Histoire Ebook - Mot-clé - Phalange espagnoleRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearPrimo de Rivera José Antonio - Anthologie Volume 2urn:md5:503b8b8c06f158e5e21560ed3c911ed82013-01-08T16:23:00+00:002017-03-07T13:06:22+00:00balderPrimo de Rivera José AntonioEspagneFascismePhalange espagnole <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Primo_de_Rivera_Jose_Antonio_-_Anthologie_Volume_2.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Primo de Rivera y Sáenz de Heredia José Antonio</strong><br />
Ouvrage : <strong>Anthologie Volume 2 (Recueil de citations)</strong><br />
Année : *<br />
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VII. CRITIQUE GÉNÉRALE DE LA POLITIQUE ESPAGNOLE. A. 144. L’Espagne, depuis longtemps, menait une vie plate, pauvre, triste, écrasée entre deux dalles qu’elle n’avait pas encore réussi à briser : en haut, le manque d’ambition historique, en bas l’absence totale de justice sociale. Le manque d’ambition historique nous vient, depuis trente ou quarante ans, du pessimisme causé par l’impossibilité de trouver un intérêt qui nous lie tous en un effort commun pour une même cause. L’absence de justice sociale vient de ce que, si les horreurs de la grande industrie qui a déchainé sur le monde une de ses plus grandes crises, nous ont été épargnées – et nous ne cesserons jamais d’en remercier le ciel – la vie de nos campagnes, de nos petites villes et de nos villages est restée inhumaine, indéfendable, nous devons le reconnaître. « Jugement sur la dictature et nécessité d’une révolution nationale », Discours au Parlement, 6 juin 1934. 145. Notre Espagne se trouvait, en partie, à l’abri de la crise universelle ; mais d’autre part elle était tourmentée par sa crise propre et comme absente d’elle-même par suite d’un déracinement particulier que le reste du monde ne connaissait pas. « Tradition et Révolution », préface à J. Pérez de Cabo, Arriba España, août 1935. 146. (...) Je ne dois pas, maintenant, parler au nom de la piété filiale. Je dois parler comme membre d’une génération à qui il est échu de vivre après la Dictature, et qui, bon gré mal gré, doit juger d’un oeil serein, et si possible du haut de l’Histoire, le phénomène historique et politique de la Dictature. « Jugement sur la dictature et nécessité d’une révolution nationale », Discours au Parlement, 6 juin 1934. 147. La Dictature rompit l’ordre constitutionnel qui régnait avant son avènement et engagea la Patrie dans un processus révolutionnaire que, par malheur, elle ne sut pas conclure. Id. 148. (...) La Dictature, qui renversa l’ordre constitutionnel, n’avait pas à se justifier par des arguments juridiques. Ce qui ne veut pas dire (...) qu’elle n’avait pas à se justifier comme fait historique, comme fait politique. <strong>...</strong></p>Primo de Rivera José Antonio - Anthologie Volume 1urn:md5:fc1e56093dbc01f4b9a6e143105039242013-01-08T16:12:00+00:002017-03-07T13:06:27+00:00balderPrimo de Rivera José AntonioEspagneFascismePhalange espagnole <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Primo_de_Rivera_Jose_Antonio_-_Anthologie_Volume_1.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Primo de Rivera y Sáenz de Heredia José Antonio</strong><br />
Ouvrage : <strong>Anthologie Volume 1 (Recueil de citations)</strong><br />
Année : *<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Primo_de_Rivera_Jose_Antonio_-_Anthologie_Volume_1.zip">Primo_de_Rivera_Jose_Antonio_-_Anthologie_Volume_1.zip</a><br />
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PREMIÈRE PARTIE. DOCTRINE. I. LES BASES INTELLECTUELLES. 1. À ce jalon de notre route, on exige de nous, maintenant, face à l’Histoire, une précision rigoureuse de notre position. Discours « Sur la révolution espagnole », Madrid, 19 mai 1935. 2. (...) Le bien et la vérité sont des catégories permanentes de la raison et, pour savoir si l’on a raison, il ne suffit pas de le demander au Roi – dont la volonté, pour les partisans de la monarchie, est toujours bien orientée –, il faut examiner, à chaque instant, si nos actes sont en accord avec une aspiration permanente. « Sur la notion d’État », discours au Parlement, 19 décembre 1933. 3. (...) On peut arriver à l’enthousiasme et l’amour par la voie de l’intelligence. « Ironie sur le Parlement », intervention au Parlement, 3 juillet 1934. 4. « Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît pas ... », mais l’intelligence, elle aussi, a sa manière d’aimer dont le coeur, parfois, ne sait rien ». « Essai sur le nationalisme », Revue JONS, avril 1934. 5. Le jeu impassible des règles est toujours plus sûr que notre appréciation personnelle. La balance pèse avec plus de précision que la main. Conférence « Droit et Politique » devant le Syndicat universitaire espagnol (SEU), 11 novembre 1935. <strong>...</strong></p>Primo de Rivera José-Antonio - Brasillach Robert - Drieu la Rochelle Pierre - Essai de synthèseurn:md5:7ea1e732bbae0b5a9fcaa3511a64f3502012-02-25T17:59:00+00:002023-12-14T18:34:55+00:00balderPrimo de Rivera José AntonioEspagneEuropeFascismeFrancePhalange espagnoleTroisième ReichVichy <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Jose-Antonio_Primo_de_Rivera_-_Robert_Brasillach_-_Pierre_Drieu_la_Rochelle_-_Essai_de_synthese.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Primo de Rivera José-Antonio - Brasillach Robert - Drieu la Rochelle Pierre</strong><br />
Ouvrage : <strong>Essai de synthèse</strong><br />
Année : 1970 Edition corrigée et augmentée par Virgile André de Rochemaure, juin 2003<br />
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PREMIERE PARTIE : MORT ET RENAISSANCE MORT DE JOSE-ANTONIO Le jour n’est pas encore levé sur Alicante. Les soldats attendent sous la lueur vacillante d’un lumignon. José-Antonio s’approche et leur dit : « Vraiment vous voulez que je meure ? Qui vous a dit que j’étais votre adversaire ? Celui qui vous l’a dit n’a aucune raison de l’affirmer. Mon rêve était la patrie, le pain et la justice pour tous les Espagnols et particulièrement pour ceux qui sont sacrifiés. Quand on est sur le point de mourir, on ne peut pas mentir. Je vous le répète avant que l’on me tue : je n’ai jamais été votre ennemi. » Quatre jeunes gens se tiennent, dans un renfoncement du mur, devant le peloton. Ce sont quatre phalangistes qui - on ne sait pourquoi - doivent être fusillés en même temps que le chef. José-Antonio va droit à eux, les embrasse avec émotion, en leur disant : « Du courage, garçons, c’est l’affaire d’un moment et cela en vaut la peine. » Tous quatre : « Arriba Espana. » José- Antonio est tombé. Le meilleur homme d’Espagne est mort. Nous sommes le 20 novembre 1936. José-Antonio était emprisonné depuis le 14 mars. L’insurrection en Espagne était générale depuis le 18 juillet. Le Front Populaire était au pouvoir depuis le 16 février de cette même année. MORT DE BRASILLACH -Le Commissaire du Gouvernement Reboul rend hommage à l’intelligence de l’inculpé, à la primauté intellectuelle de l’écrivain, déclare qu’il est un des maîtres de sa génération et… requiert la peine de mort. Il l’obtient. De Gaulle rejette le recours en grâce. Malgré l’intervention de nombreuses personnalités du monde des lettres et la brillante plaidoirie de Me Isorni évoquant André Chénier, le 6 février 1945, un homme voit l’aube se lever au-dessus des murailles du fort de Montrouge. C’est aussi le crépuscule de sa vie. Une salve retentit et se répercute vers la France. On a tué Robert Brasillach. MORT DE DRIEU LA ROCHELLE Il savait maintenant que sa génération ne verrait pas se lever le soleil de l’Europe. Déjà la jeunesse l’avait fui. « Je suis épris du jeu où l’on se hasarde tout entier », avait-il écrit. Il lui fallait maintenant aller jusqu’au bout de son engagement. Le matin même, la justice de l’épuration avait lancé un mandat d’amener contre lui. Il ne voulait pas que la mort lui soit portée par des hommes de police. Il absorba le tube de véronal, ouvrit le gaz et eut peut-être le temps de penser à cette phrase de L’Homme à cheval : « L’homme ne naît que pour mourir et il n’est jamais si vivant que lorsqu’il meurt. Mais sa vie n’a de sens que s’il donne sa vie au lieu d’attendre qu’elle lui soit reprise. » Nous étions le 16 mars 1945. CONTRE L’INTELLECTUALISME Telle fut leur fin. Mais quelle avait été leur vie ? José-Antonio Primo de Rivera, Robert Brasillach, Pierre Drieu La Rochelle, des intellectuels ? Non jamais. Des poètes, des hommes de lettres, des écrivains qui ont choisi une vie à l’opposé de tout intellectualisme. Leur opinion sur les intellectuels est la même que celle de Maurice Barrès lorsqu’il écrit : « … Rien. n’est pire que la chose. Une demi-culture détruit l’instinct sans lui substituer une conscience. Tous ces aristocrates de la pensée tiennent à afficher qu’ils ne pensent pas comme la vile foule. On le voit trop bien. Ils ne se sentent plus spontanément d’accord avec leur groupe naturel et ils ne s’élèvent pas jusqu’à la clairvoyance qui leur restituerait l’accord réfléchi avec la masse. Ces intellectuels sont un déchet fatal dans l’effort tenté par la société pour créer une élite1. » Ou que celle de Georges Sorel : « Les intellectuels ne sont pas, comme on le dit souvent, les hommes qui pensent : ce sont les gens qui font profession de penser…2 » L’intellectuel est à l’opposé de tout engagement véritable. C’est l’homme qui spécule, qui temporise, qui vaticine, qui humanise les problèmes et les idéalise avec des phrases cosmiques tout autant que peu compromettantes. Il pose des problèmes et s’en va, sans les résoudre. II écrit et n’agit point. L’intellectualisme pur est une lâcheté permanente face à l’homme et à sa vie. Brasillach a bien senti le problème des hommes de pensée, et il a vu la solution pour ne pas sombrer dans cet intellectualisme qui n’est finalement qu’un vide. « Les hommes de lettres sont des espèces de ratés qui écrivent parce qu’ils n’agissent point. Mais parfois, de ce que l’on écrit peuvent surgir la mort, la guerre, la révolution. Comment résisterait-on à pareille ivresse ? » <strong>...</strong></p>