Histoire Ebook - Mot-clé - RoumanieRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearDe La Chesnaie Sigismond - Malô Lilâk Tome 1urn:md5:ab33d8e0a10e9e6e337154de359e05db2017-04-15T20:00:00+01:002017-04-15T20:42:32+01:00balderDe La Chesnaie SigismondAfriqueAllemagneBelgiqueBerlinBolchéviqueCanadaConspirationDresdeEuropeEx-Libris LenculusFranc-maçonnerieFranceHollandeHongrieHébraïsmeKabbaleLuxembourgRoumanieRussieRévisionnismeSeconde guerre mondialeSlovaquieTalmudTroisième ReichÉtats-Unis <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/De_La_Chesnaie_Sigismond_-_Malo_Lilak_Tome_1.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>De La Chesnaie Sigismond</strong><br />
Ouvrage : <strong>Malô Lilâk Autopsie détaillée d'une inversion génocidaire Tome 1</strong><br />
Année : 2017<br />
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Introduction. « On peut mentir un temps à tout le monde, On peut mentir tout le temps à une partie du monde, mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde. » Il est assez bien connu qu’une société basée sur le mensonge et la corruption ne peut durer éternellement car celle-ci se mettra tôt ou tard à vaciller sur des fondations de plus en plus branlantes du fait même de la prise de conscience croissante des populations, pour finir par s’auto-détruire complètement, soit par implosion, par explosion ou ces deux formes combinées. Cette prise de conscience croissante commencera logiquement avec les individus les plus clairvoyants qui, selon leur capacité d’agir et d’influencer autrui, pourra dès lors se répandre par contagion afin que les masses justement soient mises de plus en plus au fait de ce qui était maintenu dans l’ombre. Il va sans dire que nombre de ces lanceurs d’alerte furent mis au ban de la société et ce, d’autant plus que leur position hiérarchique et par voie de conséquence d’influence donc, fut élevée. Toutes les méthodes furent alors employées afin de réduire ces indésirables au silence (assassinat, disparition, suicide provoqué, ostracisme, diffamation, condamnation (...) Mais voilà qu’à l’ère des médias électroniques, de plus en plus de citoyens peuvent découvrir maintenant ce qui aurait été impossible il y a quelques décennies, grâce notamment à des documents d’importance capitale (comme celles des archives fédérales de Coblence que nous verrons en détail) et bien-sûr à de véritables historiens et chercheurs dont le travail sans relâche en vue de faire triompher la Vérité depuis tout ce temps devrait être cité en exemple. Des spécialistes s’étant donné la peine d’enquêter sur place, de collecter autant de documents et de témoignages que possible, dont certains durent le payer de leur vie ou d’une autre manière, et à qui nous rendons hommage ici. Des témoignages recueillis donc directement à partir de faits vérifiables et non pas sortis d’esprits névropathes et hystériques enclins à toutes formes d’affabulations et de folie imaginaire, celles-là même qui composent encore l’essentiel des « preuves » officielles, ces soi-disant preuves qui permettent encore aujourd’hui à ces esprits malades de se déchaîner sur un peuple, que ce soit au niveau des lois, des réparations de guerre, d’une discrimination impressionnante et d’une accusation de tous les maux notamment grâce à la magie hollywoodienne, et ce, plus de soixante-dix ans après les faits supposés. C’est déjà donner une petite idée du niveau d’obsession maladive de ces esprits tortueux à l’encontre d’un peuple catalogué ainsi de terrible menace pour l’Humanité et les droits de l’Homme. Déjà, pendant la guerre, des hommes politiques et écrivains avaient planifié leur destruction totale avec toutes sortes de calculs inimaginables (qu’on passera en revue dans le second panorama) dont on se demande comment il est possible de considérer les propos d’êtres aussi dégénérés comme paroles d’Evangile. Pourtant, rien ne fut porté à l’atteinte de telles personnes ni à celles des véritables bourreaux de certains camps de concentration vers la fin du conflit, occupés alors par les vaincus et gérés par les vainqueurs. Lorsque des tentatives de ce genre, avec preuves à l’appui, furent faites, comme par exemple celle de demande d’extradition de l’ancien commandant du camp d’extermination de Zgoda-Schwientochlowitz en Pologne en 1945, le Juif Salomon Morel, aux fins d’inculpation de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité en 1996 puis en décembre 2003 par le tribunal de Katowice qui avait lancé un mandat d’arrêt contre lui, tout cela fut en vain vu que notre commandant s’était réfugié en Israël en 1992, l’année même où il fut entendu une seule fois par la justice suite à une enquête officielle lancée après une investigation au sujet de cet infâme camp polonais. En effet, les autorités israéliennes avaient refusé cette extradition pour motif de prescription car selon elles et d’après Sepp Jendryschik (dont nous aurons l’occasion de reparler beaucoup dans le deuxième panorama), dont le père mourut en 1945 justement dans ce camp, « Morel pourrait être accusé tout au plus de lésions corporelles ». Cette affaire peut d’ores et déjà être close vu que celui qui avait pour nom de guerre chez les partisans juifs, meshugganer, signifiant « maboul », décéda en Israël en 2007 à l’âge de 87 ans et sans aucun doute paisiblement. Plus de soixante-dix ans donc après ce drame mondial, nous pouvons encore constater l’état de léthargie dans lequel semblent se complaire bon nombre de gouvernements et organismes publics en ce qui a trait à la révélation de ce qui demeure enfoui dans des salles d’archives, des associations de réfugiés ou encore de revues à faible tirage créées par de véritables témoins et victimes ou proches de victimes de cet autre drame du XXe siècle. Bien entendu, ces mêmes gouvernements et organismes publics étant à la solde directe ou indirecte de ceux-là mêmes qui écrivent, font écrire ou supervisent les manuels scolaires ainsi que tout ce qui concerne l’histoire officielle au-travers de magazines à grand tirage, reportages et j’en passe, nous en conviendrons que rien de tout cela n’est en somme surprenant. C’est dans un tel contexte que certains historiens et puristes en la matière, ayant constaté la teneur incohérente ainsi que moult contradictions de tout cet étalage de « preuves » abracadabrantes à propos de l’histoire relative à la Seconde Guerre mondiale, se sont lancés dans des travaux de recherche foncière aux fins de collecte justement de données difficilement accessibles mais ô combien précieuses, que les grands pontes du politiquement et du socialement corrects s’efforcent de garder cachées, c’est-à-dire celles n’ayant pas encore fait les frais d’un autodafé ou autre destruction. C’est ainsi que le terme révisionniste comme d’autres vocables tels que racisme ou Apartheid devint lui aussi « à la mode » pour se voir connoté négativement par toute la clique des bien-pensants, résolus à mener coûte que coûte la guerre aux « fauteurs de trouble » et autres marginaux. Nous eûmes droit récemment d’ailleurs à un exemple du « chemin à suivre » avec le trépas du « champion » de la lutte contre l’Apartheid, le « grand » Nelson Mandela, ce révolutionnaire « au service des droits de l’homme et de la paix » qui s’est vu recevoir un véritable culte de la personnalité aux quatre coins du globe. En Afrikaans, Apartheid signifie à l’origine « séparation » et s’est vu par la suite imposé une définition plus « conforme » comme « discrimination » ou encore « ségrégation », illustrant mieux l’état d’esprit contemporain. Il faut savoir justement que cette « séparation » qui avait été imposée, avait pris une tournure réaliste dans les années soixante par le Premier ministre de l’époque, Hendrik Verwoerd ; en effet, celui-ci avait tenu compte des différences énormes de culture, de race et autres entre les diverses communautés composant la population sud-africaine, voyant que le mélange d’autant d’ethnies sur un même territoire ne pouvait aboutir à rien de solide et de fructueux. Sa politique considérait donc ces divergences et permettait une partition du pays où lesdites communautés pouvaient avoir leur propre autonomie. Tout cela fut critiqué de vive voix bien-sûr alors qu’une telle politique aurait permis une cohabitation sans doute exemplaire d’autant de peuples différents. C’est encore une fois au nom des droits de l’homme et de la sacro-sainte liberté que ce Premier ministre sud-africain dut disparaître (le 6 septembre 1966 !) afin de laisser la place à quelque remplaçant davantage enclin aux « valeurs démocratiques ». L’exemple de ce pays austral ne vient pas se greffer ici par hasard vu que nous aurons l’occasion, dans le dernier panorama, de mettre en relief un personnage justement natif de cette contrée et dont les révélations croiseront à merveille le chemin de notre pèlerinage. Pour en revenir donc au sujet qui nous intéresse, nous avons aujourd’hui des antirévisionnistes qui, eux-aussi, sont bien décidés à faire rentrer dans les rangs les quelques brebis ayant osé s’écarter du troupeau. Mettons alors bien les points sur les « i » ici : le terme révisionnisme cherche, comme son nom l’indique, à faire une révision de tout ce qui a pu être rapporté, ici en l’occurrence historiquement, afin d’écarter tout ce qui peut relever du mythe, de la fable et du tabou (généralement créés par les vainqueurs) et d’en dégager une vérité aussi objective que possible. C’est ainsi que l’Histoire est et devrait être logiquement révisionniste, faute de quoi, ce ne serait pas de l’Histoire. Certains avaient d’ailleurs mis en opposition Hérodote qui semblait mêler mythes, légendes et vérités à Thucydide qui s’efforçait de retirer toute part de merveilleux des événements afin d’en extraire quelque chose de cohérent. Bien entendu, les virtuoses du retournement à 180° s’en sont donné à coeur joie afin que, pour les masses, ce qui est vrai passe pour être faux et vice-versa, au même titre que la laideur passera pour belle et le dégénéré mental pour un saint. Nous aurons donc l’occasion de passer en revue dans ce livre les travaux de certains de ces anticonformistes qui, grâce à leur courage, leur ténacité et surtout leur probité intellectuelle, nous permettent d’avancer à grandes enjambées sur le chemin de la Vérité historique qui nous intéresse ici et donc d’élargir le champ de vision de tout un chacun à d’autres domaines connexes ou non. Le lecteur (re)découvrira d’abord tout un pan de la partie conventionnelle des événements tragiques de la Seconde Guerre mondiale, celle qui bien-sûr est toujours enseignée dans nos bonnes vieilles écoles et semée aux quatre vents, avec quelques morceaux choisis de « témoins oculaires et de survivants de l’Holocauste », un pan donc politiquement correct que nous aurons alors le plaisir de faire voler en éclats lorsque les briques et autres morceaux le constituant seront passés au crible de l’analyse « non-conventionnelle ». C’est seulement après que l’on prendra connaissance de l’identité des vraies victimes de ce conflit au-travers d’un passage en revue de documents qui, heureusement aujourd’hui, gagnent petit à petit en popularité (même si le terme est un peu exagéré). Il nous faudra ensuite essayer de tisser un lien entre des éléments apparemment contradictoires mais en réalité relativement logiques, avec notamment les dessous du Nazisme, pour finir avec une note d’espoir, tirée de certaines visions prophétiques quant à la finalité du monde, ce monde en chute libre et chaotique dans lequel a plongé l’Humanité, un monde vraiment « à l’envers ». Il faut noter pour terminer que l’ouvrage que vous vous apprêtez à lire est relativement dense, raison pour laquelle celui- ci est abondamment illustré aux fins d’aération du texte (et de l’esprit !). Précisons ici que les grands bonimenteurs de l’Holocauste utilisent évidemment à profusion images et photographies afin de donner un caractère substantiel et « vérifiable » à leurs supputations, raison pour laquelle ils n’hésitèrent pas à en employer de fausses ou d’autres, sans aucun rapport avec le sujet, sachant « qu’une image vaut mille mots ». Ainsi, par exemple, en montrant la photographie d’un local avec des pommeaux de douche au plafond, accompagnée des commentaires correspondants et surtout en la faisant suivre de la photographie d’une montagne de corps décharnés, sont-ils à peu près assurés de faire avaler la pilule à la majorité des masses de l’existence réelle des chambres à gaz. En ce qui nous concerne ici en revanche, les reproductions de plans, de photographies ou clichés aériens, de couvertures de livres ou portraits, etc. essaient d’être le plus conformes, adaptées et appropriées que possible au contexte particulier de ce livre (avec des légendes et des nuances parfois ironiques en rapport avec les faits et non pas fonction des lubies et autres délires obsessionnels des défenseurs de la cause holocaustique) et donc, de cet épisode peu glorieux de l’histoire de l’Humanité. De même, la reproduction de vieilles cartes postales de certains lieux visera à créer un fort contraste entre d’une part, l’impression de paix qui s’en dégage, et les scènes terribles qui s’y déroulèrent par la suite, de l’autre. L’ouvrage sera composé de 4 panoramas, avec les 3 premiers traitant du passé, et le 4e de l’avenir, avec des petites incursions au présent pour l’ensemble. <strong>...</strong></p>Nortines B. - Contes et légendes du pays Roumainurn:md5:9b481c1a0c74bfe20a6a8fa12ef3e15f2016-11-16T00:35:00+00:002016-11-16T00:39:21+00:00balderNortines B.ConteRoumanie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Nortines_B_-_Contes_et_legendes_du_pays_Roumain.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Nortines B.</strong><br />
Ouvrage : <strong>Contes et légendes du pays Roumain</strong><br />
Année : 1946<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Nortines_B_-_Contes_et_legendes_du_pays_Roumain.zip">Nortines_B_-_Contes_et_legendes_du_pays_Roumain.zip</a><br />
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Avant-propos. Pour faire un choix – que nous avons voulu aussi varié et représentatif que possible – parmi les nombreuses et pittoresques légendes du pays roumain, nous avons surtout eu recours aux versions d’Ispiresco, Eminesco, Stancesco, et aux recueils publiés par MM. C. Radulesco-Codin et A. Vasiliu, sous les auspices de l’Académie Roumaine, qui a bien voulu nous donner les autorisations nécessaires. Nous lui en exprimons ici notre vive gratitude. Ainsi qu’à Monsieur Al. Busnioceanu, Professeur à la Faculté des lettres de Bucarest, qui a bien voulu, à plusieurs reprises, intervenir en notre faveur. Et à Monsieur Mario Roques, qui a aimablement mis à notre disposition les ressources de la Bibliothèque Roumaine où Monsieur Popovici, lecteur, nous a maintes fois donné de précieux éclaircissements. B. Nortines. <strong>...</strong></p>Brătianu Gheorghe I. - La Bessarabie Droits nationaux et historiquesurn:md5:292926fadf817e307a39f2b338e36fcf2015-08-04T21:36:00+01:002015-08-04T20:46:39+01:00balderBrătianu Gheorghe I.Roumanie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Bratianu_Gheorghe_I_-_La_Bessarabie_Droits_nationaux_et_historiques.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Brătianu Gheorghe I.</strong><br />
Ouvrage : <strong>La Bessarabie Droits nationaux et historiques</strong><br />
Année : 1943<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Bratianu_Gheorghe_I_-_La_Bessarabie_Droits_nationaux_et_historiques.zip">Bratianu_Gheorghe_I_-_La_Bessarabie_Droits_nationaux_et_historiques.zip</a><br />
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Avant-propos. De toutes les questions susceptibles d'être discutées a la fin de la guerre, et qui le sont d'ailleurs dès maintenant, il en est peu qui soient autant l'objet des controverses, tout en étant si peu connues du grand public des pays d'Europe et d'outre-mer, que celle de la Bessarabie. <strong>...</strong></p>Marcilly Jean - Pourquoi je me suis battu pour les Cavaliers de l'Apocalypseurn:md5:ee6fe06e4ad5665a59ee6ce8d5bd0ee42013-10-20T20:32:00+01:002013-10-20T20:32:00+01:00balderMarcilly JeanRoumanie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Marcilly_Jean_-_Pourquoi_je_me_suis_battu_pour_les_Cavaliers_de_l_Apocalypse_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Marcilly Jean</strong><br />
Ouvrage : <strong>Pourquoi je me suis battu pour les Cavaliers de l'Apocalypse</strong><br />
Année : 1974<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Marcilly_Jean_-_Pourquoi_je_me_suis_battu_pour_les_Cavaliers_de_l_Apocalypse.zip">Marcilly_Jean_-_Pourquoi_je_me_suis_battu_pour_les_Cavaliers_de_l_Apocalypse.zip</a><br />
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Je viens réclamer le droit d'asile à " STINDARDUL " celui de la libre expression puisque c'est un journal de liberté. En fait je n'ai trouvé que ce moyen pour prendre au piège ION. V. EMILIAN et le contraindre à m'offrir l'hospitalité car ce qu'il redoute le plus au monde va arriver : je vais vous parler de lui... Qu'il me pardonne cette dernière épreuve. Certains rétorqueront aussitôt qu'ils le connaissent mieux que moi et depuis plus longtemps. J'en conviens volontiers. <strong>...</strong></p>Draghicesco Dimitrie - Les roumains de Serbieurn:md5:63d019dbef8ed4661f596e0bd4a60b3b2013-10-19T00:25:00+01:002013-10-18T23:29:23+01:00balderDraghicesco DimitrieEuropePremière guerre mondialeRoumanieSerbie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Draghicesco_Dimitrie_-_Les_roumains_de_Serbie_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Draghicesco Dimitrie</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les roumains de Serbie</strong><br />
Année : 1919<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook2/Draghicesco_Dimitrie_-_Les_roumains_de_Serbie.zip">Draghicesco_Dimitrie_-_Les_roumains_de_Serbie.zip</a><br />
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Avant-propos. La Conférence de la Paix réunie aujourd'hui à Paris doit décider du sort des peuples et établir le statut définitif, de l'Europe. Il s'agira, dans cette conférence, de résoudre à peu près tous les problèmes soulevés par la guerre qui vient de prendre fin. On espère ainsi éliminer les germes de nouvelles guerres possibles. Tout le monde désire que soient réduites les occasions de conflits entre les nations. <strong>...</strong></p>Wurmbrand Richard - Karl Marx et satanurn:md5:d5e3f84d9ab5f23da00e39503736aefa2013-04-06T23:00:00+01:002013-04-06T22:01:17+01:00balderWurmbrand RichardBolchéviqueChristianismeHébraïsmeRoumanieRussie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img2/.Wurmbrand_Richard_-_Karl_Marx_et_satan_s.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Wurmbrand Richard</strong><br />
Ouvrage : <strong>Karl Marx et satan</strong><br />
Année : 1976<br />
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INTRODUCTION. Avant de devenir économiste et communiste de renom, Marx était un humaniste. Aujourd’hui le tiers de la planète est marxiste. En effet, sous une forme ou une autre, des quantités de gens sont marxistes, même en pays capitaliste. Jusqu’à des chrétiens, voire des hommes d’Église – certains de haut rang – sont convaincus que, tout comme Jésus a donné la clé sur la manière d’aller au ciel, Marx a donné la clé sur la manière de venir en aide aux affamés, aux pauvres, aux opprimés de cette terre. Marx était profondément humain. Une idée le hantait: comment secourir les masses exploitées? Ce qui les achemine vers l’appauvrissement, affirmait-il, c’est le capitalisme. Selon lui, une fois aboli ce système pourri et après une période de transition sous dictature prolétarienne, l’État dépérirait et ce serait le paradis pour le travailleur. Dans la société communiste tout le monde travaillerait, chacun suivant sa compétence, dans des usines ou des fermes appartenant à la collectivité, et chacun serait rémunéré en fonction de ses besoins. Il n’y aurait plus l’État pour gouverner les individus, plus de guerres, plus de révolutions, mais seulement une fraternité universelle et perpétuelle. Cependant pour que les masses accèdent au bonheur, il faut plus que l’abolition pure et simple du capitalisme. Marx écrit : La destruction de la religion, en tant que bonheur illusoire des hommes, est indispensable à leur bonheur réel. L’appel à l’abandon de leurs illusions sur leur condition est un appel à l’abandon d’une condition qui a besoin d’illusions. La critique de la religion est donc la critique de cette vallée de larmes dont la religion est le halo (Introduction à la Critique de la philosophie du Droit, de Hegel). Marx était anti-religieux parce que, pour lui, la religion fait obstacle à la réalisation de l’idéal communiste qu’il considérait comme la seule solution aux problèmes du monde. C’est ainsi que les marxistes expliquent leur position. Certains hommes d’Église la fondent de la même manière. Le Révérend Osterreicher (Grande-Bretagne) déclarait dans l’un de ses sermons : Le communisme – quelles que soient actuellement ses diverses formes d’expression – est à l’origine un mouvement destiné à libérer l’homme de son exploitation par l’homme. Or du point de vue sociologique l’Église a été et est encore pour une large part du côté des «exploiteurs». Karl Marx, dont les théories voilent mal une passion authentique pour la justice et la fraternité prenant racine chez les prophètes d’Israël, haïssait la religion car elle servait d’instrument pour le maintien d’un statu quo où des enfants étaient traités en esclaves et travaillaient à en mourir pour que les autres s’enrichissent. Et cela se passait ici même, en Grande-Bretagne. Il y a cent ans, quand on disait que «la religion est l’opium du peuple», ce n’était pas une critique sans fondement… En tant que membres du Corps Mystique nous devons faire amende honorable et savoir reconnaître simplement que nous avons une fameuse dette envers tout communiste (Sermon prononcé à Ste-Marie, Fontana, Londres 1968). Quant à moi, je suis chrétien. J’aime l’humanité et je veux son bien. C’est la raison pour laquelle j’accepterais sans scrupule l’anarchie, le communisme, la démocratie ou le fascisme si cela pouvait apporter aux hommes le bonheur. Pendant longtemps je me suis penché sur l’oeuvre de Marx pour mieux comprendre son esprit. J’ai découvert au cours de cette étude un certain nombre de choses surprenantes que j’aimerais maintenant partager avec mes lecteurs. Le marxisme fait impact surtout à cause des succès qu’il remporte, mais au fond les succès prouvent-ils quelque chose? Les sorciers-guérisseurs en ont aussi. Le succès confirme l’erreur tout autant que la vérité et d’ailleurs les insuccès nous sont d’un prix inestimable: ils ouvrent la voie à une vérité plus profonde. Aussi ferons-nous l’analyse de certaines oeuvres de Marx sans tenir compte du succès qu’elles ont ou n’ont pas eu. <strong>...</strong></p>Guiraud Paul - Codreanu et la Garde de Ferurn:md5:289218cdb211867f5fd7628ca34949d92013-01-08T15:38:00+00:002017-03-07T13:07:00+00:00balderGuiraud PaulFascismeGarde de FerRoumanie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Guiraud_Paul_-_Codreanu_et_la_Garde_de_Fer.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Guiraud Paul</strong><br />
Ouvrage : <strong>Codreanu et la Garde de Fer</strong><br />
Année : 1940<br />
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Lettre – préface. Cher Monsieur, Le manuscrit que vous avez eu l’obligeance de nous soumettre, avant de le livrer au public, sur Codreanu et la Garde de fer, nous a beaucoup touchés. Vous êtes parmi les très rares Français qui se soient attachés avec une sympathie si ardente – ce qui n’exclut point l’impartialité, et votre cas en reste une preuve éclatante – au mouvement légionnaire roumain. Vous vous êtes donné pour tâche d’en faire un examen sommaire, mais fidèle. La Garde de fer, si mal connue en France, et si constamment dénigrée par une presse, qui prenait ses informations dans les officines gouvernementales roumaines, sait qu’elle n’a rien à perdre à être présentée sous son vrai jour au public français. Et des ouvrages comme le vôtre sont destinés, nous en sommes persuadés, à rendre un grand service aux hommes de bonne volonté, auxquels le nom seul de Garde de fer, à cause d’une propagande aussi subtile que malveillante, n’évoquait qu’assassinats, crimes mystérieux, associations secrètes, terreur, et tout ce que pouvait inventer une campagne de mensonges éhontés, fabriqués par une coterie internationale maçonnique et enjuivée, dont vous avez connu vous-même les méfaits. À défaut d’une documentation complète suffisante, qui manque malheureusement en France, vous avez eu l’heureuse idée de vous adresser aux deux livres essentiels de Codreanu, le Livret du Chef de Nid et Pour les Légionnaires, qui, quoiqu’ils soient parvenus à votre connaissance d’une façon fragmentaire, vous ont permis de voir que la Garde de fer est avant tout une école d’éducation morale et spirituelle, une école de sacrifice, de souffrance et de pauvreté, une initiation à l’amour du prochain et une acceptation héroïque de la mort ; que la séance du Nid commence par une prière et finit par un serment, qui n’est que le renforcement d’une adhésion volontaire. Pas de vengeance, pas de haine, pas de complots mystérieux, pas de bavardages et vantardises stupides, mais justice pour un peuple que les hommes politiques menaçaient de rendre éternellement misérable, et sévère châtiment des coupables. Et la figure généreuse de Codreanu, créateur et organisateur du mouvement légionnaire, suprême exemple de sacrifice, s’entoure, pour tous les légionnaires d’une auréole de saint et de martyr. C’est lui qui, le premier de tous les Roumains, avec une sûreté d’intuition étonnamment pénétrante, a proclamé qu’il fallait retrouver l’âme de la Nation roumaine, constamment mise en échec, d’abord par des siècles de servitude, et, tout récemment encore, par une classe dirigeante hypocrite et criminelle. Par là même, il a exprimé sa confiance dans les vertus cachées et inaltérables de notre peuple, et il a compris que ce peuple a besoin d’être libre, nous voulons dire, d’être lui-même, et non pas ce qu’on lui disait être ; qu’il avait une grande soif de liberté intérieure, en voulant pousser sur ses propres racines. C’est pourquoi le premier effort de Codreanu a été la création d’un homme nouveau, le seul vrai, le seul capable de donner un rythme nouveau à la vie du peuple roumain. C’est pour cela aussi que toute sa sympathie allait à l’Allemagne et l’Italie, où il trouvait une analogie de vues presque pareilles, sur l’Europe nouvelle, qu’il a pressentie et annoncée dans maintes déclarations publiques, en dépit des risques qu’il courait à la suite d’une telle attitude. Mais les forces occultes de la haute finance et la politique néfaste de l’ex-roi Carol II, alliées à la vanité des uns, à l’orgueil, à la jalousie, à la convoitise des autres, ont rivalisé de flatteries et basses intrigues, ont monté des procès, simulé des victimes, ont réussi enfin à créer un désarroi pénible, dans le vain et inepte espoir de briser l’élan de pureté, de jeunesse, d’enthousiasme et de force, qui avait été déclenché par le mouvement légionnaire. Y a-t-il jamais eu un spectacle plus déprimant dans l’histoire roumaine, que l’immense bêtise des gouvernants de ces temps derniers, qui, poussés par un zèle excessif, s’exerçaient à une débauche d’autorité tantôt sauvage, tantôt ridicule, et toujours abominable, qui n’est que l’un des aspects, et non le moins grossier, d’un monde vicié, qui essaie de parer à son inévitable ruine ? Codreanu ne pouvait manquer d’être leur première cible. Il est mort, physiquement, mais sa silhouette morale nous domine de très haut et continue à être notre guide, de même que sa vision politique ne cesse d’être confirmée par les événements auxquels nous assistons en ce moment. En effet, le six septembre dernier, comme chacun le sait, à la suite des événements dont les conséquences pèseront lourd sur la Roumanie, les légionnaires ont forcé la main d’un roi qui s’était rendu indigne de la fonction royale, ce qui a permis que la direction du pays soit prise par le Général Antonescu, homme d’une probité morale parfaite, d’une grande autorité dans le pays, par ses capacités militaires et son grand caractère, n’ayant jamais fléchi devant menaces ou vexations de toutes sortes, attaché aux légionnaires par un passé commun de souffrances personnelles, et combattant pour un même idéal de justice et de rénovation du pays. Et la politique roumaine, dans cette période de révolution constructive, se dirige d’après les lignes tracées par Codreanu. N’avait-il pas dit, dans une déclaration retentissante, qui lui a valu tant d’insultes, que vingt-quatre heures après son arrivée au pouvoir, il adhérerait à l’Axe ? Et la lettre si courageuse dont vous publiez des passages à la fin de votre livre ? Toute la politique extérieure de la Légion était nettement orientée vers l’Axe, non tant à cause des sympathies personnelles de Codreanu, mais parce qu’il avait la certitude que l’Allemagne et l’Italie étaient animées par les mêmes aspirations que lui, qu’elles avaient assumé la tâche de bâtir une nouvelle morale européenne, dans un esprit d’équité et de justice sociales. L’ancien régime devait donc périr sous le poids de ses erreurs fatales. Codreanu l’avait dit et redit, on l’a couvert d’injures. Il a essayé, de toute la force de son âme, virile, de le faire comprendre au pays. Il a été tué. Ce n’est pas sans un mouvement d’indignation et d’amertume que nous voyons qu’il a fallu encore tant de sang versé par une jeunesse si durement éprouvée, pour que la Roumanie répondit à l’appel irrésistible de sa destinée historique. Mais les joies profondes ne sont que la synthèse de longues souffrances et d’innombrables sacrifices consentis pour l’accomplissement d’une belle cause. Aussi notre joie n’est-elle pas moindre, puisque nous savons aujourd’hui notre pays engagé dans la voie de sa résurrection prochaine. LES LÉGIONNAIRES DE PARIS. 30 novembre 1940. Jour anniversaire de l’assassinat de Codreanu. <strong>...</strong></p>Brădescu Faust - Antimachiavélisme légionnaireurn:md5:113c56e5a39742a14144ba73ab2837e52013-01-08T13:52:00+00:002017-03-07T13:08:10+00:00balderBradescu FaustFascismeGarde de FerRoumanie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Bradescu_Faust_-_Antimachiavelisme_legionnaire.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Brădescu Faust</strong><br />
Ouvrage : <strong>Antimachiavélisme légionnaire</strong><br />
Année : 1962<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Bradescu_Faust_-_Antimachiavelisme_legionnaire.zip">Bradescu_Faust_-_Antimachiavelisme_legionnaire.zip</a><br />
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Faust Brădescu (1912-2000) était un philosophe roumain, titulaire d’un doctorat en droit obtenu à l’université de Bucarest, et d’un doctorat en philosophie politique après des études à Paris. Faust Brădescu faisait partie de la jeune élite intellectuelle qui trouva dans la Garde de Fer l’incarnation de ses nobles idéaux. Il devint l’un des dirigeants du Mouvement légionnaire et poursuivit le combat après la Seconde Guerre mondiale et l’invasion de la Roumanie par les armées soviétiques. En exil, il dirigea notamment la revue Dacia, qui publia des documents concernant la Garde de Fer, notamment ce livre, Antimachiavélisme légionnaire. Toutes les éditions portaient en page de garde ces deux mots d’ordre : « Pro patria semper » et « Aprinde mai bine o luminita decat sa blestemi intenericul » (« Pour la patrie toujours » et « Mieux vaut allumer une petite lanterne que maudire les ténèbres »). Il travailla comme professeur de droit et de philosophie politique à l’Université Pro Deo de Rio de Janeiro, avant de revenir en France à partir de 1971. Il demeura l’un des acteurs principaux du Mouvement légionnaire par les études qu’il produisit, les axes de programme qu’il énonça et la documentation qu’il diffusa. Faust Brădescu fut le plus proche collaborateur d’Horia Sima et reste, avec les 48 livres qu’il a publié, le spécialiste incontesté de la Garde de Fer. <strong>...</strong></p>Nisot Marie-Thérèse - La question eugénique dans les divers pays Tome 2urn:md5:95964e5222737571247412df2cdaaf732012-12-01T22:39:00+00:002017-03-07T14:06:23+00:00balderNisot Marie-ThérèseAfriqueAllemagneAmériquesArgentineBelgiqueBolivieBrésilCanadaChineCubaDanemarkEspagneEsthonieEugénismeFinlandeGrèceHollandeHongrieIndeItalieJaponLuxembourgMexiqueNorvègeNouvelle-ZélandeOcéaniePolognePortugalRacialismeRoumanieRussieScandinavieSuisseSuèdeTchécoslovaquieTurquie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Nisot_Marie-Therese_-_La_question_eugenique_dans_les_divers_pays_Tome_2.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Nisot Marie-Thérèse</strong><br />
Ouvrage : <strong>La question eugénique dans les divers pays Tome 2</strong><br />
Année : 1929<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Nisot_Marie-Therese_-_La_question_eugenique_dans_les_divers_pays_Tome_2.zip">Nisot_Marie-Therese_-_La_question_eugenique_dans_les_divers_pays_Tome_2.zip</a><br />
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Afrique du Sud, Allemagne, Argentine, Australie, Autriche, Belgique, Bolivie, Brésil, Canada, Chine, Cuba, Danemark, Espagne, Esthonie, Finlande, Grèce, Hongrie, Indes Anglaises, Indes Néerlandaises, Italie, Japon, Luxembourg, Mexique, Norvège, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Russie, Suède, Suisse, Tchécoslovaquie, Turquie, Société des Nations, Organisation Internationale du Travail. <strong>...</strong></p>Sandache Cristian - Le groupe Iconar et le mouvement légionnaireurn:md5:248778d31f90e08feb3aad983dbd0c9a2012-11-21T16:27:00+00:002017-03-07T14:31:59+00:00balderSandache CristianFascismeGarde de FerRoumanie <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Sandache_Cristian_-_Le_groupe_Iconar_et_le_mouvement_legionnaire.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Sandache Cristian</strong><br />
Ouvrage : <strong>Le groupe Iconar et le mouvement légionnaire</strong><br />
Année : *<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook/Sandache_Cristian_-_Le_groupe_Iconar_et_le_mouvement_legionnaire.zip">Sandache_Cristian_-_Le_groupe_Iconar_et_le_mouvement_legionnaire.zip</a><br />
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Avec son inégalable capacité d’apercevoir les phénomènes historiques, Nicolae Iorga avait observé que la Bucovine ne représentait pas seulement une province porteuse d’une grande originalité culturelle, mais aussi un exemple de ténacité collective des ethniques roumains majoritaires, capables de cristalliser une conscience nationale «au milieu des dangers et des coups, décidée d’affronter toute provocation douloureuse qui pourrait l’attendre à l’avenir». La partie de nord de la Moldavie, cette contrée-là des forêts d’hêtres et de sapins, a enflammé l’imagination de plusieurs créateurs de beau ou des voyageurs étrangers, qui admettaient que cette région-ci conservait une certaine magie curieuse. Les Roumains de cette zone avaient une psychologie intéressante, concrétisée par un mélange de sobriété et d’efficacité travailleuse, une bonne organisation, une sensibilité mélancolique et surtout, un penchant assidu vers les usages ecclésiastiques. Dans les moments de tension, ces individus apparemment fatalistes, savaient se manifester même d’une manière volcanique. Des épisodes semblables ont été consignés surtout dans leurs rapports avec les autres ethnies vivantes dans la Bucovine, en spécial les Ukrainiens et les Juifs. Cela est souligné sans équivoque par George Drumur, en 1938, même dans “Enciclopedia României”, ouvrage (en fond) à caractère officiel2. Mais on ne peut pas parler, en tout cas, d’un gène xénophobe des Roumains; chaque aspect moins heureux avait à sa base des raisons justifiées, presque toujours de nature économique ou sociale. <strong>...</strong></p>