Rebatet Lucien Romain - Le bolchevisme contre la civilisation


Auteur : Rebatet Lucien Romain
Ouvrage : Le bolchevisme contre la civilisation
Année : 1941

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Le bolchevisme, bourreau de la Russie. Le bolchevisme est né des théories du Juif Karl Marx, qui écrivait il y a déjà près de cent ans son Manifeste du parti communiste, et du nihilisme judéo-russe. Utopie, désespoir anarchique des Slaves, messianisme et instinct destructeur d’Israël, férocité asiatique : il n’est rien dans ces dogmes et ces méthodes barbares qui ne soit profondément étranger à notre Occident. C’est un travestissement, une affreuse corruption du socialisme humain et si souvent réaliste des doctrinaires français tels que Proudhon et Georges Sorel. N’oublions pas, en passant, que ce dernier fut l’un des plus grands précurseurs des principes nationalistes et anticapitalistes sur lesquels l’Europe est en train de se refaire. Comment la barbarie soviétique a pu triompher. Le parti bolcheviste, après d’interminables disputes et dissidences, s’était créé en 1912 avec une écume d’extrémistes, de terroristes, de Juifs fanatiques, « bande de professionnels de la Révolution », comme les appelait leur chef et leur farouche animateur, Lénine. Au début de la Grande Guerre, Lénine, Asiate aux yeux bridés, ayant probablement du sang juif dans les veines1, guette en Suisse où il est exilé le moment de l’action. Il suit avec une joyeuse impatience les revers terribles qu’essuie sa patrie. Au printemps de 1917, le régime tsariste, en décadence depuis des années, corrompu, n’ayant plus à sa tête qu’un souverain impuissant et isolé, s’effondre sous les coups de l’orage guerrier qu’il a tant contribué à déchaîner. De nombreux généraux ont trahi ou révélé une incapacité complète. L’espionnage, le défaitisme sévissent partout. L’aristocratie, la bourgeoisie, frivoles, égoïstes, ont failli à tous leurs devoirs. Les armées, mal encadrées, misérablement nourries, sont démoralisées par des campagnes terriblement meurtrières où l’on ne compte plus les défaites, où les succès ont tous été sans lendemain. Les populations des grands centres, où le ravitaillement n’arrive plus, sont affamées, exaspérées par la nullité des politiciens du ministère. A Pétrograd, des grèves éclatent, les régiments se mutinent. La gauche de la Douma constitue un gouvernement provisoire ayant à sa tête Kerensky, tandis qu’en face d’elle se dresse le premier soviet d’ouvriers et de soldats. Le tsar abdique sans résistance. Les sociaux-démocrates du nouveau ministère Kerensky, par leur stupide impéritie, aggravent la confusion, sont paralysés devant les provocateurs, les émeutiers dont la force croît de jour en jour. Sur le front, les armées se débandent. Lénine est arrivé de Zurich. Il a traversé l’Allemagne en wagon plombé avec une trentaine de ses compagnons. Il prêche aussitôt la révolution à outrance, ridiculise Kerensky. A ses côtés, on voit surgir un frénétique et sinistre personnage, le Juif Bronstein, dit Trotsky, fils d’un rabbin. Le ministère Kerensky se désagrège lamentablement. Deux millions de soldats déserteurs errent sur les routes. Les paysans sont en pleines jacqueries, pillant ou tuant leurs propriétaires. La faim sévit partout, les communications sont pratiquement interrompues. Après plusieurs mois d’un désordre général, Lénine et Trotsky, les 24 et 25 octobre, font leur coup d’État à Pétrograd, avec leurs bandes armées. Le Palais d’Hiver où s’était réfugié le gouvernement Kerensky, est emporté d’assaut. Le Congrès des Soviets acclame les deux nouveaux dictateurs rouges. Le bolchevisme est au pouvoir. Pour qu’il pût ainsi triompher, il a donc fallu les terribles malheurs d’une interminable guerre, la décomposition d’un immense empire, l’abdication de tous les cadres sociaux et militaires, l’effroi semé par une tourbe d’agitateurs et d’hommes de main. Le bolchevisme s’élève par le cynisme de ses chefs, qui se sont toujours déclarés prêts aux pires félonies, aux plus sanglantes violences. Il ne pourra s’établir que sur des monceaux de cadavres et grâce à la passivité du peuple slave. L’un de ses premiers actes est une indigne trahison. La Russie, qui a entraîné ses alliés occidentaux dans la guerre et qui depuis des mois ne se bat pour ainsi dire plus, consacre sa défection en entamant dès le début de décembre, avec l’Allemagne, les pourparlers d’une paix séparée qui sera signée à Brest-Litovsk. L’abandon des bolcheviks nous vaudra les redoutables offensives allemandes du printemps 1918 qui nous mettront à deux doigts de notre perte et nous coûteront des dizaines de milliers de morts. Le bolchevisme, création juive On ne doit jamais oublier, pour bien comprendre le bolchevisme, à la fois chimérique et férocement acharné contre tout l’ordre chrétien, que les gredins et les visionnaires sanglants qui composent ses cadres sont juifs pour la plupart. On a déjà signalé le judaïsme absolu de son prophète Karl Marx, de Trotsky, son chef militaire, celui, mitigé, de Lénine. Presque tous les précurseurs des Soviets, mencheviks, socialistes révolutionnaires, anarchistes sont juifs. Dans les derniers temps du tsarisme, on comptait 80 % de Juifs dans l’extrême-gauche de la jeunesse universitaire. Parmi cette même jeunesse, tous les professeurs juifs, tolérés par un pourvoir défaillant, sèment l’idéologie marxiste. C’est un Juif, Nakhamkers, qui, le 1er mars 1917, crée dans chaque unité de l’armée, des soviets de soldats, supprime toute hiérarchie, toute discipline, et consacre ainsi le pire désordre. Parmi les 224 bolcheviks qui de Suisse ont suivi Lénine en Russie, soit par le wagon plombé, soit par d’autres convois, on compte seulement 24 Russes, 30 Polonais, Arméniens, Géorgiens et 170 Juifs ! En août 1917, à la présidence du parti bolcheviste, se trouvent 6 Juifs pour 10 membres. Parmi les principaux vainqueurs de la Révolution d’octobre, on relève les noms des Juifs Zinovieff, Kameneff, Uritsky, Steckloff, Martoff, Souchanoff, Ioffé, Sagerski, Bogdanoff, Larin, Kamkoff, Ganetzky, Dan, Parvas-Helphand, Abramovitch, Axebrod, Garin, Bobroff, Kiasanoff, Piatnisky, Maklakowsky, pseudonymes plus ou moins russifiés, qui cachent des noms judéo-allemands, Apfelbaum, Krochmal, Silberstein, Katz, Goldberg, Goldenbach, Rein, Natansohn, etc. Ces échappés de ghetto de Galicie et de Volhynie deviennent du jour au lendemain des personnages de premier plan du nouveau régime. ...

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