Histoire Ebook - Mot-clé - Taxinomie racialeRecension d'ouvrages rares et interdits2024-03-27T00:17:43+00:00Histoire Ebookurn:md5:ab01485ca667d10c10168268ea085a51DotclearNancy Claude - Les races humaines Tome 2urn:md5:23ce66a6df2326026422091873da5e8e2019-04-18T13:28:00+01:002021-12-05T21:56:25+00:00balderNancy ClaudeCivilisationsEx-LibrisEx-Libris LenculusRacesTaxinomie raciale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Nancy_Claude_-_Les_races_humaines_Tome_2.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Nancy Claude</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les races humaines Tome 2 (Leurs origines, leurs différences, leurs migrations, leurs mélanges)</strong><br />
Année : 1978-2005<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook3/Nancy_Claude_-_Les_races_humaines_Tome_2.zip">Nancy_Claude_-_Les_races_humaines_Tome_2.zip</a><br />
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Chapitre VIII. Les Indo‑Européens. Les tribus indo‑européennes se mirent donc en branle vers – 2 500 ans, et irradièrent de leurs centres d’origine, du Pont, du Caucase et des pourtours de la Caspienne, en un flot ininterrompu, mais qui culmina cependant en trois masses distinctes, que nous nommerons vagues migratoires. Certains archéologues contestent encore à certaines tribus, comme les Ligures, leur appartenance indo‑européenne, préférant les qualifier d’éléments pré‑indo‑européens. En soi, cette distinction est de peu d’importance, mais elle complique à plaisir la préhistoire européenne, qui demanderait plutôt à être simplifiée. Or, il est incontestable, que les Ligures présentent des traits comportementaux indo‑européens ; que ceux‑ci découlent de leur hérédité propre ou leur aient été enseignés par des « Ambrones » (des Illyriens), qui constituèrent leur classe aristocratique, est relativement peu important, puisqu’ils adoptèrent sans hésitation ces comportements, prouvant ainsi leur tendance héréditaire et caractérielle indo‑européenne. Car je le répète, s’il n’en avait pas été ainsi, ces comportements ne se seraient jamais perpétués parmi eux si aisément. Naturellement, ces Ligures, en partie brachycéphales et en partie mélangés d’éléments guerriers ibériques (les archers du chalcolithique) et d’éléments balkano‑anatoliens, de la culture tardenoisienne, présentent des caractéristiques anthropologiques physiques quelque peu mélangées, et différentes des Indo‑Européens celtes, par exemple, qui viendront plus tard. Mais tout comme la dolichocéphalie et la brachycéphalie ne sont pas des caractères déterminants de l’exclusion ou de l’appartenance au monde indo‑européen, la classification anthropologique basée sur les seuls critères morphologiques doit céder définitivement le pas à une nouvelle compréhension de l’histoire, basée tout autant sur les caractéristiques comportementales, elles aussi héréditaires. La vie est un tout, dont l’aspect morphologique est une face, et dont l’hérédité mentale et comportementale est le complément logique. La vie est de l’énergie solaire transformée à tous ses niveaux, c’est‑à‑dire mise en forme (la morphologie), mais aussi informée (le comportement héréditaire). Les Ligures apparaissent donc en Europe centrale, vers – 2 300 ans. Ils envahissent le continent par les voies fluviales et pédestres, tracées par les anciens boisilleurs autochtones et par les premiers émigrants néolithiques balkano‑anatoliens, quelques millénaires plus tôt. Ils sont dépourvus de charrerie et de cavalerie, mais possèdent déjà des armes en bronze, dont la hache de combat caractéristique du monde indo‑européen. Ils se lancèrent sur les routes, mus non pas par un trop‑plein démographique, mais bien plutôt par un esprit aventureux que stimula la découverte de la métallurgie du bronze. Ils furent talonnés de près par le gros de cette première vague indo‑européenne, constitué par l’ensemble des tribus « Thraco‑Illyriennes ». Ces dernières s’établiront d’abord à l’Est de l’Europe, le long du Danube, dans les Balkans, mais s’égaillèrent rapidement, par les voies fluviales le long de la Vistule, de l’Oder, même de l’Elbe, jusqu’à la mer Baltique, et par voies pédestres vers le Sud : la Thrace, la Grèce et la mer Egée. <strong>...</strong></p>Nancy Claude - Les races humaines Tome 1urn:md5:52e50e8b095d69c94a14f3336f8d11232019-04-10T20:45:00+01:002021-12-05T22:22:29+00:00balderNancy ClaudeCivilisationsEx-LibrisEx-Libris LenculusRacesTaxinomie raciale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img4/Nancy_Claude_-_Les_races_humaines_Tome_1.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Nancy Claude</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les races humaines Tome 1 (Leurs origines, leurs différences, leurs migrations, leurs mélanges)</strong><br />
Année : 1978-2005<br />
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Lien de téléchargement : <a href="https://histoireebook.com/public/ebook3/Nancy_Claude_-_Les_races_humaines_Tome_1.zip">Nancy_Claude_-_Les_races_humaines_Tome_1.zip</a><br />
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Chapitre I. l’évolution. « Connais‑toi, toi‑même » disait Socrate. Cette vérité éternelle est actuellement, comme bien d’autres, oubliée par l’humanité moderne. À croire que l’instruction obligatoire et les progrès immenses dans les techniques modernes d’enseignement abrutissent et abêtissent bien plus qu’elles n’élèvent le niveau intellectuel général. À cet égard l’enseignement dit « rénové », tarte à la crème de tous les démocrates obstinés, est une faillite retentissante. Si, comme aux USA, il tend à former d’excellents techniciens (du moins l’espère‑t‑on), il n’en est pas moins un fiasco total au point de vue de la culture générale. L’histoire y est remplacée par l’étude du milieu, c’est‑à‑dire que l’on n’y étudie plus la vie de César ou de Napoléon, mais bien la vie du Gaulois moyen au temps de César ou du Français moyen au temps de Napoléon. Les dates sont ignorées, la géographie très approximative, les leçons données « en jouant », et l’on y baragouine toutes les langues sans plus en connaître convenablement aucune. Mais cet enseignement satisfait le culte de l’égalité démocratique. Bref, comme aux USA, patrie de la « Sainte Démocratie », l’on forme maintenant des techniciens parfaitement aculturés, donc idéalement conditionnables psychologiquement par la politicaille et par les maîtres à penser occultes qui détiennent en leurs mains l’ensemble des mass media et de l’économie mondiale. « Connais‑toi, toi‑même ». Avant le démocratisme et l’égalitarisme universel, où l’on confond instruction et culture, cette « vérité » était l’apanage d’une élite. Et l’on en arrive à se demander, si créer et comprendre une culture, ne seront pas toujours le seul fait de l’élite, « initiée » à la compréhension des mystères de la vie. Du moins l’Histoire, pour ceux qui la connaissent bien, a‑t‑elle tendance à accréditer cette théorie et à démontrer le gâchis de « l’intellectualisme » mis à la portée des masses ; car celles‑ci semblent incapables de synthèse, et raisonnent toujours plus avec le bas‑ventre et leurs émotions qu’avec leurs cerveaux. Faibles, intéressées et lâches de nature, elles se laissent toujours emporter par leurs sentiments, bons ou mauvais, ne mesurant jamais qu’à courte échéance les conséquences de leurs options et de leurs actes, utilisant le progrès créé par l’élite uniquement pour leur bien‑être, et non pour améliorer le « devenir » de leur espèce, de leur nation de leur ethnie ou de leur communauté. C’est pourquoi il est si aisé de gaver cette masse de belles phrases creuses, apparemment très généreuses, mais totalement ineptes, ou de mots dont la signification s’est vidée de sens à force d’être employés à contresens. Parmi ces mots galvaudés il y a ceux de « race » et de « racisme ». Actuellement celui qui veut s’opposer aux prétentions égoïstes d’autres classes sociales est raciste ; le père qui punit son enfant est raciste ; de même que celui qui ose critiquer les mouvements féministes ou les associations de pédérastes ; de même celui qui ose glorifier sa propre culture ou sa religion en refusant de s’assimiler à celles de l’Islam ou du Talmud. À tel point qu’il devient impossible de vivre sans être le raciste ou le fasciste de quelqu’un, ces deux notions étant actuellement assimilées l’une à l’autre et possédant une odeur de soufre démoniaque. Ces mots sont devenus tellement « Tabou », qu’il règne à leur sujet un véritable ostracisme dogmatique et religieux, comme au plus beau temps des bûchers inquisitoriaux. L’on en arrive à cette absurdité de voir aussi bien les racistes de droite que les antiracistes de gauche discuter « à vide », des heures entières, de notions qu’ils ne connaissent, dans le meilleur des cas, que très superficiellement. Leur ignorance raciale à tous est telle, que toutes les absurdités sont émises à ce sujet. Et, alors que l’avenir de chaque espèce animale est lié à la compréhension instinctive ou raisonnée de son histoire et de son phénomène racial, l’on voit sombrer nos « intellectuels‑masse » dans le conformisme verbal le plus crétinisé et dans les tentatives d’assimilation les plus folles, aboutissant ainsi à la dépersonnalisation la plus totale de l’individu humain. C’est pour éviter de telles absurdités que j’ai décidé d’écrire ce livre sur les races humaines. Mais pour bien les comprendre, il nous faut revenir d’abord au point de départ, c’est‑à‑dire à l’origine du genre humain. L’homme est apparu sur Terre il y a environ 4 à 6 millions d’années. Les fossiles d’Australopithecus africanus et robustus, découverts par Clark Howell en 1968, dans la vallée de l’Omo en Ethiopie, en fournissent la preuve irréfutable. Du moins ces Australopithèques représentent‑ils la première espèce du genre « hominidés », celle que les savants appellent Homo habilis et qui englobe toutes les sous‑espèces, donc toutes les races d’Australopithecus. Que certains savants préfèrent encore le considérer comme un singe évolué plutôt que comme un homme primitif est en soi un faux problème. L’important est que, par ses qualités physiques, mentales et sociales, il représente le chaînon manquant entre les grands singes anthropomorphes et l’homme incontestable cette fois, que sera son successeur Homo erectus. <strong>...</strong></p>Henry Jean-Pierre - Gouyon Pierre-Henri - Précis de génétique des populationsurn:md5:c7e1ce7d37564ab30caf0e4eca1584052016-05-19T22:49:00+01:002016-05-19T22:00:28+01:00balderHenry Jean-PierreRacesRacialismeTaxinomie raciale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img3/Henry_Jean-Pierre_-_Gouyon_Pierre-Henri_-_Precis_de_genetique_des_populations.jpg" alt="" /><br />
Auteurs : <strong>Henry Jean-Pierre - Gouyon Pierre-Henri</strong><br />
Ouvrage : <strong>Précis de génétique des populations Cours, exercices et problèmes résolus</strong><br />
Année : 1999<br />
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Avant-propos. Cet ouvrage est destiné à fournir au lecteur les bases de la génétique des populations. Notre but a été ici de présenter les concepts fondamentaux qui permettent de modéliser le devenir des populations et des espèces, et de comprendre la signification d'une partie des débats concernant les questions de biodiversité. Nous nous adressons d'abord aux étudiants en biologie, aux candidats aux concours et aux professeurs du secondaire qui ont vu arriver cette discipline dans les programmes scolaires, mais aussi aux gestionnaires du milieu naturel et à tous ceux qui veulent comprendre au moins le langage dans lequel on peut étudier la variabilité génétique. <strong>...</strong></p>Vacher de Lapouge Georges - Les sélections socialesurn:md5:9ec6c18e864ce26b38d513971a1691792012-11-27T22:07:00+00:002017-03-07T14:11:56+00:00balderVacher de Lapouge GeorgesAlgérieAllemagneAngleterreChristianismeCivilisationsDrogueEducationEgypteEspagneEugénismeEuropeFranceGrèceHébraïsmeIslamPhénicienRacialismeRomeSexualitéTaxinomie racialeÉtats-Unis <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Vacher_de_Lapouge_Georges_-_Les_selections_sociales.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Vacher de Lapouge Georges</strong><br />
Ouvrage : <strong>Les sélections sociales Cours libre de science politique Professé à l'université de Montpellier (1888-1889)</strong><br />
Année : 1896<br />
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Ce volume est le développement d'un travail publié sous le même titre en 1887, dans la Revue d'Anthropologie et en brochure. J'avais résumé dans ce mémoire les leçons consacrées dans mon cours de 1886-87 à la question des sélections sociales. J'ai repris cette question pour sujet de l'année 1888-89. C'est le texte de ces nouvelles leçons qui paraît aujourd'hui. Les leçons de 1886 avaient été faites et écrites sous la pression de l'évidence. Cette évidence ne s'imposait pas au même degré à tous les esprits. On m'a reproché le manque d'historique et de documents. <strong>...</strong></p>Rey Maximien - Dégénération de l'espèce humaine et sa régénérationurn:md5:59b54528300f9b8a0af8497679f45c012012-06-17T19:50:00+01:002017-03-08T14:09:40+00:00balderRey MaximienRacialismeTaxinomie raciale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Rey_Maximien_-_Degeneration_de_l_espece_humaine_et_sa_regeneration.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Rey Maximien</strong><br />
Ouvrage : <strong>Dégénération de l'espèce humaine et sa régénération</strong><br />
Année : 1863<br />
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Dans le règne humain, paternité, maternité, filiation ont des expressions fatidiques et révélatrices de la destinée des peuples et de l'avenir de la descendance : D'une part comme force, beauté de formes et santé; comme raison, intelligence, aspirations sublimes et génie; comme l'honneur, dignité, gloire. D'autre part, comme débilité, difformités et maladies; comme incapacité, déraison, fanatisme et frivolité; comme égoïsme, lâcheté , avilissement et criminelles propensions. <strong>...</strong></p>De Mahieu Jacques - Précis de biopolitiqueurn:md5:2d25567d2d4f8e8938490a38bc344bbf2012-04-13T12:05:00+01:002023-09-26T01:26:39+01:00balderDe Mahieu JacquesEx-Libris LenculusNouvel Ordre EuropéenQuébecRacialismeTaxinomie raciale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/De_Mahieu_Jacques_-_Precis_de_biopolitique.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>De Mahieu Jacques</strong><br />
Ouvrage : <strong>Précis de biopolitique</strong><br />
Année : 1969<br />
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Présentation. LA POLITIQUE DE DEMAIN. A l’heure actuelle, le monde considère plus que jamais, avec une crainte respectueuse, la Démocratie moderne comme le Messie auquel il fait confiance qu’il le délivrera du chaos universel. L’École libérale promet toujours un monde magique de bien-être. Cependant, la Démocratie a complètement échoué dans sa lutte pour l’Homme. Elle demeure ignorante des vraies valeurs. Elle ne connaît pas la Paix. Elle a lamentablement fait faillite dans sa tentative de justifier sa profession, que ne peut cacher aucune de ses déclarations faussement optimistes. La Démocratie n’a pas débarrassé le monde des fléaux que sont la folie, les troubles raciaux et les crimes. Au contraire, tous ces maux ne cessent de s’accroître. Ajoutons à cela la pollution de l’air, de l’eau, du sol et, partant, de la nourriture. Il ne faut pas s’en étonner. Car l’adultération des peuples occidentaux par l’idée du profit, le notion d’égalité, le mensonge par omission, la médication, le confort moderne et le pacifisme-à-tout-prix a produit un double résultat : Nos nations, en tant que telles, sont atteintes d’immobilisme et d’inconscience ; Mais aussi individuellement, chacun de nous est soumis à un déracinement et à un métissage moral qui a pour objet de faire de nous un cobaye ‘‘docile et bon marché’’, prisonnier de ses vices, ses habitudes de robot, son imagination délirante. Cette adultération est en train de faire de nous, en tant qu’individus et en tant que nations, de minables scélérats, des hommes bruns, des peuples sans nom, matière première idéale pour un mondialisme de type termite. Toutefois, la preuve en est faite, il pourrait en être autrement. Dès que l’Hygiène (naturelle) trouve sa place dans l’évolution des groupes sociaux et la Race son rôle, la santé et l’ordre s’installent. Or il faut pour cela que la politique tienne compte des lois de la vie et des impératifs de la morale biologique. Il est aisé alors de comprendre que la question de la Conscience raciale n’est pas seulement la clef de l’Histoire, c’est aussi celle de la Culture humaine. Mais qui peut encore aujourd’hui saisir sans déraillement un tel énoncé ? Nous aurons fort à faire pour dissiper les ténèbres dont les savantasses et les imbéciles de la littérature ont entouré une question qui, au fond, présente peu de difficultés à résoudre. La Biopolitique nous oblige à une prise de conscience globale. Ainsi, chaque branche particulière de la connaissance nous est par elle-même absolument indifférente. Par exemple, la biologie ne se révèle d’une haute portée pour notre esprit, pour notre mode de vie, que quand elle contribue à résoudre des problèmes sociaux et économiques. De quel prix seraient pour nous les mille faits acquis de l’eugénisme, s’ils ne conduisaient à une intuition plus profonde de la religion et de l’avenir de l’humanité ? Jamais une science spéciale n’intervient dans la vie des sociétés comme un facteur d’organisation, à moins qu’elle ne s’élève à la dignité d’une politique de l’Homme total. Le présent volume est le deuxième d’une longue série à venir. Il fait suite à notre Cours de Biopolitique, publié en 1965. Il forme cependant un tout, complet en soi. Mais cet enseignement précieux ne serait pas ce qu’il est, si l’auteur n’en avait pas vécu les écrits. Dût-on y relever certaines allégations erronées, l’essentiel sur le plan racial de la Biopolitique exposée dans ces pages ne contient rien qui soit étranger à la vérité. Et comme l’a si bien exprimé Goethe : ‘‘La nature, la valeur, la solidité du principe posé au début, et puis la pureté du dessein : C’est de cela que tout dépend.’’ Dr Jacques Baugé-Prévost, Psy. M.D., N.D. Président de la Société d’Hygiène Naturelle du Québec, Directeur de l’Institut Supérieur des Sciences Psychosomatiques, Biologiques et Raciales. <strong>...</strong></p>Montandon George - La race Les Racesurn:md5:1ece47bdc9bbbaf72aab4894f6dd7bf22012-02-26T03:10:00+00:002018-07-19T00:44:10+01:00balderMontandon GeorgeEthnologieEuropeRacialismeTaxinomie raciale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Montandon_George_-_La_race_des_Races.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Montandon George</strong><br />
Ouvrage : <strong>La race Les Races Mise au point d'Ethnologie somatique</strong><br />
Année : 1933<br />
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Il n' y n pas de facteurs d'évolution, il n'y a que des facteurs de vie - laquelle contient l'évolution. DANIEL ROSA. AVANT-PROPOS Comme le sous-titre de ce bref ouvrage l'indique, il s'agit d'une mise au point - destinée aussi bien à l'amateur qu'à celui qui pense se vouer à l'ethnologie. La première idée en revient à un groupe d'auditeurs du Cours d'ethnologie, 1932-1933, à l’École d'Anthropologie, où nous suppléions, désigné par lui, feu le Professeur Georges Hervé, avant d'avoir l'honneur de lui succéder. Les uns désiraient retrouver l'aperçu sur La notion de race, par lequel fut introduit notre cours sur Les races et les cycles culturels de la zone arctico-subarctique. Ils auront satisfaction par la Première partie du livre. Les autres nous requéraient de publier sous une forme plus concise - et pécuniairement plus abordable - les données raciologiques de L'ologenèse humaine. La Seconde partie du livre remplit ce second but. Elle n'est d'ailleurs pas un simple résumé du g"os ouvrage mentionné; en un certain sens, elle est même plus complète. En effet, si elle n'en contient pas les lourds tableaux de chiffres et toutes les discussions, certains chapitres, tels ceux relatifs à l'Inde et Il la Sibérie, ont été augmentés et mis au pnint d’après la documentation la plus récente. Le premier chapitre de la Seconde partie, " La généalogie des grand'races », forme la soudure entre les deux Parties. Si quelqu'un , ayant le livre en main, ne pensait pas pouvoir en prendre une connaissance détaillée, c'est ce chapitre qui lui fournirait l'essentiel des idées nouvelles qui sont exposées sur la formation des races humaines. Paris, 1933. <strong>...</strong></p>Montandon George - Comment reconnaître le juif ?urn:md5:f02a3a86308a4b09d03d16ddf4a0afc92012-02-26T02:44:00+00:002021-12-17T00:34:00+00:00balderMontandon GeorgeAnthropologieEx-LibrisEx-Libris LenculusHébraïsmeLes juifs en FranceRacialismeTaxinomie racialeVichy <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Montandon_George_-_Comment_reconnaitre_le_juif.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Montandon George</strong><br />
Ouvrage : <strong>Comment reconnaître le juif ? Avec dix clichés hors texte suivi d’un portrait moral du juif Les juifs en France 1</strong><br />
Année : 1940<br />
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Caractères physiques du juif. Un individu au facies juifu s’assied devant vous au café, et vous vous dites : « Voilà un Juif », mais si vous vous demandez à quoi vous l’avez reconnu, il vous est souvent difficile de préciser. Un compagnon va prendre place auprès du premier individu ; il est très différent d’aspect. Vous vous dites cependant : « Un second Juif ! ». Mais, cette fois, vous avez encore plus de peine à expliquer votre certitude. Nous allons tenter de montrer pourquoi et en quoi les Juifs diffèrent fort entre eux et sont pourtant reconnaissables. Pour cela, il faut d’abord donner un aperçu très rapide de l’histoire des Juifs, puis de la situation des races voisines au sein desquelles s’est créé le type judaïque ou juifu. BRÈVE HISTOIRE DES HÉBREUX. Il ne faut pas confondre Hébreux, Israélites et Juifs. Environ vers l’an 4000 avant notre ère ; la Mésopotamie (vallées du Tigre et de l’Euphrate, en Asie antérieure) était occupée par les Sumériens, qui faisaient partie d’une population dite « asianique » aujourd’hui disparue, ni européenne, ni turque, ni sémite. C’est alors que débouchèrent en Mésopotamie, on ne sait d’où, peut-être d’une Arabie pas déserte comme aujourd’hui, des Sémites appelés Accadiens, qui contribuèrent à créer la civilisation assyrienne. Ces Accadiens étaient flanqués de tribus nomades également sémitiques, dont la petite tribu (famille au sens large, avec ses tenants et aboutissants) d’Abraham, ancêtre des Hébreux. Cette tribu - et c’est ici que commence l’histoire des Hébreux - passa de la Mésopotamie dans le pays de Chanaan (la Palestine), sur le bord de la Méditerranée. Au bout de plusieurs siècles, un grand concours de tribus nomades d’Asie envahirent l’Égypte, alors hautement civilisée. Ces tribus asiatiques, dites les Hyksos, ne produisirent pas que des ravages, car ce sont les Hyksos qui introduisirent le cheval en Afrique. Tout comme les Cimbres et les Teutons ravageant l’ancienne Gaule entraînèrent avec eux des tribus par le territoire desquelles ils passèrent, les Hyksos entraînèrent les Hébreux avec eux vers l’Égypte. Ces derniers s’y attardèrent après que les Hyksos eurent été rejetés en Asie, l’épisode des Hyksos se passant autour de l’an 2000 avant notre ère. <strong>...</strong></p>Darré Richard Walther - La Raceurn:md5:8d46b7bc49dbefdf97f6f1fb809470142012-02-18T07:06:00+00:002017-03-08T19:04:47+00:00balderDarré Richard WaltherEuropeFührerRacialismeTaxinomie racialeTroisième Reich <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/Darre_Walther_Richard_-_La_Race.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>Darré Richard Walther (Darré Ricardo Walther Oscar)</strong><br />
Ouvrage : <strong>La Race Nouvelle noblesse du sang et du sol (Neuadel aus Blut und Boden)</strong><br />
Année : 1939<br />
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Ministre de l'Agriculture et du Ravitaillement, Führer des paysans du Reich. Traduit de l'Allemand par Pierre Mélon et A. Pfannstiel. Il a été tiré de cet ouvrage quinze exemplaire sur pur fil numérotés de 1 à 15. CE QUE NOUS SOMMES ! Nés pour le casque et le bouclier, Pour être la sécurité du Pays, Pour être Officiers du Roi, Fidèles à nos anciennes coutumes Au milieu de nos paysans : Voilà ce que nous sommes ! Nous cultivons nos terres, Nous préservons nos forêts Pour nos enfants et nos petits-enfants. Moquez-vous bien des ancêtres ! Ils sont les gardiens des seuls Biens Que l'argent ne peut vous acquérir. Au milieu des combinaisons et des marchandages Nous restons debout, tête haute, En chevaliers incorruptibles. Par notre tranquille puissance Nous garderons à notre Sol ce qu'il a de plus La Force Paysanne Allemande ! Baron Von Münchhausen. <strong>...</strong></p>De Gobineau Joseph-Arthur - Essai sur l'inégalité des races humainesurn:md5:ef0e1137fb309d5cf388c8b1799fe59c2012-01-08T15:02:00+00:002017-03-08T19:46:14+00:00balderDe Gobineau Joseph-ArthurAnthropologieEthnographieHébraïsmeRacialismeTaxinomie raciale <p><img src="https://histoireebook.com/public/img/De_Gobineau_Joseph-Arthur_-_Essai_sur_l_inegalite_des_races_humaines.jpg" alt="" /><br />
Auteur : <strong>De Gobineau Joseph-Arthur (Comte)</strong><br />
Ouvrage : <strong>Essai sur l'inégalité des races humaines - Livres 1 à 6</strong><br />
Année : 1884<br />
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La condition mortelle des civilisations et des sociétés résulte d'une cause générale et commune. - La chute des civilisations est le plus frappant et en même temps le plus obscur de tous les phénomènes de l'histoire. En effrayant l'esprit, ce malheur réserve quelque chose de si mystérieux et de si grandiose, que le penseur ne se lasse pas de le considérer, de l'étudier, de tourner autour de son secret. Sans nul doute, la naissance et la formation des peuples proposent à l'examen des observations très remarquables : le développement successif des sociétés, leurs succès, leurs conquêtes, leurs triomphes, ont de quoi frapper bien vivement l'imagination et l'attacher ; mais tous ces faits, si grands qu'on les suppose, paraissent s'expliquer aisément ; on les accepte comme les simples conséquences des dons intellectuels de l'homme ; une fois ces dons reconnus, on ne s'étonne pas de leurs résultats ; ils expliquent, par le fait seul de leur existence, les grandes choses dont ils sont la source. Ainsi, pas de difficultés, pas d'hésitations de ce côté. Mais quand, après un temps de force et de gloire, on s'aperçoit que toutes les sociétés humaines ont leur déclin et leur chute, toutes, dis-je, et non pas telle ou telle ; quand on remarque avec quelle taciturnité terrible le globe nous montre, épars sur sa surface, les débris des civilisations qui ont précédé la nôtre, et non seulement des civilisations connues, mais encore de plusieurs autres dont on ne sait que les noms, et de quelques-unes qui, gisant en squelettes de pierre au fond de forêts presque contemporaines du monde, ne nous ont pas même transmis cette ombre de souvenir ; lorsque l'esprit, faisant un retour sur nos États modernes, se rend compte de leur jeunesse extrême, s'avoue qu'ils ont commencé d'hier et que certains d'entre eux sont déjà caducs : alors on reconnaît, non sans une certaine épouvante philosophique, avec combien de rigueur la parole des prophètes sur l'instabilité des choses s'applique aux civilisations comme aux peuples, aux peuples comme aux États, aux États comme aux individus, et l'on est contraint de constater que toute agglomération humaine, même protégée par la complication la plus ingénieuse de liens sociaux, contracte, au jour même où elle se forme, et caché parmi les éléments de sa vie, le principe d'une mort inévitable. Mais quel est ce principe ? Est-il uniforme ainsi que le résultat qu'il amène, et toutes les civilisations périssent-elles par une cause identique ? Au premier aspect, on est tenté de répondre négativement ; car on a vu tomber bien des empires, l'Assyrie, l'Égypte, la Grèce, Rome, dans des conflits de circonstances qui ne se ressemblaient pas. Toutefois, en creusant plus loin que l'écorce, on trouve bientôt, dans cette nécessité même de finir qui pèse impérieusement sur toutes les sociétés sans exception, l'existence irrécusable, bien que latente, d'une cause générale, et, partant de ce principe certain de mort naturelle indépendant de tous les cas de mort violente, on s'aperçoit que toutes les civilisations, après avoir duré quelque peu, accusent à l'observation des troubles intimes, difficiles à définir, mais non moins difficiles à nier, qui portent dans tous les lieux et dans tous les temps un caractère analogue ; enfin, en relevant une différence évidente entre la ruine des États et celle des civilisations, en voyant la même espèce de culture tantôt persister dans un pays sous une domination étrangère, braver les événements les plus calamiteux, et tantôt, au contraire, en présence de malheurs médiocres, disparaître ou se transformer, on s'arrête de plus en plus à cette idée, que le principe de mort, visible au fond de toutes les sociétés, est non seulement adhérent à leur vie, mais encore uniforme et le même pour toutes. J'ai consacré les études dont je donne ici les résultats à l'examen de ce grand fait. <strong>...</strong></p>