Auteur : Sodalitium
Ouvrage : 65
Année : 2013
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Éditorial. Après plus d’une année, Sodalitium est de retour chez vous. Entretemps, la situation dans l’Église comme dans la société, s’est aggravée. Joseph Ratzinger, comme chacun sait, a annoncé sa renonciation à son élection le 11 février 2013 : vous trouverez dans ce numéro un communiqué exprimant la pensée de cette revue et de l’Institut Mater Boni Consilii à ce propos. L’élection de Jorge Mario Bergoglio qui s’ensuivit, le 14 mars, a aggravé davantage encore, s’il était possible, la situation. Déjà candidat de l’aile “martinienne” durant le conclave de 2005, le nouvel “évêque de Rome” qui n’a pas voulu se dénommer Pape, a été acclamé de manière enthousiaste par le représentant de la Théologie de la Libération, Leonardo Boff, par le théologien hérétique Hans Küng, par le Grand Orient d’Italie et, surtout, par cette spéciale maçonnerie juive qu’est le B’naï B’rith (Fils de l’Alliance) avec laquelle Bergoglio a collaboré étroitement en Argentine, au point de réaliser, avec les susnommés, des cérémonies liturgiques juives ou interreligieuses dans les églises catholiques et jusque dans la cathédrale de Buenos Aires, et ce jusqu’à l’année dernière. Le mouvement oecuménique a également été favorisé par Bergoglio par des initiatives spectaculaires, comme quand, à genoux, il a voulu se faire imposer les mains et bénir par des pasteurs protestants qu’il avait convoqués exprès à Buenos Aires, le 19 juin 2006. Ami des ennemis du Christ et de l’Église, il s’est démontré résolument opposé à ses diocésains qui demandaient, naïvement, l’application du motu proprio Summorum Pontificum de Benoît XVI. Il est facile de prévoir que le mépris de Jorge Bergoglio pour la tradition et la liturgie de l’Église se manifestera également à Rome et dans l’Église universelle, au profit de la clarté, pour qu’il soit mis fin à l’ambiguïté, et pour la déception de quiconque voulait concilier (c’est le cas de le dire) Vatican II et la liturgie traditionnelle. Naturellement, nous ne connaissons pas le futur, mais si à bonjour, bonne oeuvre, les premiers actes du nouvel élu manifestent qu’il n’entend absolument pas, tout comme ses prédécesseurs, accepter le Pontificat Romain et la charge de Vicaire du Christ, pour la gloire de Dieu, le salut des âmes, la sauvegarde de la foi, du Sacrifice de la Messe et des sacrements, la condamnation de l’hérésie, mais qu’il entend sa nouvelle charge comme ordonnée à la diffusion d’une nouvelle doctrine, d’un nouvel évangile, d’une nouvelle liturgie, primus inter pares avec les autres frères “évêques” (Bergoglio a été “ordonné” et “sacré” avec le nouveau rite réformé) ; il entend être, veut être celui qu’il est : un représentant du modernisme agnostique. L’article annoncé dans le dernier numéro de Sodalitium sur l’agnosticisme dans la pensée de Joseph Ratzinger et que vous pourrez lire dans ce numéro n’a donc pas perdu de son actualité puisque l’agnosticisme est une partie essentielle du modernisme et pas seulement de la pensée de Ratzinger. ...
Aubert Edouard - La vallée d'Aoste
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