.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Fabre d'Olivet Antoine</strong><br />
Ouvrage : <strong>De l'Etat social de l'homme ou Vues Philosophiques sur l'Histoire du Genre Humain Tome I</strong><br />
Année : 1822<br />
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L'ouvrage que je publie sur l’état social de l’homme fut d’abord destiné à faire partie d’un ouvrage plus considérable que j’avais médité sur l’histoire de la terre et de ses habitants, et pour lequel j’avais rassemblé un grand nombre de matériaux. Mon intention était de réunir sous un même point de vue, et dans l’ordonnance d’un même tableau, l’histoire générale du globe que nous habitons, sous tous les rapports d’histoire naturelle et politique, physique et métaphysique, civile et religieuse, depuis l’origine des choses jusqu’à leurs derniers développements; de manière à exposer sans aucun préjugé les systèmes cosmogoniques et géologiques de tous les peuples, leurs doctrines religieuses et politiques, leurs gouvernements, leurs mœurs, leurs relations diverses, l’influence réciproque qu’ils ont exercée sur la civilisation, leurs mouvements sur la terre, et les événements heureux ou malheureux qui signalèrent leur existence plus ou moins agitée, plus ou moins longue, plus ou moins intéressante ; afin de tirer de tout cela des lumières plus étendues et plus sûres qu’on ne les a obtenues jusqu’ici sur la nature intime des choses, et surtout celle de l’homme, qu’il nous importe tant de connaître. Quand je formai ce dessein, j’étais encore jeune, et plein de cette espérance que donne une jeunesse trop présomptueuse ; je ne voyais aucun des obstacles qui devaient m’arrêter dans l’immense carrière que je me flattais de par courir : fier de quelque force morale, et déterminé à un travail opiniâtre, je croyais que rien ne résisterait au double ascendant de la persévérance et de l’amour de la vérité. Je me livrais donc à l’étude avec une insatiable ardeur, et j’augmentais sans cesse l’amas de mes connaissances, sans trop m’inquiéter de l’usage que j’en pourrais faire un jour. Il faut dire que j’étais un peu forcé, par ma position politique, à la réclusion que nécessitait un pareil dévouement. Quoique je n’eusse nullement marqué dans le cours de la révolution, que je me fusse tenu à une égale distance des partis, étranger à toute brigue, à toute ambition, j’avais assez connu les choses et les hommes pour que mes opinions et mon caractère ne restassent pas tout à fait dans l’obscurité. Des circonstances indépendantes de ma volonté les avaient fait connaître à Bonaparte, en exagérant encore à ses yeux ce qu’ils pouvaient avoir de contraire à ses desseins ; en sorte que, dès son entrée au consulat il avait pris contre moi une haine assez forte pour le déterminer à me proscrire sans motifs, en insérant exprès mon nom parmi ceux de deux cents infortunés qu’il envoya périr sur les bords inhospitaliers de l’Afrique. Si, par un bienfait signalé de la Providence, j’échappai à cette proscription, je dus agir avec beaucoup de prudence, tant que dura le règne de Napoléon, pour éviter les pièges qu’il aurait pu former le dessein de me tendre. Mon goût et ma situation coïncidaient donc à me faire chérir la retraite, et me livraient de concert à l’étude. Cependant, lorsque, me reposant un moment de mes travaux explorateurs, je vins à jeter les yeux sur les fruits de mon exploration, je vis avec un peu de surprise que les plus grandes difficultés n’étaient pas là où je les avais d’abord imaginées, et qu’il n’était pas tant question de ramasser des matériaux pour en construire l’édifice que je méditais, que de bien connaître leur nature, afin de les ranger, non selon leur forme dépendant presque toujours du temps et des circonstances extérieures, et leur homogénéité tenant à l’essence même des choses. Cette réflexion m’ayant amené à examiner profondément plusieurs doctrines que les savants classaient ordinairement comme disparates et opposées, je me convainquis que cette disparité et cette opposition consistaient uniquement dans les formes, le fond étant essentiellement le même. Je pressentis dès lors l’existence d’une grande Unité, source éternelle d’où tout découle ; et je vis clairement que les hommes ne sont pas aussi loin de la vérité qu’ils le croient généralement. Leur plus grande erreur est de la chercher là ou elle n’est pas, et de s’attacher aux formes, tandis qu’ils devraient les éviter, au contraire, pour approfondir l’essence; surtout en considérant que ces formes sont le plus souvent leur propre ouvrage, comme cela est arrivé dans des monuments littéraires de la plus haute importance, et principalement dans la cosmogonie de Moïse. Je demande la liberté de m’arrêter un moment sur ce fait extraordinaire, parce qu’il éclaircira plusieurs choses qui paraîtraient, sans cela, obscures par la suite. Si, lorsqu’on veut écrire l’histoire de la terre, on prend cette cosmogonie selon ses formes vulgaires, telles que les donnent des traductions erronées, on se trouve tout à coup dans une contradiction choquante avec les cosmogonies des nations les plus illustres, les plus anciennes et les plus éclairées du monde : alors il faut de toute nécessité, ou la rejeter à l’instant, ou considérer les écrivains sacrés des Chinois, des Hindous, des Perses, des Chaldéens, des Egyptiens, des Grecs, des Etrusques, des Celtes nos aïeux, comme des imposteurs ou des imbéciles ; car tous, sans exception, donnent à la terre une antiquité incomparablement plus grande que cette cosmogonie. Il faut renverser toute la chronologie des nations, tronquer leur histoire, rapetisser tout ce qu’elles ont vu de grand, agrandir tout ce qui leur a été imperceptible, et renoncer à cette sagesse si vantée des Égyptiens, à cette sagesse que les plus grands hommes ont été chercher au péril de leur vie, et dont Pythagore et Platon nous ont transmis les irréfragables monuments. Mais comment rejeter une telle cosmogonie ? Cela ne se peut pas ; car, outre qu’elle sert de base aux trois plus puissants cultes de la terre, soit par leur antiquité, soit par leur éclat ou leur étendue, le judaïsme, le christianisme et l’islamisme, il est évident, pour quiconque peut sentir les choses divines, que, même à travers le voile épais que les traducteurs de Moïse ont étendu sur les écrits de cet habile théocrate, on y découvre des traces non équivoques de l’inspiration dont il était animé. Cependant doit-on, en consacrant cette cosmogonie telle qu’elle est contenue dans les traductions vulgaires, continuer à s’isoler du reste du monde, regarder comme impie ou mensonger tout ce qui n’y est pas conforme, et faire que l’Europe éclairée et puissante traite comme sacrilège le reste de la terre, et se comporte à son égard comme se comportait, il y a quelques mille ans, une petite contrée ignorante et pauvre, appelée la .Judée ? Cela se peut encore moins. Mais, dira-t-on, pourquoi s’inquiéter d’une chose qu’on devrait paisiblement laisser tomber dans l’oubli ? Les livres de la nature de ceux de Moise sont écrits pour des temps de ténèbres. Le mieux qu’on ait à faire, dans des siècles radieux comme les nôtres, c’est de les abandonner au peuple, qui les révère sans les comprendre. Les savants n’ont pas besoin d’être instruits de ce que pensait, il y a quatre mille ans, le législateur des Hébreux, pour bâtir des systèmes cosmogoniques et géologiques ; nos encyclopédies sont pleines de choses admirables à ce sujet. Admirables, en effet, si on en juge par le nombre ; mais tellement vaines, tellement futiles, que, tandis que le livre de Moïse se soutient depuis quarante siècles, et fixe les regards des peuples, quelques jours suffisent pour renverser ceux qu’on prétend lui opposer, et pour éteindre les frivoles bluettes qui s’élèvent contre cet imposant météore. Croyez-moi, savants de la terre, ce n’est point en dédaignant les livres sacres des nations que vous montrerez votre science ; c’est en les expliquant. On ne peut point écrire l’histoire sans monuments ; et celle de la terre n’en a pas d’autres. Ces livres sont les véritables archives où ses titres sont contenus. Il faut en explorer les pages vénérables, les comparer entre elles, et savoir y trouver la vérité, qui souvent y languit couverte par la rouille des âges. Voilà ce que je pensai. Je vis que, si je voulais écrire l’histoire de la terre, je devais connaître les monuments qui la contiennent et surtout m’assurer si j’étais en état de les bien expliquer. Or, que la cosmogonie de Moise soit un de ces monuments, est assurément hors de doute. II se rait donc ridicule de prétendre l’ignorer, et de vouloir, sans y faire attention, marcher sur une route dont il occupe toute l’étendue. Mais si l’historien est forcé, comme je le dis, de s’arrêter devant ce colosse monumental, et d’en adopter les principe que deviendront tous les autres monuments qu’il rencontrera sur ses pas, et dont les principes également imposants et vénérés se trouveront contredits ? Que fera- t-il de toutes les découvertes modernes qui ne pourront pas s’y adapter ? Dira-t-il à l’évidence qu’elle est trompeuse, et à l’expérience qu’elle a cessé de montrer l’enchaînement des effets aux causes ? Non; à moins que l’ignorance et le préjugé n’aient d’avance étendu un double bandeau sur ses yeux. Cet historien raisonnera sans doute comme je raisonnai à sa place. <strong>...</strong></p>Dupuis Charles-François - Mémoire explicatif du zodiaque chronologique et mythologiqueurn:md5:56632c7abd2b6aa60e34604e95a6026f2012-08-26T14:54:00+01:002022-10-14T15:07:17+01:00balderDupuis Charles-FrançoisArabieCalendrierChineEgypteGrèceMythologieOrientPerseZodiaque <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Dupuis_Charles-Francois_-_Memoire_explicatif_du_zodiaque_chronologique_et_mythologique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Dupuis Charles-François</strong><br />
Ouvrage : <strong>Mémoire explicatif du zodiaque chronologique et mythologique</strong><br />
Année : 1806<br />
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Ouvrage contenant le Tableau comparatif des Maisons de la Lune chez les différens Peuples de l'Orient, et celui des plus anciennes observations qui s'y lient, d'après les Egyptiens , les Chinois , les Perses, les Arabes, les Chaldéens et les Calendriers grecs. <strong>...</strong></p>Delehaye Hippolyte - Les versions grecques des actes des martyrs Persans sous Sapor IIurn:md5:f7222e1e04131b6a3b03f20898fb56292012-06-14T01:00:00+01:002017-03-08T15:05:53+00:00balderDelehaye HippolyteChristianismeHagiographiePerse <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Delehaye_Hippolyte_-_Les_versions_grecques_des_actes_des_martyrs_Persans_sous_Sapor_II.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Delehaye Hippolyte (Hippolyte Delehaye, S. J.)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les versions grecques des actes des martyrs Persans sous Sapor II</strong><br />
Année : 1905<br />
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Les martyrs de Perse, dont les actes nous ont été conservés surtout dans les collections hagiographiques syriaques et arméniennes, et sur lesquels les historiens et les chroniqueurs de Byzance ont recueilli quelques renseignements, occupent une large place dans la littérature religieuse des Grecs. Plusieurs pièces importantes, dont les rapports étroits avec les récits orientaux ont été reconnus depuis longtemps, font partie des anciens ménologes, et les nombreuses notices sur les martyrs persans insérées dans les synaxaires prouvent qu'à Hyzance, vers le dixième siècle, la collection de leurs actes était notablement plus complète que celle qui nous est parvenue. Les textes qui mentionnent des martyrs persans ne sont pas tous d'une égale importance. Les synaxaires, par exemple, enregistrent les commémoraisons d'une série de martyrs, dont les relations avec la Perse, ne peuvent s'expliquer que par des erreurs de rédaction dont ces compilations offrent tant d'exemples. <strong>...</strong></p>De Gobineau Joseph-Arthur - Histoire des Perses - Tome IIurn:md5:f0113754ac14da0d55d6bf03e8965b882012-01-08T15:43:00+00:002017-03-08T19:45:46+00:00balderDe Gobineau Joseph-ArthurPerse <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/De_Gobineau_Joseph-Arthur_-_Histoire_des_Perses_-_Tome_II.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>De Gobineau Joseph-Arthur (Comte)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Histoire des Perses d'après les auteurs orientaux, Grecs, et Latins et particulièrement d'après les manuscrits orientaux inédits, Les monuments figurés, les médailles, les pierres gravées, etc. Tome II</strong><br />
Année : 1869<br />
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Entre la façon dont les Grecs racontent les premiers temps de Darius, fils d'Hystaspes, et celle que présentent les écrivains orientaux, il y a des similitudes, mais aussi des différences très-notables et dignes d'être relevées. Hérodote considérait comme les plus nobles entre les tribus perses celles des Pasargades, des Maraphes et des Maspes. Ces trois noms sont iraniens, et par conséquent les agglomérations de familles dont il est question étaient issues de sang arian plus ou moins pur. Il serait difficile d'admettre une pureté absolue. Les sculptures de Persépolis et de Béhistoun font reconnaître dans les physionomies royales ou militaires qu'elles présentent un type très-sémitisé, d'une grande beauté, il est vrai, mais d'une beauté qui a surtout conservé de l'extraction septentrionale la vigueur des membres, et emprunté aux hymens méridionaux la chevelure abondante et bouclée, les yeux allongés, le nez très-aquilin et la lèvre épaisse et sensuelle. J'ai été frappé et vraiment émerveillé de voir se reproduire dans les cavaliers nobles du sud de la Perse, tels que Mamacénys, Loures, Bakhtyarys, la figue, la stature, les gestes des personnages que l'art antique a fait vivre éternellement en les entaillant sur le pierre vive. <strong>...</strong></p>De Gobineau Joseph-Arthur - Histoire des Perses - Tome Iurn:md5:4c5745304548bab4251809ac7c2bb5f92012-01-08T15:37:00+00:002017-03-08T19:45:54+00:00balderDe Gobineau Joseph-ArthurPerse <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/De_Gobineau_Joseph-Arthur_-_Histoire_des_Perses_-_Tome_I.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>De Gobineau Joseph-Arthur (Comte)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Histoire des Perses d'après les auteurs orientaux, Grecs, et Latins et particulièrement d'après les manuscrits orientaux inédits, Les monuments figurés, les médailles, les pierres gravées, etc. Tome I</strong><br />
Année : 1869<br />
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A des époques très-lointaines, la race blanche s'ébranla clans ses demeures primitives de la haute Asie. Elle commença à descendre avec lenteur vers l'ouest et le sud-ouest du continent. Successivement, ses masses accumulées se partagèrent. Plusieurs, parvenues jusqu'en Europe, y devinrent les nations celtiques, thraces, italiotes, helléniques, slaves. Mais d'autres branches non moins puissantes du vieux tronc, s'étendant vers la direction méridionale, y portèrent des populations abondantes dont un groupe resta longtemps attaché au voisinage de la commune patrie ; ce furent les Scythes. Un second, quittant ceux-ci, tourna vers l'est et produisit les aïeux des Hindous : un troisième enfin , s'isolant beaucoup plus tard et des Scythes et des futurs sectateurs de Brahma, laissa les sources de l'Indus à sa gauche, pénétra clans les terres de l'Asie centrale, et donna naissance aux assemblages que les Grecs et les Romains ont appelés les Perses, mais qui se sont toujours donné à eux-mêmes le nom d'Iraniens. C'est leur histoire que j'entreprends de raconter. Ces nations nous sont parentes et par l'origine première et des alliances successivement renouvelées jusqu'à des époques assez basses avec les tribus issues des Scythes qui devinrent les Germains. Leurs institutions ont été les mêmes que celles de ces vainqueurs de la Romanité, de ces fondateurs de la société moderne dont nous avons la gloire de descendre, et, par suite, on retrouve des vestiges de leur individualité et dans nos idées, et dans nos mœurs, et dans nos lois. Enfin , les Iraniens ont occupé grandement le monde de l'intelligence, car, par la situation mitoyenne des contrées qu'ils ont successivement envahies, ils ont été de constants médiateurs entre l'Asie orientale et l'Europe, et ont eu charge de faire circuler de l'une h l'autre de ces régions les notions de toute nature élaborées chez chacune d'elles. La religion non moins que l'histoire a souvent passé par leurs mains. Ce sont des faits dignes d'attention. <strong>...</strong></p>